Leurs Yeux Toujours Purs Paul Eluard

Brassens, Paul Eluard ne nous raconte pas un amour éphémère mais un amour fou et passionnel. Dans « je t’aime », nous pouvons remarquer que les mots « Je t’aime » apparaissent plusieurs fois, ce qui donne un effet d’insistance. La femme est idéalisée, elle représente la sagesse. Paul Eluard aime cette femme car elle est son inverse : « Je t’aime pour ta sagesse qui n’est pas la mienne », « Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas ». * Dans un autre poème, « La courbe de tes yeux », Eluard

saison en enfer» (1873) dans laquelle il fait le récit d'une aventure poétique et d'une crise existentielle. • Lautréamont (1846-1870): «les chants de Maldoror» (1869). C'est une œuvre qui parle des damnés et des maudits (double de l’auteur). • Eluard (1895-1952): «donner a voir» (1939) ayant pour thème poétique la femme. CARACTERISTIQUES Le poème en prose se définit selon des critères: • effacement de la narration au profit d’effets suggestifs produit par le rythme, les sonorités

II- Lorsque la femme apparaît a) Joachim du Bellay «  Déjà la nuit en son parc amaissait » III- Les différentes représentations de la femme 1. L’éloge de la femme a) Paul Eluard  « La courbe de tes yeux » b) Leopold Sedar Senghor  « Femme noire » c) Louis Aragon  « Les yeux d’Elsa » 2. La femme insaisissable a) Marc Alyn « le long chemin qui conduisait à toi » 3. La femme cruelle a) Jean de la Fontaine «  La jeune veuve » b) Baudelaire « 

L ’am$r la poésie de Paul Eluard Capitale de la d$leur suivi de compara"ons de 7 poèmes de Essa" d’analyses et de M$h$bi Rakine 3e Capitale Répétitions : Capitale de la d$leur Après des années de sa%sse MANIE Pendant lesquelles le monde était aussi tran'arent qu’une aiguille R$c$ler s’agit-il d’autre chose ? Après avoir (val"é rendu grâces et )lapidé le trésor Plus d’une lèvre r$% avec un point r$% Et plus d’une jambe blanche avec un pied blanc Où n$s croyons-n$s donc ?

de la femme à travers la nature, avec sept poèmes, qui pour moi symbolise ma conception de la poésie, mais qui peuvent comporter des tas d’interprétations. « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre

le poème, si on fait son éloge, si c'est juste une rencontre éphémère, si c'est une source d'angoisse, de frustration. Notre anthologie s'ouvrira sur un poème de Paul Eluard intitulé « La courbe des tes yeux » extrait de « Capitale de la douleur », 1926 qui nous permettra d'étudier l'éloge de la femme en se focalisant sur ses yeux, élément important chez la femme. On peut voir dans ce texte que la femme est importante et son regard de même, qui apporte la vie. Puis nous poursuivrons avec «

Txt 2 : Paul Eluard, Capitale de la douleur, « La courbe de tes yeux… », 1926 Txt 3 : Francis Ponge, Le Parti pris des choses, « Le Pain », 1942 Txt 4 : Raymond Queneau, « Si tu t’imagines… », 1952 1 . Question : Quel effet le poète veut-il produire sur le lecteur, dans chacun des poèmes du corpus ? Vous pourrez, par exemple, vous interroger sur les différents registres dans lesquels s’inscrivent ces poèmes. Intro. Nous avons ici quatre textes de différents auteurs, -Eluard, Ponge

constat alarmant, d’une sensation ambiguë. La difficulté d’écrire son ressenti, ses sentiments, ont déjà touché une majorité de personnes; poète ou non, nous avons déjà tenté d’écrire l’intérieur de notre âme. Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un coir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux;

amoureuse mais l'homme se compare à un chevreuil. Ensuite nous étudions un poème de Paul Verlaine se nommant « La bonne chanson » publié en 1870. « La courbe de tes yeux » est un poème en quintils tiré du recueil intitulé Capitale de la douleur écrit en 1926 par Paul Eluard. Dans son poème, l’auteur fait l'éloge de la femme par un détail physique, il s'agit d'une éloge plutôt insolite : courbe des yeux mais aussi courbe du regard. « Non, l'amour n'est pas mort » de Robert Desnos est

Paul Eluard, Capitale de la douleur , 1926,  «  La courbe de tes yeux… »  Ce poème (présentation et structure) : Il est dédié à GALA , dont il est éperdument amoureux à cette époque - et l’amour fou est un thème prédominant chez les surréalistes. Il comporte 3 strophes de 5 vers, à la fois alexandrins, décasyllabes et octosyllabes : mélange curieux , à la fois classique et hardi, comme si le