Les Paradoxes Du Bresil

des groupes planétaires. La quasi-totalité des pays développés retrouvèrent le plein emploi. C’est cependant dans les pays émergents que les progrès furent les plus spectaculaires avec des taux de croissance de 10.5% en Chine, 6% en Inde, Russie ou Brésil. Ce décollage économique a ensuite irradié tous les continents, de l’Asie (8% de croissance) à l’Afrique (6.2%). Le développement fondé sur les migrations de la population rurale vers les villes, de très forts gains de productivité et la convergence

aujourd’hui loin du temps où cette organisation fixait les cours du pétrole de manière unilatérale, comme ce fut le cas entre 1973 et le milieu des années 1980. Pourquoi parle-t-on d’une "malédiction du pétrole" ? A l’origine, il y a le constat d’un paradoxe : alors que l’exploitation des ressources pétrolières est généralement présentée comme un instrument privilégié de développement économique et social permettant une élévation générale du niveau de vie des populations des pays producteurs, la réalité

importations britanniques, celles-ci bénéficiaient d'un taux préférentiel. En Australie, l'adoption d'un nouveau tarif protectionniste en 1908 s'accompagna d'un maintien des préférences accordées aux produits britanniques. (8) Bairoch P. (1993), Mythes et paradoxes de l'histoire économique, Paris, La Découverte. (9) L'Inde était ainsi exportatrice nette de textile (coton) à destination de l'Europe au XVIIIème siècle, tandis qu'à la fin du XIXème siècle, elle importait les deux tiers de sa consommation de textile

ANNEXE 3 : Le ``don japonais'' et la construction des écoles au Cameroun.................................................................125 ANNEXE 4: Les initiatives militaires américaines en Afrique depuis 2002....126 ANNEXE 5: Caricature des paradoxes du pipeline Tchad-Cameroun..........127 ANNEXE 6 : Caricature des rivalités occidentalo-chinoises en RDC...........127 ANNEXE 7 : Discours d'ouverture de Hu Jintao lors du sommet Sino-africain du 4 au 6 novembre 2006..........................

Alimentaire : Les EU sont la première puissance agricole du monde (- de 3% d’agriculteurs, mais malgré leur nombre, ils sont la première puissance mondiale). Food power : permet de négocier des marchés en vendant des denrées à l’étranger : si le Brésil n’a plus de blé, les EU lui en vendent à condition qu’ils achètent un bowing américain. Le coté culturel à aussi un impact (fast food) Industriel : Firmes multinationales : puissance dans l’électronique, informatique, aéronautique, armements

pour développer leur pouvoir local, classe de paysans riches et profiteurs Ecartement richesse / pauvreté Des groupes de réformateurs vs conservateurs = mène aux évènements de Tian’anmen : tour de vis politique, relance la machine économique. Paradoxe : Deng Xiaoping donne finalement raison aux réformateurs : Economie socialiste de marché (économiquement une aberration) Coexistence d’un secteur étatique et d’un secteur privé Politique entérinée à partir de 92 : décollage économique 2001 :

des Etats ayant le français comme langue officielle), lui permet d'entretenir un vaste réseau diplomatique. La France est également une puissance importante. Elle est le premier pays agricole de l'Union européenne et le troisième mondial derrière le Brésil et les Etats-Unis. L'agriculture ne représente que 2,2% du PIB, mais beaucoup d'emplois induits en particulier la puissante industrie agroalimentaire, qui compte plusieurs firmes transnationales de premier plan. La France est la 5ème puissance industrielle

avril, a lancé une attaque 24h plus tard et a désorganisé les sites du 1er ministre, du Parlement, les sites des partis politiques se sont vus détournés en affichant de fausses excuses. II. Le jeu des frontières dans la mondialisation 1. un paradoxe de la mondialisation : une fragmentation plus forte du monde (donc plus de frontières). 1989 (fin de la guerre froide) : 225.000 Km de frontières terrestres et 12 miles de frontières maritimes (22Km) pour les états en bord de mer. 2010 : 251.000

commerce internationale détermine le cout des facteurs qu'il va falloir paramétrer avec le cout du travail afin d'expliquer les mouvements de commerce international. Cette théorie suppose une hypothèse: l'immobilité des facteurs de production. Paradoxe de Leontief: C'est en 1954 que l'économiste américain (d'origine Russe) Vassili Leontief (1905-1999) va critiquer la théorie HOS à travers l'étude des exportations des Etats-Unis. C'est par l'analyse de 50 industries américaines, que Leontief constate

l’étendue du pays. On remarque quand même un nombre important de pays en situation de « stress hydrique » (Asie, Afrique) et quelques-uns en situation de pénurie (Maghreb, Proche -Orient). Alors que d’autres pays sont largement excédentaires (Canada, Brésil…). C – 2 : Des inégalités dans le temps. Certaines zones peuvent également connaître des périodes d’humidité très variables au cours de la même année. Exemple : les zones tropicales en Asie du Sud-Est. Diagramme p.122 : Commenter la courbe des