Loi Référendaire

M. Lemontey, président, Mme Barberot, conseiller référendaire rapporteur, M. Renard-Payen, conseiller, M. Sainte-Rose, avocat général, Mme Aydalot, greffier de chambre ; Sur le rapport de Mme Barberot, conseiller référendaire, les observations de Me Foussard, avocat de M. Poisson, de la SCP Masse-Dessen, Georges et Thouvenin, avocat de Mme Vaugrente, les conclusions de M. Sainte-Rose, avocat général, et après en avoir délibéré conformément à la loi ; Sur le moyen unique, pris en ses deux branches

contenu==> la source peut être une loi ou un règlement procédé de création de règles. Norme juridique : Ici la norme est la règle juridique, c-à-d que c'est un énoncé qui régit de façon impérative le comportement d'une personne publique ou morale et cette impérativité suppose une sanction juridictionnelle, en principe. La notion de hiérarchie des normes : on la rattache souvent à Hans Kelsen qui a contextualisé la hiérarchie des normes dans un ouvrage "la théorie pure de loi" selon cette théorie tout

Dans certains états, ce contrôle est un contrôle a priori, c’est-à-dire qu’il intervient avant la promulgation de la loi ou la ratification d’un traité, soit avant l’entrée en application de ces catégories de norme juridique. Dans d’autres états, ce peut être un contrôle a posteriori par voie d’action, une fois que la norme contrôlée est déjà en application (Autriche, Allemagne, France, Espagne, Italie, Portugal,…). Dans le cas français, depuis la révision constitutionnelle de juillet 2008, il existe

au profit du chef de l’Etat. I. 1958 : LA PREMIERE NAISSANCE DE LA VEME REPUBLIQUE Le 27 août 1958, devant le Conseil d’Etat, Michel Debré déclarait que « [l]e Gouvernement a voulu rénover le régime parlementaire »2. En effet, conformément à la Loi constitutionnelle du 3 juin 1958, la Vème République s’apparente à un régime de type parlementaire. Or, sur le plan juridique, l’une des caractéristiques de ce régime de séparation souple des pouvoirs est la dualité de l’exécutif entre un chef d’Etat

Le Congrès vote et adopte les lois alors que le président nʼa dʼautres pouvoirs que de les exécuter. Cette séparation se traduit par le fait que le président, et dʼune façon générale lʼadministration fédérale, ne peut même pas proposer de projets de loi (cʼest le contraire du modèle européen où plus de 90% des lois sont dʼorigine gouvernementale avec le Parlement qui va examiner les textes de lois préparés par le gouvernement). Aux EU, seuls les membres du Congrès ont lʼinitiative des lois même sʼil

qui concerne le cops ou encore la vie privée. « L’étude des droits et des libertés vise à maintenir le citoyen éveillé, à le mobiliser pour assurer leur défense, y compris en légitimant le refus d’obéir à la loi injuste. » Cette idée de résistance à l’oppression (refuser d’obéir à une loi injuste) a été développée par St Augustin (354-430) puis par St Thomas d’Aquin (1228-1274). C. Une contribution à la formation du juriste. « La discipline constitue une discipline au carrefour de toutes

d’exiger ou d’interdire quelque chose dans son propre intérêt ou parfois dans l’intérêt d’autrui. Ex : droit de propriété droit de créance, droit de succession.. sont des droits subjectifs. Cornu définit le droit comme toute prérogative reconnue par la loi aux Hommes individuellement ou parfois collectivement. Le droit est l’expression d’un pouvoir prescrivant au moyen de règles obligatoires et contraignantes des conduites ou des comportements qui doivent être socialement acceptés. Les moyens du Droit

moral (comment le traduire en terme financier ?) Préjudice physique : comment réparer par des moyens financiers ( jamais vu au-dessus d’un million €) Tapie : pour préjudice moral : somme démesurée Comment en sommes nous arrivés la ? Burka loi relative a l’interdiction de celle si dans l’espace public français INTRODUCTION Le droit semble être indissociable des activités et de l’histoire humaine Quelle que soit la fraction sociale considérée, le droit existe. Et s’il n’existe pas

paraitre injuste. Le juge ne peut pas écarter une loi qui lui parait injuste, il doit rendre une solution conforme au droit et non à la justice. Doit-on toujours faire prévaloir le droit sur la justice ? Il ne faut donc pas toujours obéir à une règle injuste même si elle est dictée par le législateur. Certains juristes proposent d'imposer une forme de résistance à une loi qui serait injuste. Il existe des procédés légaux de contestation pour faire plier une loi que l'on juge injuste. Par exemple, la liberté

français majeurs jouissant de leurs droits pol -le suffrage est égal (chaque électeur ne dispose que d’une seule voix) et secret (on exclut le principe du vote public) Ces 3 règles figurent à l’art 3 C° -art 34 : énumère les matières réservés à la loi (législateur). Il précise que le législateur est compétent pour fixer les règles relatives aux droits civiques. B) Les partis politiques Joue un rôle majeur Art 4 C° + révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 : complété par la garantie