Limbourgeois

Maastricht (prononcé [maːˈstʁɪçt] (en néerlandais méridional) ou [maːˈstɾɪxt] (en néerlandais septentrional)[N 1]) – appelé en limbourgeois (dont le maastrichtois) Mestreech (prononcé [məˈstʁeːç]); en français (désuet) Maëstricht ou Maestricht[N 2] ; et en espagnol (désuet) Mastrique – est une ville des Pays-Bas, située dans le Sud de la province du Limbourg dont elle est le chef-lieu. Maastricht s'est développé à partir d'une colonie romaine en un centre religieux, puis en une ville de garnison

koffie voor me? ("As-tu encore une tasse de café pour moi ?") 2° le néerlandais belge régional ex. : ’Ebde nog een tas koffie voor mij? 3°les dialectes du néerlandais-les langues bas-franciques (brabançon, flamand occidental, flamand oriental, limbourgeois) ex. : Édde nog een zjat kaffe veu maai? De ces 3 phrases, on peut constater quelques différences lexicales. On peut dire que le néerlandais régional est un mélange du néerlandais normatif et des dialectes du néerlandias. Le néerlandais normatif

|27), sauf au Brabant Wallon avec 116%. |moyenne de l’UE des 27), sauf dans la |sont plus aisés sauf les | | |Il est 25% inférieur à celui de la Flandre. |province du Limburg avec 96% |limbourgeois. Les habitants du | | |Il est de 31.923 euros |Il est de 31.651 euros |Brabant-Wallon sont, eux aussi,| | |

peut émettre l’hypothèse que le morcellement politique a favorisé le maintien et l’approfondissement de la fragmentation dialectale, ce qui contribua à la formation des idiomes picards, flamands, wallons, champenois, lorrains, luxembourgeois, limbourgeois, etc. Cependant, l’administration des État et de l’Église se faisait en latin, tandis que le français n’était parlé encore que par une partie de la noblesse de France. 4. La période des Pays-Bas espagnols (1493 – 1713) Document 5 :

Selon certains, ce morcellement politique eut des conséquences au plan linguistique. Il aurait favorisé la fragmentation dialectale, ce qui contribua à la formation des idiomes picards, flamands, wallons, champenois, lorrains, luxembourgeois, limbourgeois, etc. Cependant, l’administration des États et de l’Église se faisait en latin, tandis que le français n’était parlé encore que par une partie de la noblesse de France. Cette thèse de la fragmentation dialectale à l’époque féodale est cependant

composante germanophone (brabançon). Et la Principauté de Liège, cœur de la future Wallonie, appuyée sur la moyenne Meuse, dans l’Empire elle aussi, largement francophone (wallon et picard), régentait des contrées peuplées de néerlandophones (pays limbourgeois). En marge, le Duché ardennais du Luxembourg et les Seigneuries religieuses de Malmédy/Stavelot, étaient tout aussi bilingues (francophone/germanophone). L’allégeance allait à la personne du suzerain, garant de la sécurité des gens et des biens

villes. Une bonne partie des stations littorale apparaissent ici, comme aussi venant juste avant Verviers, Maasmechelen caractérisé surtout par son centre de magasins d'usine, construction contemporaine de type Disneyland sur un ancien site minier limbourgeois. Ce village est constitué de magasins de marques de producteurs, vendant sous forte réduction les collections de la saison précédente. Le facteur prépondérant de localisation de ce genre d'infrastructure est l'éloignement par rapport aux principaux

sent mieux. Elle lui parle de la radio et il lui répond qu’on leur demandait d’aller chercher madame Bijnens à la station. Veerle Bijnens était une belle femme. Elle dit à Lies qu’elle à le bonjour de l’inspecteur Van In (elle avait un accent Limbourgeois). Neliessen lui dit qu’il est désolé pour sa fille mais la mère ne montre aucune émotion, elle déclare plutôt qu’elle sait que sa fille n’est pas morte des causes naturelles, elle sait qu’elle se droguait. Puis elle demande à Lies ce qu’elle attend

bourgeoisie! Lors de la proclamation de l’indépendance de la Belgique, le français n’était pas la langue majoritaire du peuple. Ce dernier parlait surtout des langues régionales. Au nord, il s’agissait essentiellement de dialectes flamands, brabançons et limbourgeois du Néerlandais. Au sud, c’était majoritairement le wallon ainsi que quelques autres patelins. Nonobstant les langues parlées au nord comme au sud, les bourgeois pratiquait le Français, ils étaient donc francisés. Le français était la seule

au Moyen Age (Benoît Denis). La Belgique est déjà francophone au 16ème siècle, dans les cercles aristocratiques et les sphères du pouvoir (la cour bourguignonne puis habsbourgeoise et autrichienne) – le peuple reste encore dialectal (flamand et limbourgeois au nord ou wallon et picard au sud –. Les textes alors produits dans les territoires de la future Belgique s’inscrivent dans ce continuum linguistique, sans qu’aucune coupure nette ne justifie qu’on les sépare de l’ensemble français. (Ibid.) Le