Les Personnages De Cinna

CM du 18.03.13 Séance 4 : Marius et Sylla, la 1ère guerre civile. On va voir des personnages imperator qui ont eu une victoire militaire. Ce titre est donné par les troupes à leur général A. L’œuvre militaire et politique de Marius 1. Un tribun popularis : la réforme du mode de scrutin. Marius est qualifié d’homme nouveau, qui ne fait pas parti de la noblesse (pas d’ancêtres magistrats supérieurs). Il vient d’une famille équestre, et n’est pas originaire de Rome. Il est né dans un

de tous les conflits, la cause de l’aliénation des personnages et le responsable de leur perte. La structure d’Andromaque est révélatrice à cet égard : l’action, qui se déroule à la cour de Pyrrhus, roi d’Epire, met en scène Oreste, de retour de la guerre de Troie, amoureux d’Hermione qui aime Pyrrhus, lequel brûle pour sa captive Andromaque, qui ne vit que pour le souvenir de son mari Hector, incarné dans son fils Astyanax. Ainsi chaque personnage est-il prisonnier d’un amour impossible car non partagé

Les règles de la tragédie classique Vraisemblance La tragédie classique se doit d'être le plus crédible possible, pour pouvoir encore mieux toucher et émouvoir le spectateur. Dans la tragédie, le spectateur doit pouvoir s'identifier aux personnages et aux événements racontés. L'auteur ne doit donc évidemment pas narrer des événements impossibles ou fantastiques. De plus, son œuvre doit paraître tellement vraisemblable qu'il ne doit pas non plus traiter de faits rares, même si ces faits sont

nouveauté puisqu’il ne suit pas un ordre chronologique dans son récit mais envisage les différents peuples dans leur aire géographique par rapport à la conquête romaine. Ce texte évoque la dictature de Lucius Cornelius Sylla (186-78 avant JC), un personnage issu d’une branche pauvre de la grande famille patricienne Cornelia. Il commence tardivement sa carrière de magistrat : il est questeur en 108, se distingue en Afrique contre Jugurtha sous le commandement de Marius, « l’Homme nouveau », ce qui fait

lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur

fin d’une œuvre, l’intrigue atteint son comble, mais on remarque curieusement que l’auteur a décidé de modifier ou d’arranger de façon miraculeuse la situation, simplement grâce à l’apparition d’un personnage, ou à l’action d’un d’eux. Le dénouement nécessite donc parfois l’intervention d’un personnage afin de résoudre la situation plus facilement, de retrouver la logique de l’histoire. Dans Tartuffe de Molière, Orgon est victime de l’hypocrisie du faux dévot Tartuffe. À la fin, Tartuffe va se servir

exaltant la haute noblesse (Le Cid, œuvre aujourd’hui universellement connue), rappelant que les hommes politiques ne sont pas au-dessus des lois (Horace), ou montrant un monarque cherchant à reprendre le pouvoir autrement que par des représailles (Cinna). En 1647, il est élu à l’Académie française au fauteuil 14 qu’occupera son frère et collaborateur occasionnel Thomas après sa mort. De 1643 à 1651, après la mort de Richelieu, et durant la période de la Fronde, la crise d’identité que traverse la

peut-être que des rôles ou des figures malléables pour servir les intérêts et les fonctions de la pièce, mais l’une de ces fonctions ne serait-elle pas de nous toucher ? On ne peut ignorer que le destin d’Iphigénie fait ressentir de la pitié, le personnage étant si appréciable, si noble et devant périr à cause d’une prophétie injuste. De la même façon, dans la même pièce, les machinations d’Ériphile nous font ressentir de l’effroi à cause de sa méchanceté, tandis que sa rivale invoque l’admiration

Art Décoration du Théâtre Peinture, Architecture LES PARTIES INTÉGRALES • Le Sujet Il ne s’agira ici que de la Comédie. Pour Aristote, c’est une imitation de personnes basses et fourbes. Mais c’est une erreur d’assimiler la condition des personnages au genre qu’ils représentent : Lorsqu’on met en scène une simple intrigue d’amour entre des Rois, et qu’ils ne courent aucun péril, ni de leur vie, ni de leur État, je ne crois pas que bien que les personnes soient illustres, l’action le soit

d’exposition efficace? 3) Rappel de la question a- Nous allons voir en quoi cette scène d’ouverture dynamique répond aux exigences d’une scène d’exposition. 4) Annonce du plan 1-Informer A) Thème et intrigue B) Le personnage de Silvia C) Le personnage de Lisette D) Le personnage de Dorante 2-Plaire A) Le comique et l’ironie B) La dynamique de l’échange 5) Analyse du texte 1-Informer A) Thème et Intrigue La première scène de l’acte 1 a pour thème principal le mariage, ce qui est