Lit mineur

elle porte une robe de drap verte et ses cheveux sont maintenus par une coiffe blanche. Son visage est jeune et doux mais semble exprimer de la soumission (tête baissée). A leurs pieds, se trouve entre eux un chien. Au second plan, on observe un lit à baldaquin avec de lourds rideaux rouges, des meubles sculptés, un tapis, un lustre et un miroir qui fait objet d’une mise en abîme de la part de l’auteur au dessus duquel on distingue une inscription. La fenêtre, source de lumière avec le chandelier

repousse. Toute la partie gauche du tableau est occupée par un lit dans un extraordinaire désordre : les oreillers épars, les draps défaits, le baldaquin qui pend… Un spécialiste de Fragonard a eu cette formule admirable pour décrire le tableau : à droite le couple et à gauche rien. Effectivement, il n'y a pas de sujet dans cette partie du tableau, juste des drapés, des plis, donc finalement de la peinture. En observant les oreillers du lit, nous pouvons remarquer que leurs bords sont anormalement

était mariée et ils avaient eu quatre enfants, deux filles et deux fils encore en bas âge. Leur servante s’occupait de tout dans la maison. Je passais souvent chez eux car c’étaient des amis de longue date. Ma chambre comme toujours se composait d’un lit à baldaquin immense et sublime. Un jour tandis que je me baladais dans ce somptueux manoir, j’entendis Mme S parler de façon inquiétante, je me dirigeai donc vers sa voix quand tout à coup elle surgit devant moi, l’air affolé et le regard fuyant

son assassinat . Mignon comprit d'instinct qu'il fallait fuir la mort. Il courut jusqu'au soir, trouva un cabanon, rabougri pour s'y tapir. Mignon avait faim, soif. Il prit du pain, du vin. Quand la nuit fût là, flapi, il prit position dans un lit à baldaquin, dans l'abri. Au matin, la chanson des coucous raviva Mignon. Mignon buva du cacao, avala la portion. Un soldat au front, contraint par sa faction, scruta l'horizon.Il faisait un pas puis un suivant. Il pista Mignon. L'observation et

la fidélité. Au deuxième plan, on voit le mobilier ( lit à baldaquin avec des rideaux rouges, une commode, un lustre...), qui témoigne de l'aisance du couple. Si on s'attarde sur le miroir, on reconnaît trois silhouettes dont celle du peintre. Les couleurs de ce tableau sont chaudes, (les habits de l'homme,dont on remarque le témoignage de la précision du peintre dans les details tel que la fourrure) la couleur du mobilier ainsi que le lit sont chaudes. les couleurs ayant servi pour représenter

et son nombril. Elle tient dans sa main une de ses parures, tandis que ses autres ornements sont éparpillés au sol. A droite, un paon male fait la roue et regarde en l’air. A gauche, une fiole déverse son contenu à terre. La femme est assise sur son lit à baldaquin, avec la jambe gauche relevée. Elle se trouve dans une position impudique qui montre assez bien son anatomie, et, la main sur son sein droit, elle se regarde dans le miroir, la tête penchée en arrière. A l’arrière-plan, un squelette se montre

en contrejour. La jeune femme, Madeleine de Morestel, est perdue dans la contemplation du portrait de son amant Arthur. Elle porte une légère robe d’un rouge intense, qui la fait ressortir dans cette pièce couverte de teintures roses délicates. Un lit à baldaquin encombre le milieu de la salle ; adjacent à la fenêtre, un bureau de chêne supportant un nécessaire à écrire occupe un pan de mur. Le pupitre est orné d’un bouquet de vipérines violacées. Un miroir est placé de l'autre côté. Madeleine

notre hôtel Monsieur, J’ai bien reçu votre courrier du 15 janvier dernier et je m’empresse d’y répondre ; pour satisfaire votre demande de séjour, nous pouvons vous proposer, aux dates souhaitées, 3 solutions : Une chambre avec un grand lit pour 2 personnes au prix de 30€ par personne et par jour (pension complète, tout compris) du 08 au 14 mars Une chambre à deux lits d’une personne au prix de 30€ par personne et par jour (pension complète, tout compris) du 1er au 03 mars

avait la place que pour un lit , une table de chevet et une armoire aux rangements limités .Après cette courte visite , nous nous sommes attablés , mais alors que je m'apprêtais à manger , l'aubergiste, un certain M. Follenvie , me fit savoir que le prussien me demandé et que je devais me rendre dans sa chambre . Arrivée dans sa chambre , j'ai vu à quel point elle était différente de la mienne, elle était spacieuse et largement plus meublée que celle que j'avais eue : un lit à baldaquin , un bureau

était si immense on avait vraiment beaucoup de mal à la contenir. On sauta , courra , dansa , hurla , je me dirigea vers le couloir opposé à celui qui mène au trône et me retrouva dans a la chambre de la reine , elle était gigantesque avec un vrai lit à baldaquin comme ceux des princesses comme j'ai toujours rêvé , je me suis allongé sur ce matelas bien remplis et bien mou , je suis resté la un instant à ne rien faire à part regarder le plafond , c'était si bon je serais bien resté là-bas des heures