Les Pensées De Pascal Métaphore

retrouvent à travers l’« Égrégore »). Les rites maçonniques ne relèvent donc pas de cette catégorie de rites que Erving Goffman a baptisés rites « d’interaction », mais bien de rites « sociaux » ou « communautaires », selon la typologie de Pascal Lardellier2. Et si l’on veut bien se souvenir du fait que le terme communication (de communicare), signifie étymologiquement « mettre en commun » et implique les notions de partage, alors le rituel maçonnique atteint probablement l’objectif

l’individu pour atteindre un Homme éternel, un Beau idéal, une vérité universelle -Désir de plaire. Instruire le lecteur et le spectateur, tout en le distrayant. - Développement des connaissances, émancipation de la pensée (vulgarisation) - Foi dans le progrès - Primauté de la pensée rationnelle (observation, expérience, esprit d’examen, exercice de la raison critique) appliquée aux sciences mais aussi aux autres domaines. - Combattre l’intolérance et les préjugés - Défendre les valeurs de

péché et de la damnation. L’ouvrage est divisé en six sections, de très inégale longueur. Les titres sont thématiques, constitués à partir d’un objet volontiers symbolique (« Le vin »), d’une attitude morale ou métaphysique (« Révolte » ou d’une métaphore picturale, au réalisme trompeur (« Tableaux parisiens »). Ces sections peuvent être considérées comme les étapes d’un voyage explorant la misère de l’homme. * Le poème initial (hors section), « Au lecteur », montre l’homme en proie à tous les

Le récit est construit comme un petit drame, comporte trois actes et un bref épilogue de deux vers. Vers 1 à 11 : présentation de Perrette (un portrait antipatique à l’imparfait brosse son apparence vestimentaire, le mobile de son voyage et ses pensées à compter du vers 12 à 21: puis on passe de la description du personnage un peu moqueur d'une laitière emporté par son rêve, au discours direct qui restitue, dans un monologue enthousiaste, les rêves d’enrichissement de Perrette. On passe d'une vision

Cette extrait est une pause, (car rien ne progresse) autour de laquelle Tarrou prend le temps de montrer sa vison du monde, ou il retrace son histoire. Ici il va expliquer ce que la peste représente pour lui, on va voir que pour lui c’est une métaphore une allégorie du mal qui fait qu’on est complice de la mort des autres Il s’agit d’une sorte de confession au discours direct dans laquelle il se confit longuement à Rieux. C’est Tarrou seule qui parle. C’est confession prend une valeur argumentative

ensoleillée par exemple. Mais les gens ne s’arrêtent pas au plaisir « esthétiques ». L’homme est soudain traversé par une pensée « J’aimerai l’avoir pour moi, la posséder », à ce moment ce ne sont plus les sens qui prennent plaisir, c’est le désir qui surgit et qui commence à nous martyriser « Je n’arriverai jamais à la séduire, elle ne voudra jamais de moi… », ces pensées renferment la recherche du désir & aussi de son contraire, la souffrance. Mais l’ego ne veut pas de la douleur, il ne veut que

classique 17ème C’est le siècle de l’ordre, de la mesure, de la symétrie (remarquable dans l’architecture) et de la vraisemblance. Qui est en opposition à la renaissance. Deux penseurs philosophiques, Descartes (discours de la méthode) et Pascal (pensée, hommes d’églises). Les auteurs : -Molière, Tartuffe, l’avar, le bourgeois gentil homme, le médecin malgré lui, Don Juan, les précieuses ridicules. -Racine, Andromaque, Iphigénie en Aulide, Phèdre, Esther -Corneille, l’illusion comique

aussi que même l’inspiration poétique semble se rétrécir, ne plus pouvoir s’élever vers le beau style, les analogies séduisantes enjambement v.1-2 met en valeur préposition « sur » qui évoque la pesanteur rétrécissement horizontal de l’espace : métaphore v.3 : prison, univers entièrement (« tout ») clos ; la rime v.1-3 insiste d’ailleurs sur cette idée d’enfermement horizontal l’oxymore du v.4 « jour noir » repris à la rime par « nuits » renforce l’idée d’obscurité, d’aveuglement conséquences :

1638-1715 (naissance et mort de Louis XIV) plus de 600 numéros. Les statistiques de M. H.-J. Martin confirment l'importance de cette production. Si l'on ne dispose pas, pour le xviii* siècle, de dénombrements de ce type, la quantité de recueils de pensées ou de réflexions étayant l'enquête de M. Ehrard ou celle de M. Mauzi atteste la vogue de cette manière d'écrire tout au long de la période qui nous intéresse. Les pages remarquables que M. Friedrich consacre à la recherche d'une définition valent

contradiction : « La certitude que rien n’existe (si déplorable qu’elle soit) n’en est pas moins une certitude. Peu de gens sont capable de l’avoir ». Ici est prise à rebours le raisonnement de Descartes qui pose la certitude du doute comme fondement de la pensée, de l’existence. - Ils en arrivent à nier la légitimité même du savoir de la vérité. Tout cela ne pouvait qu’amener au scepticisme. « Bouvard ne croyait même plus à la matière » est posé dans une affirmation lapidaire. - B et P s’expriment toujours