Limites à La Souveraineté Absolue

des pouvoirs A - Origine a - Origine historique b - Origine idéologique B - Formulation a - Le principe b - Son assouplissement c - Son évolution § 2 - La classification des régimes A - Les régimes de confusion des pouvoirs a - La confusion absolue b - La confusion relative B - Les régimes de séparation des pouvoirs a - La séparation souple : le régime

La monarchie absolutiste INTRO : En France, pendant la Renaissance, une volonté d’imposer un pouvoir absolu de droit divin voit le jour progressivement et débute avec le règne de François Ier. Il engendra le renforcement de l'autorité royale en s'appropriant une grande partie du pouvoir législatif, en développant dans les esprits le schéma d'un pouvoir monarchique fort et en limitant l'influence de contre pouvoirs comme les Etats généraux ou les grandes familles aristocratiques. Toutefois, on

principe : “De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins”, c’est-à-dire lorsqu’on sera tellement habitué à observer les règles primordiales de la vie sociale et que le travail sera devenu tellement productif, que tout le monde travaillera volontairement selon ses capacités." Cette citation que l’on doit à Lénine exprime clairement la volonté de prouver que l’Etat est une institution indispensable à la collectivité. Sans lui, la société court à sa perte et prend le risque de s’engouffrer

Après la naissance d’un l’impôt permanent destiné à financer une armée royale durable en l’an 1439 et suite aux révoltes1 contre l’oppression fiscale, les pouvoirs du roi en matière d’impôt soulèvent des questions. Il reste non seulement à définir leurs modalités clairement mais également à justifier leur existence. Le texte a été publié en 1609, sous le règne d’Henri IV, alors que la royauté s’est complètement débarrasser du système féodal et a rétablit son autorité. Charles Loyseau dans cet

de la dissertation Souveraineté nationale et souveraineté populaire : une véritable opposition ? Paradoxalement, alors que les théories classiques de la souveraineté distinguaient au XVIIIe siècles les notions de souveraineté nationale et de souveraineté populaire, les textes constitutionnels contemporains semblent au contraire confondre ces deux conceptions. Ainsi, la Constitution française actuelle du 3 octobre 1958 énonce-t-elle à l’article 3 que : « la souveraineté nationale appartient

proclamée constituante, affirme sa légitimité de donner à la France une nouvelle Constitution. Après la folle nuit du 4 août 1789, durant laquelle on abolit les privilèges, des droits individuels sont consacrés dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen qui sera placée à la tête de la Constitution toujours en cours d'élaboration. A la fin de l'été 1791 la Constitution est enfin adoptée après plus de deux années de travail. Avec à sa tête la Déclaration des droits de l'homme, qui est

de la démocratie §1. Les théories justificatives de la démocratie A. Souveraineté populaire et démocratie directe (Rousseau) Contrat social (1762) : souveraineté pouvoir suprême caractérise l’Etat Monarchie absolue : souveraineté à un seul (roi) Rousseau : chacun à part souveraineté + contrat social réunit parcelles souveraineté Prendre décision souveraine : tout peuple convoqué (souveraineté en entier) Citoyen à droit suffrage : participe vote loi Suffrage universel Lois doivent être

NP 2 : L’Etat * Présentation : + État : (status) : Pers morale de droit public (nn physique). Représenté par Chef de l’Etat. A des droits et obligations. Nn attaché à une personne (continuité). + Louis 14 «  L’Etat c’est moi » Ajd, Pst de la Rep et 1er ministre, ne sont que les titulaires transitoires de ce pouv. Dirigeants en place pr mandats très courts (Garantie des droits du peuple) + Multitude de pers morale (Sté commerciales, association, communes, département …). Etat plus

spécialiste de l'Empire austro hongrois à la Sorbonne. En 1928, il soutient une thèse de doctorat intitulée La justice constitutionnelle et la Haute Cour constitutionnelle d’Autriche. Il devient chargé de cours à la Faculté de droit de Caen, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, puis à celle de Paris. Influencé par Kelsen, fait sa thèse sous sa direction. Contexte : On est sous la III ème république en 1933, elle a déjà grandement montré ses limites. Collaboration entre pouvoir executif

que les principes d’unité et de souveraineté sont étroitement similaires, en effet dans les deux cas on retrouve le principe d’unité du pouvoir ou de la souveraineté mais aussi le principe d’indivisibilité. Et la souveraineté englobe un troisième principe qui est celui de l’inaliénabilité. La souveraineté dans l’état peut être définie, comme un organe indépendant soumis à aucun contrôle de qui que ce soit et, est muni des plus hautes compétences. La souveraineté est alors le principe de l'autorité