Loi Référendaire

religieuse et sociologique. Histoire et Droit Le droit positif (le droit d'aujourd'hui qui tire ses origines des précédents droits). En 1804, Napoléon Bonaparte codifie un ensemble de règles dans le Code Civil (les dispositions sur les contrats, la loi dans le temps, les preuves … Datent de 1804) Le Code Civil a quatre rédacteurs : 1. Portalis 2. Tronchet 3. Malleville 4. Bigot de Préameneu Ancien Droit --> législation pré révolutionnaire (de l'Ancien Régime). Droit intermédiaire --> législation post

22 B – La question préjudicielle de constitutionnalité 22 C – Le contrôle facultatif des projets de loi 22 D – Le contrôle obligatoire des règlements des assemblées et des lois organiques 22 E – Le contrôle facultatif des engagements internationaux 22 F – Le contrôle exceptionnel et prétorien du droit communautaire dérivé 22 G – L’incompétence pour contrôler des lois référendaires et des lois constitutionnelles 23 Paragraphe II – Les compétences éléctorales 23 A – Le contrôle de la

des exigences liée à l’Etat de droit a ainsi attiré dans le giron des juridictions constitutionnelles l’ensemble des actes dits législatifs en ce compris ceux qui sont l’émanation du pouvoir de révision constitutionnelle et même les lois référendaires – avec il est vrai des expériences contrastées s’agissant de ces dernières – mais aussi des actes non législatifs qu’ils soient l’émanation du parlement (contrôle des règlements des assemblées parlementaires) ou d’autres organes (actes administratifs

qu’il a fait l’objet des critiques et d’évolutions depuis 1799 le sénat sous le consulat vers la Vème république. 1. Senat (sous le consulat et les Empires). Chargé du contrôle de la constitutionnalité, il peut bloquer le vote d’une loi mais n’a pas à proprement parler le statut d’un organe juridictionnel. 2. Comité Constitutionnel (sous la IVème République). Exerçait un pouvoir limité, jouant le rôle de conciliateur entre l’Assemblée Nationale et le conseil de la république

NOM : La place de la loi dans la hiérarchie des normes Mettez deux lignes içi pour qu il mette la note et ses remarques « Nemo ignorare legem » cette citation latine signifie que nul n'est censé ignorer la loi et montre l’importance de la loi dans un état de droit. Le mot loi est un terme générique pour désigner une règle, une norme, une prescription ou une obligation, générale et permanente, qui émane d'une autorité souveraine (le pouvoir législatif)

conformité de la loi référendaire à la Constitution. Cette loi relative à l'élection du président de la République au suffrage universel direct a été adoptée par voie de référendum le 28 octobre 1962 et, du fait de la procédure contestable mise en place par le Général De Gaulle, est accusée d'inconstitutionnalité par l'opposition de l'époque. Cependant, la non-décision du Conseil constitutionnel à ce sujet fera également l'objet de critique quand celui-ci refusera de se déclarer compétent. La loi constitutionnelle

révision de la Constitution : Le 3 juin 1958, une loi constitutionnelle est votée dans le respect de la procédure de la révision (article 90 de la constitution de 1946). Cet article confiait le pouvoir de révision au parlement, avec recours éventuel au référendum. L’objet de la loi est de déroger à l’article et de transférer l’exercice du pouvoir au général de Gaulle. Le parlement abandonne son pouvoir constituant et se met en congé. Cette loi constitutionnelle va poser un certain nombre de condition

législation fédérale , ( ex de domaine : l’environnement ) fédération peut exercée librement ses compétences des qu’elle le souhaite , aucune limite , une fois que la loi est adoptée cette loi n’entre en vigueur que 6 mois après sa promulgation et durant ses 6 mois rien n’interdit un land de réagir a la législation fédérale et d’adopter une loi dérogatoire . 2- Le principe de participation des entités fédérées au pouvoir fédéral : Cette manifestation va se manifester sur plusieurs formes : constitutionnel

Pour rappel : les actes de gouvernement sont les décisions prises par le pouvoir exécutif dans le cadre de sa participation à la fonction législative (refus de présenter un projet de loi au Parlement : CE, 29 novembre 1968, Tallagrand ; décision de promulguer une loi; décision de déposer ou de retirer un projet de loi : CE, Ass., 19 janvier 1934, Fraissinet ; décision de mettre en œuvre les pouvoirs de crise de l'article 16 de la Constitution : CE, Ass., 2 mars 1962, Rubin de Servens et autres…) et

1- Les sources textuelles Section 1- Les différents textes §1- Les textes nationaux A- La Constitution et les textes à valeur constitutionnelle B- Les lois ou textes à valeur législative a- Les lois organiques b- Les lois ordinaires c- Les lois référendaires C– Les textes émanant du pouvoir exécutif a- Les règlements autonomes b- Les règlements d’application c- Les ordonnances de l’article 38 D- Les textes émanant des particuliers §2- Les textes internationaux A- Les traités internationaux a- Les traités