Loi De Snell Descartes

parfait pour toutes les autres distances. Cependant un objectif a toujours un domaine d’optimisation (correction rigoureuse de la distorsion en photographie d’architecture par exemple). Rester proche du domaine paraxial permet d’utiliser la loi de Snell-Descartes pour d´e crire les trajets des rayons. n1 . sin i1 = n2 sin i2 Il y a deux grandes familles d’aberrations. On compte deux aberrations d’ordre chromatiques (li´es ` la nature de la lumi`re et aux longueurs d’ondes), et cinq e a e aberrations

THESE DE DOCTORAT Présentée par Marc ELIPOT Pour obtenir le titre de DOCTEUR DE L’UNIVERSITE PARIS DESCARTES Spécialité : Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives BIOMECANIQUE ET CONTROLE MOTEUR EN NATATION COURSE : Application des nouvelles techniques de calibration de caméra à l’analyse cinématique en natation et identification des coordinations motrices lors des phases sous-marines de départs chez des nageurs de haut niveau. Soutenue le 08 Décembre 2010 Devant

Moyenne : m = -- ( 7 703 + 7 653 + 7 511 + 7 642 + 7 695 + 7 590 + 7 786 ) = 7 654 . 7 1 Variance : V = -- ( ( 49 ) 2 + ( – 1 ) 2 + ( – 143 ) 2 + ( – 12 ) 2 + ( 41 ) 2 + ( – 64 ) 2 + ( 132 ) 2 ) = 6 599 . 7 Écart-type : σ = 6 599 = 81 . Exercice ¹ Loi de décroissance radioactive ln 2 Constante radioactive : λ = ------------ = 9 ,6 ⋅ 10 – 5 s – 1 . 7 200 Le tableau ci-dessous résume les résultats obtenus en appliquant la relation : N = N 0 e – λt . Date (en h) N (en milliards) 0 80 1 57 2 40 3 28

Moyenne : m = -- ( 7 703 + 7 653 + 7 511 + 7 642 + 7 695 + 7 590 + 7 786 ) = 7 654 . 7 1 Variance : V = -- ( ( 49 ) 2 + ( – 1 ) 2 + ( – 143 ) 2 + ( – 12 ) 2 + ( 41 ) 2 + ( – 64 ) 2 + ( 132 ) 2 ) = 6 599 . 7 Écart-type : σ = 6 599 = 81 . Exercice ¹ Loi de décroissance radioactive ln 2 Constante radioactive : λ = ------------ = 9 ,6 ⋅ 10 – 5 s – 1 . 7 200 Le tableau ci-dessous résume les résultats obtenus en appliquant la relation : N = N 0 e – λt . Date (en h) N (en milliards) 0 80 1 57 2 40 3 28

version de la loi d’´evolution de la quantit´e de mouvement D´efinition du vecteur contrainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 3.3 3.2.2 Imparit´e du vecteur contrainte vis-`a-vis de n . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 3.2.3 T´etra`edre de Cauchy - Lin´earit´e du vecteur contrainte vis-`a-vis de n . . . . . . . . . . 52 3.2.4 Tenseur des contraintes de Cauchy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 3.2.5 Loi locale d’´evolution

résistance R), mesurée avec un appareil appelé conductimètre. Principe de la technique U N PEU D ’ HISTOIRE Friedrich Kohlrausch, (1840–1910), est l’un des premiers à avoir étudié la conduction du courant dans les électrolytes liquides. On lui doit la loi de Kohlrausch qui relie la conductivité molaire ionique d’un électrolyte à sa concentration. Conductivité Dans un métal ou en solution électrolytique (qui contient des ions), la conductivité électrique est la grandeur qui caractérise la facilité avec

d’une induction magnétique B proportionnelle à I . Le champ magnétique H est égal au → − produit n · I . L’ensemble des spires canalise les lignes d’induction, soit un flux d’induc→ − tion F : → − − → F = B · S où : S est la section droite de la bobine Loi de Lenz et self-induction → − Lorsque nous faisons varier F dans un circuit fermé, il devient le siège d’un courant induit → − → − Ii . Le sens de ce courant induit est tel que le flux F qu’il produit à travers le circuit tend à s’opposer à la variation

d’une induction magnétique B proportionnelle à I . Le champ magnétique H est égal au → − produit n · I . L’ensemble des spires canalise les lignes d’induction, soit un flux d’induc→ − tion F : → − − → F = B · S où : S est la section droite de la bobine Loi de Lenz et self-induction → − Lorsque nous faisons varier F dans un circuit fermé, il devient le siège d’un courant induit → − → − Ii . Le sens de ce courant induit est tel que le flux F qu’il produit à travers le circuit tend à s’opposer à la variation

G (l’inverse de la résistance R), mesurée avec un appareil appelé conductimètre. U N PEU D ’ HISTOIRE Friedrich Kohlrausch, (1840–1910), est l’un des premiers à avoir étudié la conduction du courant dans les électrolytes liquides. On lui doit la loi de Kohlrausch qui relie la conductivité molaire ionique d’un électrolyte à sa concentration. Principe de la technique Conductivité Dans un métal ou en solution électrolytique (qui contient des ions), la conductivité électrique est la grandeur qui

induction magnétique B proportionnelle à I . Le champ magnétique H est égal au → − produit n · I . L’ensemble des spires canalise les lignes d’induction, soit un flux d’induc→ − tion F : → − − → F = B · S où : S est la section droite de la bobine Loi de Lenz et self-induction → − Lorsque nous faisons varier F dans un circuit fermé, il devient le siège d’un courant induit → − → − Ii . Le sens de ce courant induit est tel que le flux F qu’il produit à travers le circuit tend à s’opposer à