Littérature baroque espagnole

Littérature française du XIXème siècle Contexte historique * Époque d´une grande influence historique * La Révolution va bouleverser la littérature en ce qui concerne les genres, même les auteurs vont donner leurs opinions politiques et sociales dans leurs œuvres. * Rôle critique : les idées politiques sont intégrées dans le texte pour faire une critique sociale, sans s´adhérer à un parti concret. * Souveraineté populaire, nationale, non

En France : l’élargissement du langage occidental par l’emprunt à d’autres cultures. 2.1.1. Debussy et Ravel. 2.1.2. La démarche particulière d’Olivier Messiaen. 2.2. A l’étranger : les nouvelles écoles nationales au XX° siècle. 2.2.1. L’école espagnole. 2.2.2. L’école Hongroise et Béla Bartók. 2.2.3. Autres écoles dans le monde. III. EN GUISE DE CONCLUSION : RÉFLEXIONS SUR L’INFLUENCE DES MUSIQUES SAVANTES DANS LES MUSIQUES POPULAIRES POUR EN SAVOIR PLUS PARTITIONS DE QUELQUES ŒUVRES CITÉES

mur d'autel. Les dernières années du maître sont consacrées à l'architecture et à une recherche esthétique dans le domaine de la sculpture qui témoigne d'un esprit tourmenté qui s'éloigne de la sérénité classique et inaugure le style maniériste et baroque. Il introduit tension et mouvement dans ses oeuvres. Hymne à l'énergie créatrice, elles accusent un dynamisme, une fougue et une violence qui les éloignent de la Renaissance classique. Dramatisation, mouvement et énergie tourmentée, caractéristiques

claironnées. Avec modestie, on se présente parfois comme un simple traducteur du prédécesseur. La plupart du temps, ces sources sont antiques et, pour Corneille, elles seront romaines. Mais, ici, c'est un sujet espagnol qui s'est imposé. La pièce est, en effet, inspirée du “Romancero”, poème médiéval espagnol, et d’une épopée dramatique de Guilhem de Castro, “Las mocedades del Cid” (1618, “La jeunesse du Cid”) qui présente un personnage historique : Ruy Diaz de Bivar, qui, par ses couleurs, son ton épique,

particulière dans la littérature courtoise. C'est une œuvre de visée didactique, composée de deux parties, écrites à une quarantaine d'années d'intervalle auxiiie siècle par deux auteurs différents, Guillaume de Lorris et Jean de Meung. Ce roman va à la recherche de l'Amour et de la Vérité. C'est un songe, ordonné autour du symbole de la Rose, emblème de la féminité qu'il faut conquérir. À la suite du succès du roman, l'allégorie devient l'un des principaux moyens de s'exprimer en littérature à travers des

une écriture raffinée et riche, Jean Genet exalte la perversion, le mal et l'érotisme à travers la célébration de personnages ambivalents au sein de mondes interlopes. Sommaire [masquer] 1 Biographie 2 Politique 3 Influence en art 3.1 Littérature 3.2 Musique 4 Œuvre 5 Bibliographie 6 Notes et références 7 Liens externes Biographie[modifier] Né de père inconnu (son nom était Blanc selon les archives de l'Assistance publique) et abandonné à la naissance par sa mère, le jeune

l'Italie permettant de montrer que l'architecture gothique n'est pas barbare face à cette architecture antique. Politiquement l'Europe est divisée entre l'Empire n'ayant qu'un faible pouvoir, la papauté qui vient de subir le grand Schisme, le royaume espagnole dans un processus de Reconquista. Le royaume Français quant à lui est très affaibli par la guerre de Cent ans et ce n'est qu'au moment des expéditions en Italie qu'il marque son retour sur la scène Européenne. C'est au XVème siècle que se développe

1630/40. Il a succédé à une époque baroque qui a été vaincue. La lutte contre le baroque a été poussée par Louis XIV et Richelieu, mais elle a compté sur l’amour de la culture française par l’ordre. Le triomphe du classicisme se développe en parallèle du cartésianisme. Louis XIV avait compris que son pouvoir ne pouvait s’établir que contre les Habsbourgs et l’influence espagnole était excessive dans les romans et dans le théâtre. Donc la lutte contre le baroque qui venait de l’Italie et surtout

corporéité et signification, qui nourrissait la pantomime. Le personnage entre excès et transparence Dans un spectacle du Théâtre du Radeau, Cantates2, Fosco Corliano, planté sur le proscenium, déclame un passage de Dante dans une robe dorée d’infante espagnole. Portée sur des vêtements d’homme, la fermeture éclair du dos largement ouverte, ce costume lourd semble avoir fonction de façade. Mêlant pompe et carcan, il souligne l’aspect dramatique et saccadé des gestes qui évoquent des bribes d’affect fluctuants

Barbin, sans nom d’auteur (comme dit précédemment). Cependant le public des salons parisiens n’a eut aucun mal à identifier l’auteur. L’anonymat était courant à l’époque pour plusieurs raisons : il ne fallait pas donner l’impression de faire de la littérature son métier, d’autant plus en tant que femme, et l’absence d’auteur permettait une appréciation des œuvres sans les comparer à d’autres ouvrages du même auteur, et d’en affirmer ainsi l’originalité. Le rayonnement des Salons La culture propre