Les Subsistances

poussant même jusqu'à la mendicité, selon le témoignage notamment de Reinhold Hanisch4,5. Plus tard, dans Mein Kampf, il écrit : « Cinq années pendant lesquelles je dus, comme manœuvre d’abord, ensuite comme petit peintre, gagner ma subsistance, maigre subsistance, qui ne pouvait même pas apaiser ma faim chronique. Car la faim était alors le gardien fidèle qui ne m’abandonna jamais, la compagne qui partagea tout avec moi. Chaque livre que j’achetai eut sa participation ; une représentation à l’opéra

alors maîtres de décisions stratégiques et peuvent organiser l’exploitation de la main d’œuvre ➢ De la répartition des richesses produites : les travailleurs créent de la valeur qui permet non seulement de les rémunérer (au niveau du salaire de subsistance) mais aussi pour créer une plus value (différence entre la valeur produite par la force de travail et ce que coûte cette force). Les capitalistes s’approprient cette plus value. Ainsi, l’exploitation économique des prolétaires s’organise (c’est

situation de guerre. Les familles ne pouvant subsister aux besoins de leurs enfants, certains se désignent pour s'enrôler dans l'armée ou les groupes paramilitaires, soulageant ainsi leurs proches d'une bouche à nourrir, tout en assurant eux-mêmes leur subsistance. On trouve aussi beaucoup d'enfants drogués, drogue qui leur donne envie de se battre. Du côté des recruteurs, les raisons sont facilement explicables. Les enfants ne coûtent pas cher en nourriture, ils sont dociles, influençables, et facilement

photo L’agriculture est née avec la mise en terre de premières semences et de la domestication des animaux par l’homme, lors de la Révolution néolithique, il y a plus de dix mille ans. On peut supposer que cela a débuté par une agriculture de subsistance. Puis, peu à peu, s'est créée une agriculture de production et de négoce. Aujourd’hui, l'organisation des marchés, la démographie, les techniques, le savoir faire et l’application de hautes technologies sont à la disposition de l'agriculteur pour

premières lignes du texte, le curé dit : « Le dernier des malheurs, c’est que la moisson ensuivante fut entièrement marquée, ce qui fut cause que le grain fut d’un grandissime pris. » (lignes 1-2). « Le dernier des malheurs » correspond à la crise de subsistance de 1693-1694, à la famine que connaît la France, et tout particulièrement le village de Rumegies, cité dans notre extrait. Tout d’abord, cette crise est la conséquence de la dégradation climatique. En effet, entre 1690 et 1710, la France connaît

dépendance économique ». Suite à cette problématique, nous étudierons dans un premier temps la provenance de la violence : la subsistance antérieure d’une situation de dépendance économique (I), puis dans un deuxième temps l’exploitation abusive d’une situation de dépendance économique caractéristique de violence économique (II). I) La provenance de la violence : la subsistance antérieure d’une situation de dépendance économique On étudiera une situation de dépendance économique : une modalité

toute société, ces sociétés primitives sont « sans État, sans écriture et sans marché » . En effet, ces sociétés sont basées sur une économie de subsistance . Cela ne signifie pas qu'elles sont en infériorité technologique et que ces sociétés vivent le jour le jour en recherchant en permanence de la nourriture . Au contraire , L'économie de subsistance assure une maîtrise du milieu naturel adaptée et relative à leurs besoins. Ce mode de vie coordonne avec la culture du « refus d'un excès inutile »

: 1870 20 30.5 31 1912 12.8 à 16.3 19.2 28.6 31 à 32 40 - Progrès hygiène & santé o Vaccin variole (Jenner, 1796) o Révol° microbienne (Pasteur, 1822-1895 & Koch 1843-1910) o Désinfect°, antisepsie, anesthésie - Révol° transport ↘ crise de subsistance - Révol° ind & agr : ↗ niv de vie o Meilleur alim° o ↘ insalubrité  ↗ espérance de vie ( + chez les femmes)   Vers 1850   Suède  41   RU  40   Russie  ?   Inde  ?  Inégalité devant la mort selon classe sociale : - Vers 1900 52 47

fonctionnement et leur impact socio-économico-environnemental : • l’agriculture intensive • l’agriculture biologique • l'agriculture durable • l’agriculture raisonnée • l'agriculture biodynamique • l'agriculture extensive • L'agriculture de subsistance. • L'agriculture paysanne. • L'agriculture vivrière. • L'agriculture de précision. Technique agricole L’agriculture hors-sol : culture successivement hydroponique, aéroponique, puis ultraponique. Pulvérisation d’un champ par avion

partir d’un seuil de revenu minimal ou « un minimum de subsistance », calculé à partir de la valeur monétaire d’un panier minimal psychologique de biens et de services. Les deux autres taux sont mesurés suivant une pauvreté subjective (est-ce que les individus se considèrent comme pauvres ?) et par une pauvreté en termes de privations. Les résultats obtenus varient suivant la méthode. Seulement la moitié des pauvres suivant le « minimum de subsistance » le sont aussi selon le critère de privation. Ces