Liberté de religion

« La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes [...] ». Le premier article crée un large consensus. Le texte ne laisse que peu de marge pour son application, par les mots « assure » et « garantit ». Article 2 : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte [...] » Cette loi se veut conforme à la devise républicaine. Par l'article 1er, l'État garantit la liberté de conscience, c'est-à-dire la liberté de culte et le droit de ne

A. La volonté politique de légiférer Le Maire de la ville de Vénissieux (Lyon) (André Guérin PC) estime que le voile intégral traduit une dégradation pour les femmes qui le portent, une atteinte très profondes aux valeurs républicaines, de liberté, d’égalité et de fraternité. A l’époque sont visées la Burka qui est une étoffe généralement bleue qui couvre la tête avec simplement une petite grille (Afghanistan, Inde, Pakistan), usage assez récent (XXème siècle) et également le Nikab, qui est

française). C’est le texte fondateur du pacte républicain français car ce texte contient le principe d’égalité et de liberté. C’est fondement du Droit Constitutionnel français. La République Française est égalitaire au niveau de la Constitution et c’est une République de liberté, ce sont les pivots du Pacte Social français et Républicain. La devise républicaine c’est « liberté, égalité et fraternité ». On a la fraternité en plus qui n’a pas de valeur constitutionnelle, en effet on ne refuse pas

par une étudiante est rejetée car mal fondée. Cette étudiante se voyait refuser la délivrance de son diplôme tant qu’elle ne fournissait pas une photo d’identité non voilée. Pour la Commission, cela ne constituait pas une ingérence dans la liberté de religion et de conscience des étudiants. De plus, cette mesure poursuivait un objectif de laïcité. Affaire Dahlab contre Suisse : cette affaire concernait une enseignante. La Cour juge irrecevable la requête de cette institutrice qui s’était vue refuser

Chartre des droits et libertés. Née au Canada, j’ai droit au bonheur, à l’amour libre, à l’éducation, j’ai le droit de rêver, d’agir pour des causes qui me tienne à cœur et plus encore, j’ai droit à la liberté d’expression. Je suis choyée de pouvoir penser comme je le souhaite, d’exprimer mes opinions par tous les moyens que je juge opportun, dans tous les domaines accessibles. Par contre, je compte parmi les chanceux qui ont accès à cette opportunité. Lorsque je pense à liberté d’expression, je pense

cette envie, envie de liberté après beaucoup de souffrances. Dans les utopies, la qualité de vie est très mentionnée, le passage Eldorado de Candide ou le monde de Gondawa dans la Nuit des Temps de Barjavel, démontrent bien cette vie luxueuse. Les habitants sont riches ou du moins aisés, ils ne manquent de rien, et vivent une vie paisible dans le bonheur et l'abondance. En outre, il n'y a pas d'obligation quotidienne, « Fais ce que tu voudras » dans Gargantua nous montre la liberté du peuple. La vie

dans son article 10 proclame la liberté religieuse : « Nul ne doit être inquiété par ses opinions mêmes religieuses … » et la loi de 1905 instaurant la séparation de l’Eglise et de l’Etat qui repose sur la liberté des opinions et l’autorisation de la religion dans la société. Le principe de laïcité inscrit dans la constitution constitue aujourd’hui un des fondements de la République française. Le principe de laïcité associe la neutralité du service public et la liberté religieuse pour les agents et

Jaures). Quelle questions se pose t on a propos de la laïcité ? Comment protéger la liberté de conscience ? Comment garantir une liberté de culte ? Comment aménager une non reconnaissance réciproque Eglise/Etat ? La Laïcité française se construit sur 3 étages juridiques : Il y a une obligation de neutralité de l’état, et d’égalité de traitement de tous les citoyens. (principe constitutionnel). La religion en France doit s’exercer en public dans le cadre du droit privé (loi de 1901) Seul la

beaucoup de conséquences. Notre but, ici, n’est pas de considérer les répercussions de fait tels que les guerres civiles, les traités de paix ou l’autonomisation du politique ( pour reprendre l’intéressante analyse d’Olivier Christin dans "la paix de religion" ) mais de traiter des répercussions sur les idées. Ainsi, nous ne nous pencherons pas plus que nécessaire sur ce qui s’est passé mais plutôt sur la réflexion suscitée par ce sujet auprès d’auteurs du XVIè siècle. Les auteurs que nous allons

personnes concernées retourneront à leur pays d’origine, donc notre population diminuera, ce qui va causer plusieurs problèmes économiques, culturels... On ne devrait donc pas l’interdire.2 Aussi, si l’interdiction de ces signes a lieu, la liberté de religion sera brimée : non-accessibilité au travail, non-intégration, etc. 2 Ensuite, on ne devrait pas l’interdire puisqu’il y a beaucoup de personnes portant un signe religieux ostentatoire, donc ils pourraient se venger et nous faire mal ou bien