Les Soeurs Vatard J K Huysmans

sera au final un échec. Résumer A rebours sans sombrer dans l'analyse est difficile, aussi m'en tiendrai-je là. Résumé officiel. "On finira par donner de simples études, sans péripéties ni dénouement" écrivait Emile Zola à propos des Soeurs Vatard de J-K Huysmans. A Rebours exauce les promesses de son titre. Entremêlant au récit dd'une rupture avec le monde réel des contes, des poèmes en prose, des considération intempestives, des pages d'Histoire ou de critiques, il donne l'exemple d'un des "antiromans"

à mesure que le train roulait. La terre trembla, et, dans une buée blanche, tisonnée d’éclairs, dans une rafale de poussière et de cendre, dans un éclaboussement d’étincelles, le convoi jaillit... » Les soeurs Vatard (Goncourt)   Émile Zola vécut aux Batignolles une période décisive pour l'épanouissement de son art romanesque. En effet, ce quartier abritait alors, dont le sillage d'Édouard Manet, de jeunes artistes que Zola appelait les paysagistes. Ces rencontres

généralement aux trois formes canoniques de la libido : la libido sentiendi (le désir sensuel tel qu’on le trouve, par exemple, chez Valmont ou Juliette), la libido sciendi (le désir de lever les secrets, de transgresser l’interdit, tel qu’il apparaît chez K. dans Le Procès, ou chez les héros de Jules Vernes dans L’Ile mystérieuse), la libido dominandi (la passion du pouvoir, si caractéristique des personnages balzaciens, de Corentin à Rastignac). * Le système de sympathie . Le système de sympathie

L’Université d’Islande Centre des Humanités Une « gaieté sinistre » L’ironie dans le roman En ménage (1881) de Joris-Karl Huysmans Mémoire de Master 2/Maîtrise Janvier 2009 Yrsa Þöll Gylfadóttir L’Université d’Islande Centre des Humanités Etudes françaises Une « gaieté sinistre » L’ironie dans le roman En ménage (1881) de Joris-Karl Huysmans Mémoire de Master 2/Maîtrise Yrsa Þöll Gylfadóttir Direction: Torfi H.Tulinius – L’Université d’Islande Véronique Cnockaert – L’Université

extending to the First World War, embodying a mood if not exactly a movement, clung to an elitist concept of culture and opposed the threat posed by socialism and feminism. In 1884, Verlaine introduced Rimbaud and Corbière in his Poètes maudits and Huysmans extolled Mallarmé in À rebours whose hero, Des Esseintes, epitomized the archetypal Decadent. To the rebel poets of the 1870s were now added influences from abroad: German Romantics and philosophers, the music of Wagner and his ‘synthesis of the arts’