Les Paradoxes Du Bresil

hiérarchie: forme étirée vers le haut. Plus il est large, plus il y a des individus. Coefficient de Gini: instrument de mesure des inégalités. Suède : 25,2%. US : 34;5%. Brésil : 59,8% (le plus écrasant dans le monde en dehors de l'Afrique du Sud). Rapport interdécile : Décile le plus haut et le plus haut et le plus bas. Brésil : 18. → Opposition à l'idée de Valfredo Pareto: les inégalités ne sont pas universelles mais diverses. Entre le patrimoine et le revenu, il y a des répartitions de revenus

Barcelone. Le foot à permis à un grand nombre d’immigrés magrébin africain d’intégrait la société française en respectant les valeurs républicaine mais aussi de montrai leurs respect pour la France. Mais à l’étranger c’est la même chose par exemple au Brésil pour la plupart des joueurs ils viennent de la rue, des favelas et pour eux l’un des seul moyen de s’en sortir socialement est le foot. Paradoxalement les foot de rue où dans les quartiers sensibles sont mal vu mais malgré tout c’est une porte de

technologies (progrès technique) induit une demande de travail qualifié. Il a tendance à détruire des emplois non qualifiés dans l'industrie alors qu'il s'accompagne d'une croissance de ce type d'emplois dans les services. (phénomène de dispersion). Paradoxe : les inégalités peuvent être facteur de croissance. En effet elles sont facteurs de productivité (notamment en raison de l’individualisation des salaires, qui entraine certes des inégalités mais qui est nécessaire pour stimuler la productivité)

dispose lui donne le maximum d'avantages ou le minimum de désavantages.». * Le théorème Heckscher-Ohlin-Samuelson : commerce internat°al tend à égaliser dans tous les pays la rémunération réelle de chacun des facteurs de pd° * Limites : Paradoxe de Leontief : cas de E-U en 1947 // Nvlles théories du cce internat°al : forte proport) d’échanges intrabranches * Nvlles théories du cce international * Demande repsttive de Linder (1961) : spécialisations s’expliquent par préférences

C’est un phénomène omniprésent tant économique, politique, culturel que social. Cela se caractérise par l’essor des échanges qui transforme le monde vers un « village planétaire ». Ce la débouche sur une nouvelle organisation du monde marquée par un paradoxe : interdépendance/solidarité par facteurs économique, culturels et en même temps hiérarchisation qui exclut. I- Un monde en réseau A. Des espaces mis en relation par des flux croissants 1. Les flux internationaux de marchandises → Croissance

place des politique de régulation, d’ouverture à la concurrence internationale, elle est lié au poids de l’expertise des politiques publiques, elle s’appuie toujours sur des théories. Quels sont les liens entre théories économique et choix 1er paradoxe : il y a un lien très fort en théorie libérale et politique libérale, alors qu’en 40 à 70 c’est la théorie Quenesienne qui domine, ce qui caractérise cette période c’est une influence Quenesienne mais pas une domination. Il y a une réelle diversité

au global, se rétrécit, c’est au sein des clientèles occasionnelles que la baisse réelle s’observe. Ensuite, parce que depuis plus de dix ans, les acteurs de l’industrie du luxe ont su profiter de la dynamique très forte observée dans les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), le boom de la classe moyenne et le développement des classes de très riches, expliquent à eux seuls la majeure partie de la croissance du luxe. Une croissance essentiellement portée par la Chine. L’empire du

pacifiques ( Ecoles en langues bretonne ou basque, succès des musiques traditionnelles, celtiques notamment ou polyphonies corses, défenseurs du terroirs devenus véritables héros positifs etc...) parfois violentes ( ETA, Corse etc...). En fait, le paradoxe est le suivant : - Le nationalisme est la guerre puisqu'il est la négation du droit de l'autre à la différence. - La supranationalité est la paix alors que les moyens que l'on se donne pour y parvenir sont aussi la négation du droit de l'autre

surendettement des Pays En Développement ?...................................................................................................................4 B. L’état du développement à travers trois continents 1) L’Amérique Latine : un paradoxe intéressant de développement………………………6 2) L’Afrique : la pauvreté, un frein au développement…………………………………...12 3) L’Asie : une mutation rapide…………………………………………………………..16 II- Comment la dette est-elle gérée à travers trois exemples différents 

gouvernance économique mondiale évolue vers un pilotage par de grands sommets internationaux du G8 (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie, Japon, Russie) mais surtout du G20 (G8 + Afrique du Sud, Arabie saoudite, Argentine, Australie, Brésil, Chine, Corée du Sud, Inde, Indonésie, Mexique, Turquie, Union Européenne). Pour peser dans la mondialisation, les Etats se rassemblent dans des associations régionales plus ou moins ambitieuses (projet politique d’intégration économique et territoriale