Les Tombées de la nuit

1)Progression dans le temps > « Demain, dès l'aube » = Etablissement d'une situation présente mais projection dans un futur imminent (aube), rapidité de l'action: « «Or du soir qui tombe » + « le jour sera pour moi comme la nuit ». On passe en l'espace de 8 vers du jour à la nuit avec CS de temps « dès que », idée d'immédiateté. (tombe: + que de l'immédiateté, c'est de la brutalité) > temps du futur, opposé au présent: « je t'attendrai »/ « je sais que tu m'attends » « j'irai », « je marcherai », «  je

L’herbe s’éveille et parle aux sépulcres dormants. 9 Que dit-il, le brin d’herbe ? et que répond la tombe ? 10 Aimez, vous qui vivez ! on a froid sous les ifs. 11 Lèvre, cherche la bouche ! aimez-vous ! la nuit tombe; 12 Soyez heureux pendant que nous sommes pensifs. 13 Dieu veut qu’on ait aimé. Vivez ! faites envie, 14 O couples qui passez sous le vert coudrier. 15 Tout ce que dans la tombe, en sortant de la vie, 16 On emporta d’amour, on l’emploie à prier. 17 Les mortes d’aujourd’hui

cette nuit où j’avais noyé mon désespoir et mon chagrin dans l’alcool. Comme je ne me sentais pas le courage de lui dire en face j’écrivis une lettre dans laquelle je racontais la nuit que j’avais vécue.  « Quelques jours après la mort de ton père je n’étais plus moi-même et après avoir oublié mes problèmes je m’étais dirigé vers le cimetière pour aller voir la tombe de ton père. Je lisais ce nom inscrit sur la tombe Brabon Philippe (1975-2009).Je n’étais vraiment pas bien  et il faisait nuit noire

la nuée; Et j'écoutais ce râle, et j'entendais ce chant. L'enfant avait cinq ans, et, près de la fenêtre, Ses rires et ses jeux faisaient un charmant bruit; Et la mère, à côté de ce pauvre doux être Qui chantait tout le jour, toussait toute la nuit. La mère alla dormir sous les dalles du cloître; Et le petit enfant se remit à chanter... -- La douleur est un fruit: Dieu ne le fait pas croître Sur la branche trop faible encor pour le porter. Chanson Les hirondelles sont parties. Le brin

puis le passage vers la nuit, ensuite la nuit qui tombe et enfin la description de la vie nocturne à Venise. Le premier champ sémantique, le coucher du soleil, se caractérise par les mots suivants : "rouge" (ligne 1), "falot" (ligne 4), "grande lanterne", "horizon serein" (ligne 7), "pied d’airain" et "bronze" (ligne 8). Tous ces mots déterminent un moment précis de la journée, le coucher du soleil, grâce aux sensations visuelles qu’elles suscitent . Le passage vers la nuit, le deuxième champ sémantique

vouloir, j'allai vers le cimetière. Je trouvai sa tombe toute simple, une croix de marbre, avec ces quelques mots: "Elle aima, fut aimée, et mourut." Elle était là, là-dessous, pourrie ! Quelle horreur ! Je sanglotais, le front sur le sol. J'y restai longtemps, longtemps. Puis je m'aperçus que le soir venait. Alors un désir bizarre, fou, un désir d'amant désespéré s'empara de moi. Je voulus passer la nuit près d'elle, dernière nuit, à pleurer sur sa tombe. Mais on me verrait, on me chasserait. Comment

l’évocation de son indifférence au monde extérieur. En effet, Hugo utilise des verbes de perception soit à l’infinitif ( v.6, « sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit ») soit à une forme conjuguée ( v. 9 je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe »), toujours à la forme négative. L’amoureux est fermé au monde extérieur, tout entier à la pensée de celle qu’il aime. Si douloureuse soit-elle, cette séparation est sur le point de cesser, Hugo évoque en effet dans les deux premières strophes le

pleine nuit. Dans la chambre, il n'y a que le lit à barreaux de mon fils et celui-ci qui dort profondément dans son lit. Je ne vois pas son visage, mais je vois son corps dans sa position habituelle de sommeil. J'aimerai le regarder dormir, mais je ne peux pas bouger et donc entrer dans la chambre. Au moment où je me rends compte que je suis paralysée, je sens monter en moi une grande angoisse. Il se passe alors une chose incroyable : le matelas du lit de mon fils disparaît et celui-ci tombe dans

Reine de la nuit, Pamina, dont il tombe amoureux. Il est courageux et prouve sa sagesse, son honnêteté, sa bravoure et sa bonté en surmontant trois épreuves. ➢ Papageno : est un oiseleur qui doit sur ordre de la Reine aider Tamino. Il est menteur, volage et ne suit pas les consignes. Malgré tout, il se liera avec Papagena. ➢ Pamina : est la fille de la Reine de la nuit, enlevée et détenue par Sarastro et elle va devenir l’épouse de Tamino dont elle est tombée amoureuse

noyée dans la Seine, le 04 septembre 1843 à Villequier. Cet ouvrage est essentiellement un ouvrage de souvenir, mais aussi de l’amour et de la mort. Les textes choisis sont : A ma fille, La coccinelle, Crépuscule, Mors, Aux feuillantines, Voyage de nuit. Le choix de ces textes a été influencé par l’identification de ma propre personne à travers ces derniers ; avec des thèmes comme l’enfance et ses souvenirs, de l’amour ou encore de la mort inévitable qui s’applique à tout individu.