Les Pauvres Gens Victor Hugo Commentaire

allait épouser, tandis que Lucien est méprisé par les jeunes « lions » de Paris et doit s’installer dans une petite chambre d’étudiant du Quartier Latin. Mais il travaille à son ' uvre et il est introduit par Daniel d’Arthez dans un cénacle de jeunes gens épris de science, de philosophie et de littérature, ce qui le réconforte. C’est alors que le journaliste Lousteau lui expose les difficultés presque insurmontables que rencontre un écrivain débutant. Entraîné par sa faiblesse et sa vanité, Lucien se

allait épouser, tandis que Lucien est méprisé par les jeunes « lions » de Paris et doit s’installer dans une petite chambre d’étudiant du Quartier Latin. Mais il travaille à son œuvre et il est introduit par Daniel d’Arthez dans un cénacle de jeunes gens épris de science, de philosophie et de littérature, ce qui le réconforte. C’est alors que le journaliste Lousteau lui expose les difficultés presque insurmontables que rencontre un écrivain débutant. Entraîné par sa faiblesse et sa vanité, Lucien se

Château-Thierry dans une famille de la bourgeoisie marchande. Rien ne le prédestinait à devenir écrivain. Il meurt, à Paris, en 1895, connu et membre de l’Académie française (où il a été reçu en 1884). Il naît dans une famille aisée, il meurt anobli mais pauvre, ayant dilapidé ses avoirs dans le jeu, le vin et auprès des femmes. La Fontaine est un marginal. Il ne trouve pas sa place dans son milieu d’origine. Il ne la trouve pas tout-à-fait à la Cour même s’il y a ses entrées et si, jusqu’à son décès

travers cette publication, il souhaite partager son opinion avec les autres lecteurs. Ce texte est signé. • .................................................................................... : texte court posté sur Internet. Il s'agit d'un commentaire, d'une réflexion, d'une interrogation, d'une critique ou encore d'une interpellation sur un thème d'actualité. 3. Argumentateur et argumenté 3.1. Définitions TEXTE ARGUMENTATIF : .........................................................

Mes yeux s'en iront comme ceux de ma mère, et parfois j'ai peur qu'ils ne s'en aillent, moi vivante, et ne s'en retournent à la rivière couler sous les joncs(17) et sur les pierres. Je n'ai jamais pleuré. S'ils pleuraient, ils s'en iraient, mes pauvres yeux. Pleurer, j'en eus envie, une fois ; il y a si longtemps ! Une seule fois, mais depuis je me suis durci le cœur à tel point que rien ne peut plus l'émouvoir – car je tiens à mes yeux. C'est mon épouvantail, c'est mon arme contre le désir des

depuis longtemps entré en décadence. Les débuts de la crise remontent à la prise de Constantinople par les croisés en 1204. Les barons latins ruinèrent la ville qui ne se releva jamais complètement de ce pillage. En outre, le fossé entre riches et pauvres se creusait de plus en plus alors que les ressources de l'État diminuaient dangereusement. Incapable d'assurer la défense de ses propres frontières, l'empereur devait acheter la paix aux autres souverains. Il du se résoudre à confier l'armée à des

n’en a pas », et Créon explique que pour gouverner, il faut éviter de « se demander s’il ne faudra pas payer trop cher un jour et si on pourra encore être un homme après ? » b. Travaux d’écriture (sur 16 points) – au choix. Sujet 1. Commentaire. Vous ferez le commentaire de l’extrait d’Antigone de Jean Anouilh. Préparation - Lire et relire le texte à commenter. - Situer le texte (époque, place de l’extrait dans la pièce) puis essayer de le décrire ou de le définir, en observant le thème (de quoi parle

qu'elle passe dans les rues, la vie des pauvres et des riches, aux marchés, aux courses, sur les boulevards, au fond des ruelles populeuses ; et tous les métiers en branle ; et toutes les passions remises debout, sous le plein jour ; et les paysans, et les bêtes, et les campagnes !...On verra, on verra, si je suis pas une brute ! Oui ! toute la vie moderne ! Des fresques hautes comme le Panthéon ! Une sacrée suite de toiles à faire éclater le Louvre !" Commentaire : Pistes de lecture : Situation :

universelle ? Cela peut-il justifier qu’on n’en respecte pas les dispositions ? Article 3 Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. « Que dit la société ? “Tu ne tueras pas”. Comment le dit-elle ? En tuant ! » Victor Hugo, plaidoyer contre la peine de mort. n Comment expliquer que l’on prive d’aucuns du droit à la vie, au nom de ce même droit pour d’autres ? « Tu crois pouvoir écraser une chenille ? Bien, c’est fait : ce n’était pas difficile. Maintenant refais-la

le sait pas encore… Le Gouvernement provisoire en quelques jours multiplie les décisions : Des décisions symboliques - la devise républicaine « égalité, liberté » est complétée d’un 3e élément : « fraternité » - l’esclavage grâce à la ténacité de Victor Schoelcher est aboli dans les colonies. Extraits du décret du 27 avril 1848 abolissant l’esclavage. Les libertés fondamentales sont restaurées - la liberté d’expression, de réunion et de la presse est réaffirmée ; les délits d’opinion, la censure