Les Regrets Sonnet 5

LES REGRETS D'UN HOMME QUI A TOUT PERDU INTRODUCTION La situation que j'ai choisi de développer et d'analyser, c'est déroulée lors de mon deuxième stage dans un lieu de vie. C'est une situation de communication que j'ai vécu en terme d'apprentissage en relation humaine. Dans un premier temps, je décrirais la situation en précisant le lieu, le moment, ainsi que les personnes actrices de cette situation

Grandbois, sensuel, en prise sur les sensations, sur la réalité concrète comme chez Horace ou Apollinaire, onirique comme chez Nerval, engagé socialement comme chez Miron, etc. La forme que prend le texte lyrique est elle aussi très variable: chanson, sonnet, poème en vers réguliers, poème en vers libres, etc. Mais, à travers cette grande diversité de formes, le but de la poésie lyrique reste le même: exprimer les sentiments de l'individu, une vision du monde unique par un travail sur la langue, sur le

............................4 4.2.2Ronsard................................................................................................5 4.2.3Agrippa d'Aubigné................................................................................5 5Conclusion..........................................................................................................5 Index des illustrations Figure 1- François Rabelais..................................................................................

Biographie de Charles d’Orléans (1394-1465) Charles d’Orléan, né à Paris le 24 novembre 1394 et mort à Amboise le 5 janvier 1465, était un petit fils de Charles V et le fils de Louis Ier, duc d’Orléan et de Valentine de Milan. Il fut bercé dans le gout des lettres et des arts. A seize ans son père fut assassiné par le Duc de Bourgogne et sa mère mourut un an plus tard en laissant comme but à ses enfants de poursuivre le meurtrier de leur père. Lors de la bataille d’Azincourt(1415), Charles

NB: QUELQUE CHOSE DE MATHEMATIQUE DANS LES CHIFFRES QUI MARQUENT LE SONNET: 14 vers/ 2fois 4/ 6:2=3 donc 2fois3 Pour Valéry, mais Baudelaire le dit aussi, la perfection du sonnet, si on l'atteint, renforce les sentiments qui jaillissent plus forts de la contrainte que de la souplesse. ***Mais dangers de contraintes stériles et, lassitude, au fil du temps, envers la forme. Aujourd'hui, on n'écrit plus en vers et plus de sonnets. ***Anciennes formes brisées ( déjà au 19°) mais nécessité d'en

les poètes deviennent des artistes reconnus et protégés par les grands seigneurs et rois. Les poètes de la Pléiade, Ronsard et du Bellay, enrichissent la littérature par l'imitation des poètes anciens et introduisent des formes nouvelles comme le sonnet. Par ailleurs, ces poètes n'hésitent pas en tant qu'humanistes à s'engager dans les conflits de leur époque. Le XVIIème siècle est divisé : d'une part l'art baroque qui privilégie l'exubérance et d'autre part, durant la seconde moitié du siècle

situe dans la première des six parties du livre qui est « spleen et idéal » où les principaux thèmes sont la fuite du temps, la peur de la mort, le regret ou encore les souvenirs. Le mot Spleen est opposé à Idéal dans cette partie car c’est ce vers quoi Baudelaire veut aller, il cherche à atteindre l’idéal. Ce poème se présente sous la forme d’un sonnet, composé d’alexandrins avec une inspiration plutôt vers le bas. Il commence par une question posé au poète qui lui enchaine par sa réponse. Baudelaire

1. Remarques générales: Pour analyser un poème: Thématique (champ lexicaus, choix des mots (mots durs, allusions...), emplacement des thèmes, figures de style, relation entre les champs lexicaux) Versification (alexandrins, quatrains, tercets, sonnets, rimes plates, rimes croisées, rimes embrassées) Musicalité (rythme (césures à l'hémistiche ou autre) , sonorités (si ya plein de sons en "r" c'est plutôt dur, si yen a plein en "éve" c'est plutôt doux...) Temps des verbes Éléments biographiques

vivacité des images. 4 En tant que texte, les cent cinquante poèmes davidiques constituent un support d’écriture[5]  Sont ainsi volontairement exclus de cette problématique...[5] abondamment utilisé. Ils ont en effet souvent été traduits, c’est-à-dire transposés formellement, et sont apparus également réécrits par fragments, dans les tragédies chrétiennes de Racine par exemple. 5 Or les paraphrases en vers, nombreuses à l’âge classique, se présentent comme des objets d’étude qui se dérobent à

destinataire non-identifiable, un lecteur ? Quels que soient les destinataires, le poète les associe à son passé lointain ou proche  par « souvenir » (l.  ou v.  1), « de ma ve » (l.  ou v.  2), « ancienne musique » (l. ou v. 4) « liens » (l. ou v. 5) et l’unifie par la présence des nasales dans tous les vers ou lignes (hormis en 3) et par une régularité rythmique en 1 et 2. L’emploi particulier du verbe impersonnel, et d’abord métaphorique ou au sens figuré, « il pleut » peut souligner que le poète