Les Temps Modernes Deshumanisation Charlie Chaplin

à la flânerie et d’augmenter la productivité de ses employés. Cette organisation consiste en la division horizontale du travail, c’est-à-dire décomposer la production d’un objet en une succession d’étapes simples permettant une optimisation du temps de chaque ouvrier et donc une plus grande productivité. Mais elle consiste aussi en la division verticale du travail entre les salariés chargés de la conception du produit et ceux chargés de la réalisation. C’est aussi les premiers pas du travail

à Détroit, prolonge l’OST. Le « fordisme » repose également sur 3 principes : ? sur le plan technique, Henry FORD invente le travail à la chaîne : les pièces sont transportées sur un tapis roulant, le convoyeur, ce qui évite des pertes de temps ; ? sur le plan économique, le fordisme est à l’origine de la production de masse : ε pour que la chaîne soit efficace, il faut produire des objets identiques, standardisés. Il en résulte des économies d’échelle importantes dues à l’amortissement

montre que le travail ne laisse même pas le temps à l'Homme de trouver une occupation en dehors de son travail. Cette canalisation de la pensée des faits et gestes de l'individu "constitue la meilleure des polices" en ce sens où l'individu est sans cesse surveillé est contrôlé. Ainsi, bien avant que Georges Orwell introduise Big Brother dans son livre 1984, ou que Charlie Chaplin effectue ses critiques de la société industrielle dans Les Temps Modernes, Nietzsche montrait déjà que cette police représentée

disponible, à un coût moins élevé. En outre, la machine remplace à son tour un grand nombre de travailleurs, avec pour conséquence la baisse des salaires et l’augmentation du chômage. (faire une référence au film Les Temps Modernes de Charlie Chaplin qui met en scène cette déshumanisation des ouvriers). L’homme se retrouve aliéné, car la valeur de ce qu’il produit par son travail est inférieure à ce qu’il reçoit en échange de celui-ci, c’est à dire son salaire. Marx assimile le travail salarié à

d’en (ab)user. Comme l’a dit Kant, l’homme n’ayant que des devoirs envers les autres hommes, il peut devenir propriétaire de la nature. Dans cette perspective-ci, il est tentant de rapprocher technique et liberté. Cependant si l’on regarde l’ère moderne qui a précédé notre époque, la technique prend une place tellement croissante dans nos existences que l’on en devient dépendant… Or « dépendant » est différent de « libre ». En effet, il suffit de constater la soumission de l’ouvrier qui travaille

tenir à celui que lui imposerait, dans des limites toujours restreintes, le retour (d'ailleurs impossible) à l'outil, après suppression de la machine. Pour ce qui est de l'uniformité du produit, l'inconvénient en serait négligeable si l'économie de temps et de travail, réalisée ainsi par l'ensemble de la nation, permettait de pousser plus loin la culture intellectuelle et de développer les vraies originalités. » Bergson (1) Ce grief (ou ce reproche) essentiel, c'est, selon Bergson, d'avoir poussé

est inefficace. Il y a deux raisons essentielles : les pertes de temps liées à des mouvements inutiles : il faut trouver une manière uniforme de gestion de la production permettant de réduire ces mouvements inutiles et ne pas perdre de temps, il faut une étude complète des mouvements et des temps. L’économie de temps s’effectue selon Taylor par le remplacement des ces mouvements malhabiles en mouvements rapides. Les pertes de temps liées à la flânerie : il distingue la flânerie naturelle et la flânerie

Le travail dans l’Antiquité, le travail à l’époque moderne : différences essentielles ? Nature Le travail est l’activité qui vise à la transformation des ressources naturelles dans le but de les adapter aux besoins puis aux désirs de l’homme. Il s’agit donc d’une action volontaire et raisonnée de l’homme sur la nature, conduite par une méthode. Dans l’Antiquité, la main était le principal outil de l’homme. Selon Aristote, la main prédestine l’homme au travail puisqu’elle lui permet de transformer

ville champignon, qui surgissent parfois au milieu d’un désert. Introduction : « Ville champignon » est un poème du recueil Du monde entier au cœur du monde, de 1958, écrit Blaise Cendrars. Le poète est un passionné de voyage, d’aventure et du monde moderne, le thème du voyage et donc un thème central dans son œuvre. Dans ce poème nous pouvons retrouver la création étape par étape d’une ville dans l’Ouest américain. Ce poème ne possède aucune ponctuation, c’est un poème en vers libre. Comment le poète

davantage de l’incohérence patronale puisque la décision finalement prise est le licenciement pour un motif absurde, un vol de clou. De ce fait, les ouvriers sont en stresse permanent, devant travailler toujours plus vite, à l’image des Temps Modernes3 de Charlie Chaplin où l’entreprise se personnifie presque et devient bourreau. La productivité est telle, qu’à la page 145 s’amorce la fabrication de chapeaux en papier, il y en a tant qu’ils prennent presque la moitié de la scène. De ce fait, le couple