Les Personnages Féminins Dans Le Rouge Et Le Noir

habitants risquaient de mourir de faim. On fit venir une armée de chats; mais pour mille rats tués, il en reparaissait dix mille ! Voilà qu'un certain vendredi se présenta à l'hôtel de ville un grand homme basané, sec, vêtu de rouge, et portant un chapeau de feutre noir. Il offrit au bourgmestre; moyennant cent ducats d'or, de délivrer la ville de ses rats. Vous pensez bien que le bourgmestre et les bourgeois acceptèrent. Aussitôt l'étranger tira de son sac une flûte de bronze ; et, s'étant

l’apparition d’éléments plus réalistes : sur le visage, ovale ou triangulaire, apparaît la nervure axiale du nez; les jambes sont désormais clairement figurées et les bras sont croisés sur le ventre. Ces statuettes représentent le plus souvent un personnage féminin debout avec les bras croisés sur la poitrine. -Enfin, apparaît un troisième type encore plus élaboré. C’est de cette époque que datent le célèbre «joueur de lyre» de Keros ou la statue de femme d’Amorgos. La plupart de ces statues ont

sont d’égale importance : contradictoires mais complémentaires. » En quoi cette affirmation d’Alain Corneau éclaire-t-elle votre lecture du roman et du film ? I. Deux personnages d’égale importance 1) Deux artistes fondés sur l’entremêlement entre l’Histoire et la fiction Sainte Colombe et Marin Marais sont d’abord deux personnages historiques : Ainsi, pour établir le portrait de Marin Marais, Pascal Quignard disposait de peu de liberté. On sait en effet, d’après les éléments biographiques d’Evrard

photographie proposée : 1) Composition de l’image Le cadrage est un cadrage vertical mettant en avant une femme photographiée en plan rapproché poitrine. Le plan est donc accentué sur le visage et ses cheveux qui virevoltent. Le choix de la couleur Noir et Blanc est mise en valeur par une bonne gestion de la lumière, très certainement réalisé dans un studio photo. Les lignes directrices représentées par les cheveux donnent un effet aérien : ils vont dans tous les sens. La règle des tiers semble

Ces trois textes écrits entre 1830 et 1867 expriment chacun une vision divergente du meurtre mais il existe quelques ressemblances notables. Nous avons ici à faire aux textes de l’auteur romantique Stendhal avec son œuvre Le rouge et le noir, à Claude gueux de Victor Hugo du même mouvement littéraire et enfin au naturaliste Émile Zola avec son roman Thérèse Raquin. Nous verrons ici quelles visions du meurtre présente ces trois textes. Nous débuterons par conséquent avec des meurtres mis en scènes

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Six personnages en quête d’auteur Résumé Sur la scène d'un théâtre dépourvue de tout décor, tandis que le directeur et sa troupe s'apprêtent à répéter ‘’Le jeu des rôles’’ d’un certain... Pirandello, que les acteurs se disputent avec le directeur et font des plaisanteries, surgit inopinément un groupe de gens qui sont habillés de noir et ont un air de famille : le père, un petit-bourgeois de cinquante ans ; la mère, « une pauvre femme

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Six personnages en quête d’auteur ‘‘’Sei personaggi in cerca d'autore’’ (1920) dame en trois actes de Luigi PIRANDELLO pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 7) l’intérêt documentaire (page 7 l’intérêt psychologique

des films pour la publicité, souvent récompensés par des prix. Jean-Paul Goude s'attache à révéler chez ses modèles féminins un côté sauvage et animal, voire masculin. Depuis plus de trente ans, Jean-Paul Goude s'exprime à travers le dessin, l'affiche, la photo, le cinéma ou l'événement, mêlant au fil de sa créativité l'humour et la surprise, le sexe et l'ethnie, la couleur et le noir. Cet ouvrage autobiographique, abondamment illustré, raconte la vie de Goude depuis son adolescence bercée par les

dix années précédentes. L'irruption de la poésie dans les titres, et dans la peinture même, commence dès cette période. Ceci est la couleur de mes rêves est l'une des toiles les plus poétiques, qui contient des mots dont la calligraphie soignée et féminine fait ressortir clairement le contraste entre ce qu'un art moderne comme la photographie et un art traditionnel comme la peinture peuvent réaliser chacun. En insérant des mots et des phrases dans la construction de ses tableaux, l'artiste essaie de

répondant aux éloges que ce dernier avait exprimés pour La Chartreuse de Parme : « En composant la Chartreuse, pour prendre le ton, je lisais de temps en temps quelques pages du Code civil. »1 Il justifie ce qu’il appelle le style un peu trop âpre du Rouge et le Noir par sa hantise de la verbosité inutile. Dans son Journal, il parle souvent des goûts de Dominique, c’est-à-dire de lui-même : « L’horreur de Dominique pour les longues phrases emphatiques des gens d’esprit de 1830 l’a jeté dans l’abrupt, dans