Limite Du Chomage

atteindre  et par leurs aspects contradictoires ? Doit-on prendre en compte certaines limites propres à chaque instrument utilisé : politique budgétaire ou politique monétaire ? I. La difficile coordination des politiques budgétaires et monétaires 1. Les objectifs de la politique économique sont en partie contradictoires Lorsque la politique économique poursuit un seul objectif : l’inflation ou le chômage ou encore le commerce extérieur, on peut atteindre cet objectif au moyen du seul

+ Transferts nets en capital – (FBCF + Variation de stocks)) 3-1-5-- Mesure de l’évolution des agrégats par l’indice simple - Exemple (évolution d’un agrégat ou plusieurs) - Définition et calcul d’indice simple - Propriétés de l’indice simple 4-Limites de la comptabilité nationale 4-1- Imprécision dans le calcul 4-2- Evaluation du bien -être nette = DCF + FBCF + Variation de stocks + (X-M) 3-1-4- Agrégat de l’épargne : • L’épargne nationale brute(ENB) = RNBD – Dépenses de CF • Capacité ou besoin

Nous allons donc voir dans une première partie la mise en place des politiques budgétaires conjoncturelles à travers les politiques de relance et les politiques de rigueur, puis nous verrons dans une deuxième partie les limites et les critiques de ces politiques à travers les limites des politiques de relance et de rigueur et d’autres critiques. I. Mise en place des politiques budgétaires conjoncturelles Une politique budgétaire conjoncturelle permet, soit de relancer l’économie lorsque la croissance

Document : les politiques de ‘emploi : des objectifs multiples Politiques de l’emploi : faire face à la progression du chômage Améliorer le fonctionnement du marché du travail : réduire le chômage et augmenter le niveau d’emploi Réduire les inégalités entre groupes sociaux en encourageant l’emploi des plus fragiles Anticiper les besoins en matière d’emploi et de compétences ( formation des salariés) Rôle social important en termes de lutte contre la pauvreté, d’insertion , dont l’accès à

qui affectent également le niveau général des prix : - la désinflation (réduction de l'inflation) ; - la déflation (baisse des prix et du PIB en volume) ; - l'hyperinflation ; - la stagflation (accélération de l'inflation et de la croissance du chômage). - Pour mesurer l'évolution du niveau général des prix, il est nécessaire de disposer d'un indice des prix. La qualité d'un indice de prix dépend de l'étendue des produits recensés, du choix des pondérations et de la prise en compte des changements

relance aurait un effet sur la relance de + 1,6%. L'emploi s'est fortement dégradé en 2008 avec 217 000 chômeurs de plus, on atteint en décembre 2 114 000 de chômeurs, le chômage a augmenté en décembre de 45 000, et en novembre de 64 000. L'INSEE une augmentation du chômage en 2009 qui serait au minimum de 400 000. Le taux de chômage au 3ème trimestre était de 7,30%, au 4ème trimestre il serait de 7,50% et pour 2009, il serait de 8%. Donc forte dégradation de l'emploi. Parmi les chômeurs, on constate

inégalités économiques A. Les inégalités de revenus se maintiennent par des déterminants sociaux des inégalités de revenus (=la PCS et le sexe), par des dysfonctionnements du système redistributif et par une certain désengagement de l’Etat. B. le chômage renforce les inégalités (discrimination/aux jeunes et aux étrangers extra communautaires) II Les inégalités se cumulent et se reproduisent A. La multiplicité des inégalités (éco, sociales, culturelles) et s’entretiennent mutuellement quand de

donc la production, et on lutte contre le chômage. 2-La croissance économique, facteur de montée des inégalités A-Les lois historiques liant croissance et inégalités •Pour Karl Marx, la montée des inégalités entre possesseurs des moyens de production et prolétariat est inéluctable, car l’accumulation croissante du capital exige que soit extraite une plus-value toujours plus importante. De plus, la bourgeoisie a intérêt à ce qu’existe un certain niveau de chômage ("armée de réserve industrielle") pour

objectifs de la redistribution sont, de corriger les inégalités de revenus, de fournir à tous les services collectifs tels que l’éducation ou la justice et de fournir une assurance sociale pour chaque travailleur contre les risques comme la maladie, le chômage ou encore la vieillesse. 1.1.2 Les différentes formes de la redistribution. Dans le système redistributif, on distingue deux grandes formes de redistribution : la redistribution verticale et la redistribution horizontale. La redistribution

de l’offre) | | |B Des politiques conjoncturelles d’austérité (politique monétaire restrictive, |B Coût social élevé (chômage, précarité augmentation des inégalités et de la | |monnaie forte, lutte contre l’inflation prioritaire) |pauvreté) | |C Des politiques structurelles