Les Soirées De Médan Guerre 1870

fantastique et de pessimiste. Il devient, pendant ses jeunes années, le disciple de Gustave Flaubert. Il participe à la guerre franco-prussienne en 1870. Avant d'écrire des romans et des nouvelles, Maupassant écrit pour des journaux comme Le Figaro, L'Echos de Paris ou encore Le Gaulois ou il y rencontre Emile Zola. Il participe à un recueil d'écrivain naturaliste nommé "Les soirées de Médan" ou il y rencontre le succès avec sa première nouvelle: "Boule de suif" en 1880 avant la disparition de Flaubert

C’est surtout là qu’il côtoie Gustave Flaubert qui deviendra son mentor littéraire et lui fera également rencontrer des auteurs comme Alphonse Daudet, Emile Zola. Il voyage beaucoup notamment en Algérie, Italie, Angleterre etc. En 1870, il part comme volontaire à la guerre franco-prussienne. En 1871, il quitte la Normandie et s’en va à Paris où il passe 10ans en tant que commis du Ministère de la Marine. En 1878, il est transféré au Ministère de l’instruction publique et commence à écrire pour des

Il vit une enfance plutôt malheureuse. A l’âge de 12 ans, il est envoyé en pension au collège religieux d’Yvetot, qui sera à l’origine de son dégoût de la religion. Il intègre ensuite le lycée de Rouen en 1868. Maupassant est mobilisé pour la guerre de 1870 contre la Prusse. Il sert dans l’intendance à Rouen jusqu’à la débâcle de 1871. Il travaille ensuite à Paris comme fonctionnaire au Ministère de la Marine pendant près de 10 ans, puis au Ministère de l’Instruction publique. Ces emplois administratifs

paresseux et charmeur. Son père et sa mère ne s’entendent pas et se séparent. Laure élève, seule, ses deux fils Guy et Hervé. Il termine ses études au lycée, à Rouen où le poète Louis Bouilhet lui sert de correspondant. Il a vingt ans quand éclate la guerre de 1870 : mobilisé, il assiste à des scènes de déroute et de résistance qui nourriront longtemps ses premiers contes. Il commence ensuite des études de droit, mais pour gagner sa vie, il entre au ministère de la marine, puis à celui de l’instruction civique

envoyé en pension au collège religieux d’Yvetot, qui sera à l’origine de son dégoût de la religion. Il intègre ensuite le lycée de Rouen en 1868.  Une carrière avortée dans l’administration Au sortir du collège, Maupassant est mobilisé pour la guerre de 1870 contre la Prusse. Il sert dans l’intendance à Rouen jusqu’à la débâcle de 1871. Il travaille ensuite à Paris comme fonctionnaire au Ministère de la Marine pendant près de 10 ans, puis au Ministère de l’Instruction publique. Ces emplois administratifs

d'Yvetot et c’est à ce moment qu’il commence à versifier. C’est aussi à cet endroit qu’il développe une certaine hostilité envers la religion. En 1869, il part étudier le droit à Paris, mais le déclenchement de la guerre va modifier ses plans. En 1870, il s’enrôle lors de la Guerre franco-prussienne en tant qu’artillerie, puis revient s’installer définitivement à Paris. Il passe donc dix années en étant employé aux ministères de la Marine puis au ministère de l’instruction publique[2]. Ces années

participant beaucoup aux pièces de théâtre. A cette époque il côtoie Gustave Flaubert dont il devient le disciple. Après l'obtention de son baccalauréat en 1869, il s'inscrit à la faculté de droit de Paris. Mais en 1870, il s'enrôle comme volontaire de la guerre franco-allemande. Après la guerre, il paie un remplaçant pour achever à sa place son service militaire. Il va à Paris. A Paris Maupassant passe 10 années comme commis d'abord au ministère de la marine puis au ministère de l'instruction publique

Guy comme un maître et deviendra son ami –, est issue de la bourgeoisie normande. Scolarité en Normandie, puis études de droit à Paris interrompues par la guerre de 1870. Maupassant passe son enfance et son adolescence avec son frère cadet et sa mère, séparée de leur père (1860), à Étretat. Un petit fonctionnaire (1871-1880) Après la guerre (où il s'est engagé comme garde mobile), tenté par les lettres, Maupassant doit cependant gagner sa vie et accepte un poste de fonctionnaire de petit rang au

chroniques dans la presse. En novembre 1864, il publie un recueil de nouvelles : Les Contes à Ninon. Il publie son premier roman, d’inspiration autobiographique en 1865 : La Confession de Claude et rencontre Gabrielle-Alexandrine Meley qu’il épousera en 1870. Il quitte Hachette et devient chroniqueur littéraire à l'événement de Villemesan en 1866. Pendant trente jours Zola écrit sans savoir quel serait son sort. Il recueille un certain nombre de ces articles sous le titre Mes Haines. Il publie également

le Figaro, Gil Blas, Le Gaulois et l'Echo de Paris. Un an plus tard, il publie une de ses nouvelles dans le receuil collectif des auteurs naturalistes "Les soirées de Médan". Il va désormais vivre de ses livres et publiera près de 300 nouvelles en 10 ans. Dans ses oeuvres, il raconte la Normandie de son enfance, ses souvenirs de guerre de 1870, la médiocrité et le sinistre des milieux parisiens, il passe une vie riche, visite l'Angleterre sur son yacht, l'Italie, l'Afrique du Nord. Mais il est progressivement