Les Troupes Ambulantes

pas lire, il fallait donc illustrer ce message. Les auteurs de théâtre ont réussi cela grâce au théâtre populaire. La Comedia dell’arte est un genre de comédie d’origine d’Italienne, né au XVème siècle. C’est un théâtre populaire joué par une troupe ambulante – au départ, puis sédentarisée – constituée de comédiens professionnels jouant masqués (ce qui leur permet de jouer plusieurs personnages). Dans chacune des scénettes un message y est glissé, souvent pour critiquer les riches. Le personnage d’Arlequin

que le goût des Romains pour le "spectaculaire" est ancien et constant et se retrouve partout (cérémonies, processions triomphales ou funéraires, goût pour l'éloquence...) : il y a toujours eu, en Italie, des spectacles donnés par des comédiens ambulants, sur des tréteaux provisoires devant un public debout. Au départ, les romains ne connaissaient que les satires rurales : des jeux comiques s’inspirant de la vie de la campagne et des expéditions guerrières. Ces scènes étaient jouées par de jeunes

Tirso il s’agit d’un sermon contre la repentance tardive : il faut expier ses péchés quand il en est temps. d. Le mythe européen Les plus grands auteurs vont ensuite broder sur ce canevas, répandu dans l’Europe tout entière par les troupes de théâtre ambulantes italiennes. Deux créateurs exceptionnels lui donnent toute sa stature : — Molière (1622-1673), dont la pièce, Dom Juan ou le convive de Pierre, date de 1665. — W. A. Mozart (1756-1791), qui écrit, avec le librettiste italien Lorenzo da

sociale). C’est aussi le siècle de l'art oratoire religieux.           Au début du 1-r siècle les acteurs ambulants venaient souvent à Paris, mais ils étaient • mauvais. Il n'existait qu'un seul théâtre en dur à Paris: L'hôtel de Bourgogne qui appartenait aux Confrères de la passion.           Les Confrères de la passion furent les propriétaires de L'hôtel de Bourgogne jusqu'en 1599. Cette troupe était spécialisée en mystères et disposait du monopole des représentations sur les places de Paris (monopole

classique=littérature sociale). C’est aussi le siècle de l’art oratoire religieux. • Au début du 17e siècle les acteurs ambulants venaient souvent à Paris, mais ils étaient mauvais. Il n’existait qu’un seul théâtre en dur à Paris : L’hôtel de Bourgogne qui appartenait aux Confrères de la passion. • Les Confrères de la passion furent les propriétaires de L’hôtel de Bourgogne jusqu’en 1599. Cette troupe était spécialisée en mystères et disposait du monopole des représentations sur les places de Paris (monopole

------------------------------------------------- Le théâtre profane La scène au Moyen Âge Le moyen-âge connait trois formes principales de scène. En Angleterre et en Espagne, on utilise souvent des cortèges de charrettes. L’ancienne "mansion" devient une scène ambulante (l’équivalent des actuels chars de carnaval), qui peut aller de place en place dans la ville, et autour de laquelle les spectateurs se rassemblent. Les acteurs jouent sur ces charrettes et sur une platée à même la rue, ou parfois sur une plate-forme

siècle, pendant une partie du règne de Louis XIV dont il est un temps le protégé. C'est un homme de théâtre complet : auteur, acteur, metteur en scène et chef de troupe. Tout jeune, il se lie avec une comédienne, Madeleine Béjard, prend le nom de Molière et fonde l'Illustre Théâtre qui fait rapidement faillite. Il devient comédien ambulant. En 1659, sa pièce Les Précieuses ridicules connaît un gros succès. En 1672, il compose Le Malade imaginaire, sa dernière pièce. Alors qu'il joue la pièce, il

réels, la place des Halles, aujourd’hui place de la République, étant le cœur marchand et populaire du Mans, au XVIIème siècle comme aujourd’hui. Quelques autres lieux sont mentionnés, tous faciles à repérer : Au chapitre 7, on apprend que la petite troupe, venue de Château-du-Loir (au sud de la Sarthe), se dirigeait vers Alençon en passant par Bonnétable ; là, Mlle de l’Étoile, victime d’un accident, a dû s’arrêter. Les comédiens ont dû renoncer à aller jusqu’à Alençon, contaminée par la peste ; ils

Thénardier (la famille d’accueil), Gavroche (le gamin de Paris), Marius (le jeune pompier). L’homme qui rit(1869) : Angleterre, fin du XVIIe. Un jeune lord est enlevé par une troupe de brigands et mutilé, la bouche fendue jusqu'aux oreilles. Abandonné durant une nuit d'hiver, l'enfant trouve refuge auprès d'un philosophe ambulant et devient saltimbanque, parcourant les routes et haranguant les foules aux côtés de son nouveau protecteur. C'est le début de quinze années d'errance pour celui qu'on surnommera

ils le décrivent comme étant « ivrogne », « un gredin » , « le plus fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur », « glissant comme une anguille», « mon entremetteur », « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant », «libertin », « le modèle titré de la débauche florentine », « Double poltron ! fils de catin ! » ; « ce misérable », « cette canaille » ; « traître à la patrie et assassin de son maître » .C’est une image peu positive et peu héroïque de Lorenzo