Les Pauvres Gens Commentaire Composé

Eugène-Paul BENET (sculpteur) Etablissements DURENNE (fondeur) Lieu : Beaumesnil (Eure), Technique : Sculpture de bronze Sur socle de béton • Un court paragraphe élaboré à partir des mots-clés utilisés pour caractériser l’œuvre • Un commentaire personnel sur l’œuvre • Des productions plastiques personnelles réalisées autour de l’œuvre Arts du langage I- Rencontrer l'œuvre Partir d’un groupement de textes sur le récit d’expérience et l’autobiographie qui est au programme de

Eugène-Paul BENET (sculpteur) Etablissements DURENNE (fondeur) Lieu : Beaumesnil (Eure), Technique : Sculpture de bronze Sur socle de béton • Un court paragraphe élaboré à partir des mots-clés utilisés pour caractériser l’œuvre 1920 Le • • Un commentaire personnel sur l’œuvre Des productions plastiques personnelles réalisées autour de l’œuvre Arts du langage I- Rencontrer l'œuvre Partir d’un groupement de textes sur le récit d’expérience et l’autobiographie qui est au programme de lettres :

jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule3 du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit ; un de ces galetas4 dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus en plus. Elle n'avait plus de lit, il lui restait une loque qu'elle appelait sa couverture, un matelas à terre et une chaise dépaillée. Un petit rosier qu'elle

allitérations en [t] et en [d] renvoient d’ailleurs au bruit d’une lutte continue. Le propos du narrateur au v.19 constitue une nouvelle interruption du récit qui reprend des v.22 à 25 avec les gestes de la grand-mère dont la démarche est arrêtée par un commentaire désabusé du narrateur sur la mort au v.23. Aux vers 25 et 26 nous retrouvons le récit qui laisse ensuite la place au discours de la grand-mère, empreint d’émotion des vers 27 à 47. Enfin, le récit réapparait aux vers 48-49 et est interrompu une

Cornouailles a décidé de prendre pour épouse la belle Yseut. Il charge son neveu, le chevalier Tristan, d’aller la trouver en Irlande. Après avoir affronté un terrible dragon, Tristan ramène la belle à son seigneur. Sur le bateau, les deux jeunes gens boivent par erreur un philtre d’amour : ils sont désormais condamnés à s’aimer à tout jamais…LA LÉGENDE DE TRISTAN ET YSEUTExtrait de la publicationExtrait de la publication© Flammarion pour le texte et les illustrations, 2007 © Flammarion pour la

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Alcools (1913) recueil de pomes de Guillaume APOLLINAIRE On trouveici les textes et les commentaires de Les colchiques (page 2), Palais (page 4), Chantre (page 5), Crpuscule (page 5), Annie (page 7), La maison des morts (page 8), Clotilde (page 13), Cortge (page 14), Le voyageur (page 16), Marie (page 18), La blanche neige (page 19), Pome lu au mariage dAndr Salmon (page 19), Ladieu (page 20), Salom (page

inventaire artificiel, grosses charnières logiques : «  nous allons voir dans une première partie », nous allons voir dans une deuxième partie », «  nous allons voir dans une troisième partie » Evitez totalement le «  je «  en dissertation et commentaire composé : = - 2 répété en secondes par vos professeurs respectifs. Autorisé sauf si le sujet d’invention le stipule. On n’appelle pas l’auteur par son prénom : «  Marie- Hélène » mais Marie Hélène Lafon : ce n’est pas un proche, un copain, une copine

tout comme lui ; mais personne ne pouvait facilement s’abstenir, car, en ce temps-là, même père et mère nous jetaient vite à la figure le mot de « lâche ». C’est qu’alors tous ces gens-là n’avaient aucune idée de ce qui allait se passait. A proprement parler, les plus raisonnables, c’étaient les gens simples et pauvres ; dès le début, ils considérèrent la guerre comme un malheur, tandis que la bonne bourgeoisie ne se tenait pas de joie, quoique ce fût elle, justement, qui eût plutôt pu se rendre

pratiqué «le bien faire que le bien dire», «nous ont laissé notre langue si pauvre et nue qu'elle a besoin des ornements , et (s'il faut parler ainsi) des plumes d'autrui» (I, 3). Mais il estimait que la langue française était loin d'être impropre à exprimer les idées et les sentiments puisqu'on pouvait traduire en français les oeuvres étrangères. Il signalait que le latin avait été, lui aussi, à l'origine, une langue pauvre, que les Romains avaient enrichie en empruntant au grec. Il pensait que

basculement peut faire l'objet d'une partie de commentaire).Le sonnet permet de condenser le poème dans une pointe finale. On trouve un moment de basculement au niveau du premier tercet.L'uniformité des rimes plates permet à l'auteur de faire passer une sensation d'ennui.L'alternance de rimes féminines (en -e muet) et de rimes masculines (toutes les autres) permet de jouer avec les échanges et de créer une forme de polyphonie.La richesse des rimes : pauvre (1 son), suffisante (2 sons), riches (+ de 2