Loi Du 22 Prairial An Ii

liberté, propriété, résistance à l’oppression, souveraineté de la Nation, séparation des pouvoirs. Art 3 : « Le principe de souveraineté réside essentiellement dans la Nation ». La souveraineté est inaliénable et indivisible. Elle s’exprime dans la loi qui devient la source unique du droit (légicentrisme). La Nation délègue l’exercice de la souveraineté à des pouvoirs représentatifs séparés. Au profit du législatif, en une seule Assemblée, représentative de la Nation. L’idée du mandat représentatif

l’agriculture est identique à celui du 14ème sc (or se produit le petit âge glacière) => Révoltes paysannes (révoltes frutimentaires) * Démographie en Europe : espérance de vie de 25 ans, forte mortalité enfantile (1/4 des enfants meurent avant 1 an, ½ des survivants avant 15 ans), forte mortalité en couches. Le bilan est sévère : 1 enfant sur 2 a perdu au moins 1 de ses parents avant 10 ans. Pour compenser cette mortalité, la fécondité est élevée et les mariages précoces (avant 20 ans) : on se

structure, qui, parce qu'elle est une autorité reconnue n'a pas besoin de la force en actes pour être reconnue. A- L'organisation étatique 1-La monopolisation de la domination politique 1-1 L'expropriation des puissances privées (Norbert Elias) Loi du monopole : Monopolisation de la guerre et des moyens de force qui assurent la domination physique Concurrence entre les différentes entités féodales qui va apparaître et favoriser l'émergence d'une unité de domination (une des parties prenant le

mais cela rend inutile les remontrances1673 Louis XIV, du fait du jeune âge de son fils légitime (4ans) prévoit pour sa succession en légitimant deux de ses bâtards au cas où ce dernier ne survivrait pas. Cette précaution fut montré contraire a la loi et la régence accompagnant le jeune héritier a la mort de son père obtient gain de cause et remet en place le parlement. Le règne de Louis XV (1715-1774), régence inclus, se caractérise par un dvlp sans précédent de la révolte parlementaire émettant

française du 5 fructidor de l’an III (23 aout 1796). Cette constitution donne le régime du directoire, sous lequel le pouvoir exécutif est confié à cinq directeurs. Puis est adoptée, à la suite d’un coup d’état de Napoléon Bonaparte, la constitution du 22 frimaire de l’an VIII (13 décembre 1799). Celle-ci fonde le consulat, régime qui donne le pouvoir exécutif à trois consuls. Ce régime est modifié par un sénatus-consulte du 16 thermidor de l’an X (18 mai 1804) qui établit le premier empire, le premier

parlement de Paris c’est prononcé sur la catholicité du roi de France. En outre, dans le domaine législatif, le parlement intervient pour enregistre les lois du roi. Cette pratique est née au XIVème, il n’existait aucun journal ou aucun bulletin de loi, aucun moyens de communication pour les diffuser dans tout le royaume. Il revenait aux parlements d’enregistrer soit coucher par écrit les lois dans les registres du parlement. Très rapidement, le parlement de Paris, c’est reconnu le droit avec l’accord

règles et lois qui organisent les relations entre les individus de chaque ordre. A chaque ordre correspond un statut juridique c’est-à-dire un ensemble de lois particulières (en latin : privataeleges = privilèges). Il n’y a pas d’égalité devant la loi, suivant notre ordre on est régi par un droit différent. Paragraphe 1 : La société d’ordres A la veille de 1789, la société est organisée selon trois ordres hiérarchisés. On se désintéresse de l’individu en tant qu’unité individuelle. Société

constater les infractions à la loi pénale, d'en rassembler les preuves et d'en rechercher les auteurs tant qu'une information n'est pas ouverte. Lorsqu'une information est ouverte, elle exécute les délégations et défère à leurs réquisitions. Art. 15. La police judiciaire comprend : 1_ Les officiers de police judiciaire ; 2_ "Les agents de police judiciaire et les agents de police judiciaire adjoints" ; 3_ Les fonctionnaires et agents auxquels sont attribuées par la loi certaines fonctions de police

propres règles et lois qui organisent les relations entre les individus de chaque ordre. A chaque ordre correspond un statut juridique c’est-àdire un ensemble de lois particulières (en latin : privataeleges = privilèges). Il n’y a pas d’égalité devant la loi, suivant notre ordre on est régi par un droit différent. Paragraphe 1 : La société d’ordres A la veille de 1789, la société est organisée selon trois ordres hiérarchisés. On se désintéresse de l’individu en tant qu’unité individuelle. Société inégalitaire

à l'université Nancy 2 Cinquième  édition mise à jour 17e mille   Introduction Le monde des éducateurs est resté étrangement silencieux ces trente dernières années sur la question de la sanction. Désorienté, désemparé, comme si le rappel à la loi ne pouvait se faire que sur le mode de l’incantation. Comment en effet punir quand les principes qui sous-tendent une pratique sont idéologiquement disqualifiés ? Comment sanctionner quand on a le sentiment que la sanction est la marque d’un déficit