Liste des ducs de Lorraine

importantes que celles du roi. Problème redoublé quand les princes territoriaux quand ont aussi des territoires importants en dehors du royaume. Ex : les Plantagenêts, qui ont 1/3 de la France et qui deviennent roi d’Angleterre au 12ème. Se retrouve avec les ducs de Bourgogne, Charles le Téméraire, plus tard. Fiefs plus réduits : plus ils sont petits, plus le lien avec le seigneur est marqué. Section 3 : l’évolution vers la patrimonialité I. Le développement de l’hérédité L’hérédité des fiefs

celle des ducs d'Héristal, qui devait être la souche de la dynastie carolingienne et qui se rattachait au maire du palais Pépin de Landen, mit près de cent ans à s'emparer de la couronne. Ce fut un beau travail de patience jusqu'au jour où les circonstances permirent la substitution. Les d'Héristal ou Pipinnides réussirent parce qu'ils eurent le temps pour eux et parce qu'ils rendirent les services que l'on attendait. Riches et puissants en Austrasie où ils portaient le titre de ducs, ils représentaient

Les rôles fiscaux : rôle de taille, définition du feu, ménage, coefficients multiplicateurs, rôle; la question des exemptés Autres sources exploitables par l’historien : Rôle fiscal: document listant les contribuables. Un rôle de taille est une liste des taillables de toute la paroisse. Feu: foyer d’habitation (dans le sens initial). Désigne l’unité d’imposition à l’époque moderne: on taxe les habitants par feu 3) Les dénombrements : dont état de paroisses de 1328→ enquêtes de Colbert Les

celle des ducs d'Héristal, qui devait être la souche de la dynastie carolingienne et qui se rattachait au maire du palais Pépin de Landen, mit près de cent ans à s'emparer de la couronne. Ce fut un beau travail de patience jusqu'au jour où les circonstances permirent la substitution. Les d'Héristal ou Pipinnides réussirent parce qu'ils eurent le temps pour eux et parce qu'ils rendirent les services que l'on attendait. Riches et puissants en Austrasie où ils portaient le titre de ducs, ils représentaient

travail dont je reconnaissais toute l'imperfection, des travaux analogues qui grossiraient ces premières études, ces premières collections. Je sentais bien que, quoi qu'on fasse, on n'arrivera jamais au complet dans ce genre de nomenclature. Quand la liste de mots patois la plus longue aura paru, le plus mince écolier signalera, en la parcourant, l'omission de mots qui lui sont familiers. Résignons-nous à collectionner avec une telle perspective. C'est qu'en effet rien n'est peut-être plus difficile

l'importance de l'Antiquité pour les humanistes -          pas vraiment crédibles    Introduction dans cette liste d'exemples pseudo "sérieux" des exemples carrémentgrotesques : -          par leurs noms burlesques "Roquetaille", "Croquemouche" -          par la situation dans laquelle ils sont nés : "du talon de sa mère", "de la pantoufle de sa nourrice"  Ces deux exemples, glissés dans cette liste, ôtent toute la crédibilité apportée par la Mythologie.   * Paragraphe 5 :  Argument d'autorité (=

objectif qu’elles se prononcent sur la poursuite de la guerre ou non. b. L’élection d’une assemblée monarchiste. Le décret du 29 janvier 1871 reprend les dispositions de la loi du 15 mars 1849 pour les élections c'est-à-dire (1) un scrutin de liste départemental qui met fin au régime des découpages des circonscriptions du second empire ; (2) 1/8ème des électeurs inscrit pour la majorité ; (3) les candidatures multiples sont admises. Le 8 février 1871, on se rend aux urnes dans un climat d’insécurité

Michelet suspendu au collège de France. la loi Thiers du 31 mai 1850 Porte sur corps électoral, vaut son impopularité au Parti de l'Ordre. 1848-48: élection ah scrutin de liste. In vite pour une liste de candidats. 1 siège:12.5 voix. Prob ne dégage pas de majorité, mais pas grave à cette époque. Permet de mettre notables sur liste, les favorise. (Ex: Louis de Broglie) 1856: éléctions marquées par succès gauche. Succès montagnards. (En haut de l'hémicycle). Eugène Sue écrit Les Mystères de Paris; fait

besoins de sa propre cause que Henri III le fit déposer pour simonie et remplacer par Clément II. Après la mort de Clément, la Vita Odilonis parle de lui en ces termes : Dulcis memoriae Clementis papae (i, 14), au moment même où un clerc de Basse-Lorraine, nourri des Fausses Décrétales, déclarait que l’Empire n’avait pas à intervenir dans les affaires de l’Église, que Clément II n’était pas pape et qu’Henri III l’avait choisi parce qu’il ne pouvait forcer Grégoire VI à reconnaître son mariage non

culte : ils ne pouvaient le célébrer que dans les lieux où il était établi jusqu’au 1er août 1570 et ailleurs, dans les faubourgs de deux villes de chacun des douze gouvernements qui composaient le royaume de France, soit vingt-quatre villes dont la liste était fournie. (…) Les protestants, à ce moment-là, bénéficiaient encore du dynamisme conquérant qui, depuis l’introduction en France, dans les années 1520, de la Réforme luthérienne et surtout, dans la décennie suivante, de la Réforme calviniste