Les Texte épique

l’originalité de cette scène d’ouverture, qui répond au attendes d’un incipit tout en déroutant le lecteur. Nous étudierons en premier temps l’organisation des descriptions pour nous intéresser ensuite a l’humour et la mise à distance dans ce texte. Commentaire composé : 1) L’organisation de la description. a) Une scène de toilette intime. Champs lexical de la salle de bain et du corps humain : « Épiderme » ligne

TEXTE 3 / séquence 1TABLEAU d’ANALYSE SYNTHETIQUEUn souvenirNom communQui me fait...encore...est / la plume me tombe des mainsPSR du nom souvenir/Présent d'énonciation del'autobiographe en opposition aux temps du récit ( imparfait/PS)/ adverbe de temps-durée/lexique de l'écriture (plume)/ expression imagée (me tombe des mains)Passages du récit autobiographique où l'auteur s'exprime à postériori (références au moment de l'écriture et non pas au moment de l'histoire racontée)/ il ya 2 JE dans

sont réfugiés dans l’abbaye. Frère Jean va faire preuve d’une grande violence pour défendre son raisin servant à produire le vin de l’abbaye. Lire le texte !! Problématique : Comment Rabelais arrive-t-il mettre le registre épique au service de la parodie polémique ? I) Un combattant redoutable a) Un héros guerrier Registre épique Description de scène de combats Ligne 1 à 3 : frère Jean se met en tenue de combat Il se bat seul contre les ennemis Ligne 7 à 15 : Grand nombre d’ennemis

La description et la narration Le texte narratif raconte un événement et en situe le déroulement dans le temps et l’espace. Le texte descriptif tente de dépeindre (pour le lecteur) un lieu, un personnage, une classe sociale, etc. L’accent est donc mis, généralement, sur la précision du vocabulaire. Le texte argumentatif peut se retrouvrer dans un roman. Sa fonction est de convaincre le lecteur ou l’interlocuteur d’adopter un point de vue, une idée. Le présent a différentes valeurs : - il exprime

met en œuvre des procédés d'écriture qui donnent à son récit à la fois un réalisme saisissant (comme si la scène se déroulait sous nos yeux) et un caractère captivant plein de suspense. La séduction du récit tient également au mélange des registres épiques et parodiques. A ces deux dimensions du récit - il captive tout en amusant – s’ajoute une troisième : la visée didactique et morale qui se dégage du dernier paragraphe. Le récit commence au passé et se poursuit au présent de narration (§ 3 et 4)

assister à la grande bataille entre le roi de France et le roi de Prusse, travestis respectivement en roi des Abares et roi des Bulgares. Alors que ce texte apparaît comme un éloge de l’armée et du combat, l’ironie et le réalisme en font un violent réquisitoire contre la guerre. I. Un discours apparemment favorable à la guerre. • Un registre épique au service de l’éloge. - Occurrences en relation avec le héros : « héroïque « (l. 11), « les héros » (l. 25), « quelques héros » (l. 20) - Verbes d’action

 Tristan et Iseut (vers 1170, Béroul) Contexte de l’œuvre : voir livre Français Littérature p. 54/55 et 58/59 I) un héros classique : Il est mis en valeur par l’utilisation du registre épique (ensemble des procédés stylistiques qui mettent en valeur les exploits d’un guerrier). 1°) Dévalorisation de l’attitude des autres : -les barons : attitude lâche et hypocrite : ils pleurent sur lui (alors que le chapeau mentionne qu’ils l’ ont envoyé au combat). Utilisation du discours direct

I - QUEL EST L'INTERET DU SUJET ? L'intérêt de ce texte de Chateaubriand, extrait des Mémoires d'outre-tombe , pourrait n'être que biographique. Ce serait négliger les talents de prosateur et de romancier de l'écrivain qui, à partir d'une scène apparemment réelle, transfigure le souvenir de jeux d'enfants en épisode romanesque plein de joyeuses péripéties. On l'a compris, l'envolée épique n'est pas sans humour et donne à cette page sa vivacité et son charme attendrissant : Chateaubriand

Enoncé du devoir ________________________________________________ Corpus Texte A : Jean de La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, 1668-1696. Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, 1668-1696. Texte C : Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, 1668-1696. Texte D : Jean Anouilh, « Le Loup, la louve et les louveteaux », Fables, 1946. Texte E : Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’éducation, 1762. Questions

définition, il apparaît qu’il ne faut pas tenir compte forcément de la longueur du texte pour décider si celui-ci est un roman ou une nouvelle. Cela dit, la nouvelle est généralement un récit court et cette brièveté permet d’intensifier l’effet produit par le texte. À la différence de la fable, il n’y a ordinairement pas de morale dans la nouvelle ; il n’y a donc pas de conclusion, d’enseignement à tirer du texte. En général, le récit est centré autour d’un seul événement (fait ponctuel, parfois