Les Pensées De Pascal Métaphore

L'auteur condamne ici la lecture sans recul critique. L'exercice de l'esprit critique oppose la possibilité d'une comparaison: il faut envisager que le monde soit autre que ce que dit le livre. De même, il faut se demander pourquoi l'Autre ne pense pas comme moi, rechercher des explications, rechercher ce qui lui fait dire ce qu'il dit, envisager que j'aie tort. Ce ne sont pas des démarches spontanées car on a tendance à confondre habitude et vérité, dans tous les domaines (raisonnement "parce

personnel « je » et des verbes modalisateurs d’opinion comme « je crois ». En effet, sa thèse est claire pour le lecteur, on comprend rapidement qu’il défend la qualité de l’éducation à la quantité. Il cherche à persuader le lecteur en utilisant des métaphores comme celle de l’oiseau, de la viande ou du feu. Il fait vraiment réfléchir le lecteur, qui en lisant ce texte, se rend compte de l’importance de la qualité de l’éducation, mais aussi de l’importance d’avoir sa propre opinion et de ne pas suivre

le bonheur, et sur la conduite à tenir dans la vie. A lire, notamment, les très beaux passages sur l'amitié ... (êtes-vous certains que vos amis sont bien vos amis ?) Epicure, Lettre à Ménécée Le bonheur, le désir Marc Aurèle, Pensées pour moi-même Epictète, Manuel Descartes, Méditations Métaphysiques, surtout les deux premières Quand la philosophie se fait métaphysique... Que suis-je ? Suis-je ? Le monde extérieur existe-t-il ? Etc. Kant, Qu'est-ce que

accordent donc à la conscience une place centrale : « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent » (Méditations Métaphysiques 2) Le philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur

1 Pascal – Les deux infinis G. A. Mallet On pourrait partir de la conclusion de l’exposé de monsieur Dettwiller : en même temps qu’il nous montrait une image des mouvements extragalactiques, il nous a dit, à propos de l’infiniment grand, qu’on n’y était pas mais que ça pouvait aider à y faire penser, comme pouvait déjà y faire penser cette progression qui va des galaxies, aux groupes locaux, aux amas locaux, et aux super amas locaux (si j’ai bien retenu les termes…). Il a aussi, après avoir

établissent des démarches scientifiques et observent la nature. Grâce au progrès en mathématiques on découvre l’étude des proportions en architecture, la perspective en peinture et on assiste surtout à la révolution copernicienne. Contrairement à la pensée médiévale hérité des grecs où l’univers est un monde clos, enfermer dans une sphère qui porte des étoiles et dont le contre est la terre et Copernic va démontrer que la terre tourne autour du soleil.

1877 " l'Assommoir " lui apporte la prospérité, ce qui permet à Zola d'acheter une maison à Medan (au bord de la Seine), qui devient le lieu de ralliement des naturalistes. En 1893 paraît le vingtième et dernier livre de sa fresque : " Le Docteur Pascal ". Sa candidature à l'Académie française est repoussée, certains de ses livres ont provoqué des scandales, mais son talent est unanimement reconnu : par exemple, lors d'un voyage en Italie, Zola est reçu triomphalement par le roi et la population

dans un sens très général. Mais trop général justement puisque Nietzsche ne cherche pas dons son œuvre à établir une vérité première sur l'existence ou le monde, mais plutôt à remonter aux origines de l'institution du langage et aux matériaux de la pensée afin de montrer que la possibilité même de dire le monde tel qu'il est pose problème. Le thème qui serait au centre de l'œuvre porterait alors sur son choix de faire la généalogie du langage. Et ce par des notions communes, c'est à dire les notions

 Les figures de style Qu’est-ce qu’une figure de style ? C’est d’abord une manière de s’exprimer. Une figure modifie le langage ordinaire pour le rendre plus expressif. Il existe des figures d’analogie, d’animation, de substitution, de pensée, d’opposition, de construction, de sonorités, d’insistance et d’atténuation (→ lire la page : les différents types de figures de style). Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent

du désir car d'un côté ce désir est le cruel constat que l'on manque de quelque chose dont l'absence est douloureuse / de l'autre le pressentiment, anticipation d'une chose qui nous satisfera. D'où le problème : les philosophes s'opposent : Platon, Pascal, Schopenhauer qui affirment que désirer c'est souffrir et la satisfaction qu'apporte le désir est seulement la diminution et la disparition de la douleur donc ce n'est qu'un plaisir négatif. Les autres philosophes, Aristote mais surtout Rousseau