Les Soins Relationnel La Communication

importante mais l’entretien à pour but d’entendre les problèmes pour pouvoir trouver une prise en charge adaptée. Il ne s’agit pas là d’un entretien thérapeutique mais bien d’un entretien de première demande de prise en charge pour un programme de soins à but thérapeutique. Plusieurs compétences ont été mobilisées et des liens avec les Unités d’enseignements faits. La compétence 1 : « évaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier » Mise en lien avec l’UE3

interpellé et les interrogations suivantes ont surgi : Qu'est ce que j'aurais fait dans une telle situation, Est ce que j'aurais pu garder mon sang froid ? Aurais je abandonné ? Ou alors demandé de l'aide ? Est ce que j'ai adopté la bonne communication face à cette situation ? Est ce que je suis prête à faire face à de telles situations ? Capacité à se questionner et à rechercher des informations pour comprendre la situation Mon ressenti face à ce qui c'était passé à l'instant présent

U.E. : UE 4.2 - Soins relationnels Analyse de pratique SEMESTRE : S5 DESCRIPTION Je me trouve en présence de Mr F. âgé de 77 ans, officié de la marine à la retraite. Il est atteint de la maladie d’Alzheimer se manifestant par une aphasie, agnosie et des troubles mnésique avec un déficit visuel et auditif. Nous nous trouvons dans un établissement gériatrique spécialisé dans la prise en charge de personnes en atteinte de la maladie d’Alzheimer, en début de soirée, à l’heure du changement

Boulogne-Billancourt (France) Entreprise : Sephora SA Chiffre d’affaire : 1,1 milliards d’euros pour Sephora France (2011) Chiffre d’affaire : 23,6 milliards d’euros pour LVHM (2011) Produits : parfums, maquillages, soins et produits solaires (visages et corps), produits capillaire (hygiène, soins, coloration, extension, accessoires) et cosmétiques, service personnalisés. Nombre moyens de références : + De 15000 en moyenne Nombre total de marques : 250 Positionnement du cœur de l’offre : Grande marques

13h30 à l’un des enfants que je pris en ma charge depuis le début de mon stage. Il s’agissait d’un jeune garçon de 10 mois, se prénommant N.T, très calme mais assez réactif. Il participe avec plaisir aux activités qu’on lui propose, et rentre en communication avec l’adulte dès lors qu’on le stimule. Cet enfant a eu un rhume quelques jours auparavant, qui s’est vite transformé en infection conduisant au diagnostic d’une bronchiolite. T.N présentait une gêne pour la respiration, il avait des sifflements

douloureux ou parfois même peut communiquer simplement, par grognement par exemple. * Stade2 : La capacité d’éveil du patient a disparue à ce stade. La réponse a des stimuli douloureux, parfois encore existante, n’est pas appropriée et la communication est devenue impossible. * Stade3 : Il s’agit du coma profond .Il n’existe plus aucune réaction aux stimuli douloureux et des troubles végétatifs peuvent apparaître. * Stade4 : C’est le « coma dépassé » qui est en réalité un état de mort

Confiance et relationnel : Pour instaurer une relation de confiance et une bonne entente, il faut une bonne communication entre le patient et le soignant. Pour cela, il est nécessaire d’avoir un récepteur (le patient) et un émetteur (le soignant), et que ces 2 participent activement. Pour instituer une bonne relation entre le patient et le soignant, l’attention et la concentration sont des éléments indispensables. L’écoute est également importante car elle favorise l’expression authentique du ressenti

Rieux en Cambresis Troisième année : 10 semaines en gynéco-obstétrique à l’hôpital de Denain Synthèse des actes et activités : Actes et activités effectués | Actes et activités non effectués | -Entretien d’accueil et d’orientation -Soins d’hygiène et de confort -Entretien d’aide, entretien thérapeutique -Examen clinique d’un patient dont mesure des paramètres vitaux -Prélèvement veineux -Prélèvement capillaires -Injections parentérales avec calcul de dosage -Perfusions parentérales

ANALYSE REFLEXIVE Cette analyse concerne un soin relationnel (entretien infirmier de type informel) avec une patiente admise pour un sevrage alcoolique dans un contexte difficile. Préambule Mme M a 56 ans, elle est admise dans la clinique, pour la première fois, pour un sevrage alcoolique. C’est une patiente qui dit s’alcooliser depuis longtemps (adolescence) et de façon massive, son alcoolisation est associée à une consommation de tabac et de cannabis. Mme M est célibataire

coulent de ses yeux et elle me dit : « je préfèrerais mourir plutôt que de vivre comme cela ». Moi, connaissant les antécédents de névrose d’angoisse de Mme X, je me suis sentie complètement désemparée et, ne sachant pas quoi dire, je continuais mes soins tout en essayant de comprendre exactement ce qui lui faisait dire cela. Elle me répondait simplement : « j’en ai marre, je veux mourir ». J’essayais tant bien que mal de la faire changer de sujet, de la faire passer à autre chose mais en vain.