Liste des comtes de Toulouse

......................................... 238 Bibliographie Lille .................................................................................................................... 242 6 - TOULOUSE ............................................................................. 246 Bibliographie Toulouse............................................................................................................ 249 7 - MONTPELLIER ...............................................................

publié en 1576). Bodin est un juriste à la carrière non rectiligne. Que dit-il sur la souveraineté ? Avant Bodin, il y avait une liste des privilèges du roi (prélever des impôts, exploiter des forêts, faire la guerre etc.) mais ces listes ne sont jamais exhaustives et on oublie toujours un point. C’était donc un problème, en même temps qu’on faisait la liste, on faisait la liste de ce qu’il n’y avait pas. Bodin révolutionne cela en arrêtant de faire des listes et en donnant la définition définitive de

nomme un juge, simple citoyen. Quand ce juge rend ça sentence, il fini sa fonction (il n’est plus juge). Le censeur (sont d’anciens consuls) n’a pas de pouvoir de direction ni de pouvoir d’imprerium. Il est chargé d’établir la liste de recensement des citoyens et la liste de sénateurs et les classe (fortune, famille, valeur morale). Répartition des citoyens dans des catégories pour les rassembler (les centuries : groupe de classe, le vote se fait par centurie). Ils sont répartis en tribus. Les censeurs

naît l’université de Paris, avec sa charte, ses privilèges et son organisation en facultés et en collèges, internats pour étudiants peu fortunés. L’université de Paris deviendra la Sorbonne. A son exemple, les universités se multiplient peu à peu (Toulouse, Montpellier, Orléans) et deviennent de véritables foyers de culture. LA RENAISSANCE Au XVI-e s., l’économie française est en plein essor. Les grands fiefs sont absorbés par la royauté; l’unification territoriale confirme le pouvoir royal; son

gouvernement. Le premier ministre dirige l’action du gouvernement. Le Royaume-Uni est une monarchie. Ça signifie qu’une famille royale se trouve à la tête du pays. Il y a donc des familles qui portent des titres de noblesse, par exemple : - des comtes et des comtesses : The Earl of Wessex, The Countess of Wessex - des ducs et des duchesses : The Duke of Kent, The Douchess of Glouchester - et des princes et des princesses : The Prince of Wales, The Princess Royal. Page 16 ELLVIS - Cours

vitesse, c’est le train grande virtualité », a ricané l’un d’entre eux. ■ ÉPARGNÉE. Ce sont également les grandes manœuvres d’après-élections, au sein du groupe UMP du conseil municipal de Clermont. Fort désappointée de n’avoir pas été retenue sur la liste du Puy-de-Dôme aux régionales, Anne Courtillé n’aurait pas brillé par son zèle durant la campagne, ce qui aurait passablement irrité ses petits camarades. Mais pour l’heure, en dépit de quelques Fouquier-Tinville, pas question à l’UMP de faire la révolution

vassaux diminue, plus le nombre de contrats vassaliques diminue. B) Des rapports juridiques en France mineure Des rapports lâches entre le roi et les princes territoriaux. En théorie, selon le droit féodal, les princes territoriaux (ducs, comtes), doivent prêter hommage au roi et doivent être ses vassaux puisque le roi est au sommet de la hiérarchie féodale. En réalité, la plupart de ces seigneurs sont éloignés du roi, ne viennent jamais à la cour, et ces seigneurs refusent tout simplement

types de châtiments. Seuls les comices santuriates peuvent prononcer la mort contre un citoyen. Cette juridiction populaire qui se substitue du magistrat concerne uniquement les crimes de droit commun puni de la peine de mort et dont la loi dresse la liste exaustive. Il s'agit du meurtre par sortilège (empoisonnement), du faux témoignage ayant causé la mort, de l'assassinat ou de l'incendie volontaire. 11 sur 63 Tous ces crimes sont désormais considéré comme des crimes publics et échappe désormais

petit chœur Cf. l'IIERTEXS, Gerpinnes, pp. 66-67. (2,78 X 2,40 m l , où se trouvait l'autel. 44 Cette explica tion avait déjà été proposée par G. DESPY, Au cœur de l'Oc· cident carolingien, dans Histoire de la Wallonie (ed. L. GE:I'ICOT) . Toulouse, 1973, pp. 103-109 (à la p. 108 et fig. 22) et, auparavant, dans Villes et cam­ pagnes aua: [xe et xe siècles: fea:emple du pays mosan, dans Revue du Nord, L, 1968, pp. 145·168 (à la p. 162 et n. 68) . XIIe siècles). Paris, 1981, passim ou, plus

l’habitude d’annoncer dans l’édit qu’ils prenaient chaque année au moment de leur entrée en fonction les innovations qu’ils comptaient introduire dans le droit. L’édit du préteur comporte donc la liste des actions que ce magistrat s’engageait à délivrer aux plaideurs qui lui en feraient la demande. Bien sûr cette liste n’était pas bouleversée chaque année : chaque préteur reprenait les actions introduites par ses prédécesseurs en y ajoutant simplement quelques innovations, le plus souvent à l’instigation