Les Regret Sonnet 48

troupeau» qui laisse ses vaches s’empoisonner est comme un dieu indifférent au sort de ses créatures, bovins ou humains. Les vaches, qui sont «lentes et meuglant» parce que le poète prend ou affecte de prendre ces meuglements pour l'expression d'un regret, leur lenteur, pour la réticence à s'arracher au pâtis, abandonneraient «pour toujours ce grand pré» : en fait, ce n’est que pour tout l'hiver. Mais c’est le poète qui veut se convaincre d’abandonner pour toujours la pensée de cette femme infidèle

troupeau» qui laisse ses vaches s’empoisonner est comme un dieu indifférent au sort de ses créatures, bovins ou humains. Les vaches, qui sont «lentes et meuglant» parce que le poète prend ou affecte de prendre ces meuglements pour l'expression d'un regret, leur lenteur, pour la réticence à s'arracher au pâtis, abandonneraient «pour toujours ce grand pré» : en fait, ce n’est que pour tout l'hiver. Mais c’est le poète qui veut se convaincre d’abandonner pour toujours la pensée de cette femme infidèle

industries ne parviennent plus à écouler l’ensemble de leurs produits. Le mécontentement social du prolétariat, les problèmes linguistiques, la conscription et la crise de surproduction achèvent de discréditer la France : personne n’a de réels regrets lors de la défaite finale de la France en 1815. C. LE ROYAUME DES PAYS-BAS 1. La création du Royaume Le Congrès de Vienne, réunissant les plus grandes puissances européennes, redessine les contours de l’Europe, en fonction de la volonté des

troupeau» qui laisse ses vaches s’empoisonner est comme un dieu indifférent au sort de ses créatures, bovins ou humains. Les vaches, qui sont «lentes et meuglant» parce que le poète prend ou affecte de prendre ces meuglements pour l'expression d'un regret, leur lenteur, pour la réticence à s'arracher au pâtis, abandonneraient «pour toujours ce grand pré» : en fait, ce n’est que pour tout l'hiver. Mais c’est le poète qui veut se convaincre d’abandonner pour toujours la pensée de cette femme infidèle

troupeau» qui laisse ses vaches s’empoisonner est comme un dieu indifférent au sort de ses créatures, bovins ou humains. Les vaches, qui sont «lentes et meuglant» parce que le poète prend ou affecte de prendre ces meuglements pour l'expression d'un regret, leur lenteur, pour la réticence à s'arracher au pâtis, abandonneraient «pour toujours ce grand pré» : en fait, ce n’est que pour tout l'hiver. Mais c’est le poète qui veut se convaincre d’abandonner pour toujours la pensée de cette femme infidèle

37 LETTRE XLIV 37 LETTRE XLV 40 LETTRE XLVI 40 LETTRE XLVII 40 LETTRE XLVIII 41 LETTRE XLIX 42 LETTRE L 42 SECONDE PARTIE 43 LETTRE LI 43 LETTRE LII 44 LETTRE LIII 45 LETTRE LIV 45 LETTRE LV 46 LETTRE LVI 47 LETTRE LVII 47 LETTRE LVIII 48 LETTRE LIX 49 LETTRE LX 49 LETTRE LXI 49 LETTRE LXII 50 LETTRE LXIII 50 LETTRE LXIV 53 LETTRE LXV 54 LETTRE LXVI 55 LETTRE LXVII 55 LETTRE LXVIII 56 LETTRE LXIX 56 LETTRE LXX 57 LETTRE LXXI 58 LETTRE LXXII 60 LETTRE LXXIII 60 LETTRE

sensible ? dans quel texte ? QUESTIONS SUR LA POESIE Questions sur la forme poétique Quelles sont les diférents genres poétiques que vous connaissez ? Quels types de vers connaissez-vous ? Que savez-vous de l’organisation des rimes ? Qu'est-ce qu'un sonnet ? une ballade ? Qu’est-ce qui diférence la poésie de la prose ? Qu'est-ce qu'un poème en prose ? Est-ce encore de la poésie ? Qu’est-ce qui distingue la poésie des autres genres littéraires ? Qu’est-ce qui fait qu’un texte est poétique ? La poésie

qu’il regardait comme les symptômes d’une grande atonie morale, mais de sa pâleur mortelle, tira vivement la sonnette pour demander des secours. Personne ne vint, et, Indiana s’affaiblissant de plus en plus, Ralph, épouvanté, l’éloigna du feu, la déposa sur une chaise longue, et courut au hasard, appelant les domestiques, cherchant de l’eau, des sels, ne trouvant rien, brisant toutes les sonnettes, se perdant à travers le dédale des appartements obscurs, et se tordant les mains d’impatience et de dépit

entièrement absorbé par cette attente : « je la respirais, elle coulait dans mes veines, dans chaque goutte de mon sang » (lignes 55-57). Elle le conduit tantôt au fin fond de la mélancolie (lignes 34 à 42), tantôt aux sommets de l’exaltation (lignes 43 à 48). 28 — © Cned, Français 3e © Cned – Académie en ligne Séquence 3 5- a) Le jeune homme que l’on découvre dans cet extrait est un romantique, proche de la nature : son humeur est changeante au gré des rayons du soleil. Il se nourrit de

DON SALLUSTE Partout on vous rencontre avec des Jeannetons ! DON CÉSAR Ô Lucindes d'amour ! ô douces Isabelles ! Eh bien ! sur votre compte on en entend de belles ! Quoi ! l'on vous traite ainsi, beautés à l'oeil mutin, À qui je dis le soir mes sonnets du matin ! DON SALLUSTE 6 Enfin, Matalobos, ce voleur de Galice Qui désole Madrid malgré notre police. Il est de vos amis ! DON CÉSAR Raisonnons, s'il vous plaît. Sans lui j'irais tout nu, ce qui serait fort laid. Me voyant sans habit, dans