Les Types De Credit Accordes Aux Particuliers

à 30 %) de la population n’a pas accès à un crédit classique faute de ressources stables suffisantes. Quand ils ne se voient pas interdire tout accès au crédit, ces ménages se tournent trop souvent vers la souscription de crédits renouvelables, au risque de s’engager, un jour ou l’autre, dans la voie du surendettement. Le microcrédit personnel est une des alternatives au crédit classique ; il permet d’ouvrir, de manière saine, l’accessibilité au crédit à ceux qui en sont privés. Dans un rapport remis

professionnel VI- LE CREDIT a) techniques de financement aux entreprises b) techniques de financement aux particuliers c) les suretés VII- LES RISQUES BANCAIRES I I- L’environnement bancaire a) L’organisation du système bancaire les missions d’un établissement de crédit : « Les établissements de crédit sont des personnes morales qui effectuent à titre de profession habituelle des opérations de banque (Réception des fonds du public, opération de crédit, ainsi que la mise à disposition

A. L’ouverture du compte B. La vente des crédits aux clients II. La clôture des comptes A. Les initiateurs de la clôture d’un compte B. Les risques et précautions à prendre Chapitre2 : Difficultés du chargé de clientèle I. Les risques de la clientèle des particuliers A. Les obligations du banquier B. La

Introduction : 1er partie : Présentation synthétique du groupe populaire marocain Chapitre 1 : Historiques du groupe et ses événements majeurs 1. Historique du groupe populaire du Maroc 2. Evénements majeurs Chapitre 2 : Le crédit populaire du Maroc et ses composantes 1. Le comité directeur 2. La banque centrale populaire 3. les banques populaires régionales 4. Quelques filiales et fondations du groupe populaire 2ème partie : L’agence YAACOUB EL

septembre 2008…………………... 3 2éme PARTIE : Description des différentes opérations de l’agence BMCI 3 1) .Le chargé clientèle……………………………………………………….. 3 2) .Les différentes formes du compte bancaire…………………………… 3 3) .Les types du cartes bancaires………………………………………… 3 4) Les types de crédits …………………………………………………….. 3 5) .Le Service guichet…………………………………………………………… 3 CHAPITRE I : Le secteur bancaire : 7 CHAPITRE II : Historique de la BMCI 8 Section1 : Principales étapes du développement de la BMCI : 11

BELGHITI chef de caisse,  ,Mr. MOUSADAK chargé de la clientèle , Mr. EL OMARI le responsable du service administratif de la succursale, Mr. NAOUAOUI le responsable du service commercial , Mr TALEB et Mr. AMRANI responsables du service crédit,qui m’ont accordé beaucoup d’attention au niveau d’apprentissage du métier et la réalisation de ce rapport. Finalement, j’exprime mon profond respect à mes professeurs, ainsi qu’à tous ceux qui ont contribué de leurs part à me procurer

des subprimes 8 B. La crise de liquidités 9 C. Le risque systémique 10 Conclusion 11 BIBLIOGRAPHIE 12 * Introduction Depuis le début de la crise des subprimes, pas une journée ne passe sans que des banques ou des établissements de crédit américains et européens ne révèlent des pertes abyssales. Selon une estimation du FMI en avril 2008, le coût global de la crise sur les banques s’élèverait à 565 milliards de dollars. Les gouvernements n’ont pas hésité à intervenir financièrement

|financement commercial etc. | 2. Les fondements du dialogue social Pour avoir une idée de la politique de dialogue sociale d’IBM, nous allons nous pencher sur ses différents accords. Tout d’abord, on peut remarquer qu’il existe des accords d’entreprise sur de nombreux domaines : - Temps de travail/astreintes - Congés payés - Classifications - Retraites, pré-retraites - Instances sociales - Essais professionnels - Expression

coloniale : ▪ Section 2: La banque : Définition et typologie ▪ Paragraphe 1: Définition   ▪ Paragraphe 2: les types de la banque : ▪ Section 3: Les activités bancaires : ▪ Paragraphe 1  : La réception des fonds du public : ▪ Paragraphe 2 : Les opérations de crédit : ▪ Paragraphe 3 : Les moyens de paiement et leur gestion : o Chapitre 2 : Le marketing bancaire et plan marketing :

normale aurait la faculté, en faisant usage de son stylo de créer autant de monnaie qu’elle le désire. Des banquiers rétorquent, on ne crée rien, on ne fait que mettre l’épargne confiée par nos clients à la disposition de l’économie (entreprises et particuliers). Les deux explications sont erronées. Les banques créent de la monnaie, mais dans des limites bien précises. La création monétaire est aussi assurée dans des faibles proportions par la Banque Centrale et le Trésor. 1 – COMMENT LES BANQUES