Les Ong Concurrence T Elles état

DÉVELOPPEMENT RURAL................................................................................ 53 Manuel 4 Volume 1 : La Décentralisation au Sénégal SIGLES ET ABREVIATIONS AGEP ANCAR ARD ASPRODEB CERP CCL CL CR CRCOP CNCR FIDA FONGS GIE GPF ONG OP PNB PNIR PRDI SRAT UNCAS : Agence d’Exécution des Projets : Agence Nationale de Conseil Agricole et Rural : Agence Régionale de Développement : Association Sénégalaise pour la Promotion des Petits projets de Développement à la Base : Centre d’Expansion

d’internationalisation des échanges – qu’ils soient économiques, financiers, politiques, culturels ou d’informations - qui engendre une mise en relation des différentes composantes territoriales du monde, d’acteurs différents - Etats, FMN, institutions internationales, ONG - d’ensembles géographiques divers - villes et régions puissantes - qui s’organisent en réseau ou en archipel interdépendant à la surface du globe tout en s’articulant en un système très hiérarchisé reposant sur des logiques d’intégration ou de marginalisation

interétatiques respectant la souveraineté de chaque Etat et non pas sur un mode autoritaire. Ainsi pour conserver une stabilité climatique au niveau mondial, les Etas se sont concertés et ont défini des objectifs à atteindre dans le cadre du protocole de Kyoto en laissant à chaque Etat le droit d’y adhérer ou non ainsi que la liberté des moyens pour les atteindre. Par ailleurs il ne faut pas négliger le rôle des acteurs non étatique dans la production des BPM : (ONG, grandes entreprises ou parlement qui pèsent

fréquemment observé de concentration des populations et des activités humaines le long ou à proximité des littoraux. L'attraction contemporaine des littoraux occupés est à l'origine d'une densification croissante des aménagements et de concurrences entre activités et acteurs et/ou usagers. Ici, littoral de la Mer du Nord et rives du Rhin, densification progressive des installations et activités humaines diversifiées. 10-Cette métropolisation ne se limite bien évidemment pas à la seule

activités et appartiennent a 80% de la triade et 20% des BRICKS. La puissance des FTN repose sur leurs capacité a mettre les territoires en concurrence → division internationale du travail / Relocalisation c2)Les États La capacité d'influence des états est limité dans la mondialisation car l'ouverture des frontière permet aux entreprise de délocalisé et donc elles peuvent mettre la pression aux états Capacité des etats → Aménager territoire pour le rendre plus attractif aux entreprises → Zone franche

internationale de la Croix-Rouge française 2 RÉSUME L’humanitaire contemporain est apparu dans le milieu du XIXème siècle et a été incarné par la Croix-Rouge qui par la suite a occupé une situation hégémonique pendant presque un siècle. Les ONG, issues du mouvement du sans frontièrisme, ou d’origines anglo-saxonnes créées dans l’entre deux guerre sont venues développer une nouvelle aide humanitaire, une aide où le témoignage est un concept central. Dans le contexte de reconstruction après

le compte de quelqu’un (exp : mandat, procuration). b. Document constatant cette délégation. 4.a. Autorité constituée, gouvernement d’un pays. b. fonction juridique consistant à édicter les règles d’organisation politiques et administratives d’un état ainsi que d’en assurer le respect.[…] « Le 4ième pouvoir : la presse » […° Contre- pouvoir n.m (pl. contre-pouvoirs). Pouvoir qui s’organise pour faire échec à une autorité établie, contrebalancer son influence. Les jeux de pouvoir, les

Cour de M Lagrange       Introduction générale   Faut-il encore s’intéresser aux relations internationales? Passage obligé pour comprendre les sciences sociales. Mais, c’est important pour tous de s’ouvrir à ce qui se passe en dehors de notre État car tout est relié. De plus l’information est essentielle : elle est immédiate et omniprésente. Mais il faut apprendre à prendre du recul par rapport à ces informations. C’est l’objet du cours de relations internationales.   Qu’est ce que la discipline

Christian de Boissieu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119 Élie Cohen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127 CONTRIBUTIONS ANALYTIQUES 1. ÉTAT DES LIEUX A. Panorama analytique de quelques institutions de gouvernance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145 Thomas Boisson 2. DÉBATS B. La gouvernance, ou comment donner sens à la mondialisation . . . . .

de la société civile internationale a fait éclore un nombre incalculable d’ONG, de sociétés privées et d’institutions internationales, qui conçoivent et pratiquent diverses politiques de sécurité. La sécurité fait dorénavant place à une certaine concurrence entre les acteurs. Pour autant, et très largement, elle demeure l’apanage des États. • La sécurité serait de moins en moins fondée sur une conception nationale, reflétant des intérêts nationaux, mais s’appuierait davantage sur des approches