Les Nuits avec mon ennemi

corps, un corps énorme, impossible à remuer, à soulever, restait frappé d'immobilité. On espérait, dans les premiers temps, que ses grosses jambes reprendraient quelque énergie, mais cet espoir disparut bientôt, et Toine-ma-Fine passa ses jours et ses nuits dans son lit qu'on ne retapait qu'une fois par semaine, avec le secours de quatre voisins qui enlevaient le cabaretier par les quatre membres pendant qu'on retournait sa paillasse.     Il demeurait gai pourtant, mais d'une gaieté différente, plus

réformateur athénien également appelé Clisthène, un autre Alcméonide[Note 2],[13]. Son frère aîné, Ariphron, nommé comme le père de Xanthippe, n'a pas laissé de traces d'activités politiques[11].D'après Hérodote et Plutarque, Agaristè avait rêvé, quelques nuits avant la naissance de Périclès, qu'elle portait un lion[10],[14],[12]. Une interprétation de cette anecdote considère le lion comme symbole traditionnel de grandeur, mais l'histoire peut aussi faire allusion à la taille inhabituelle du crâne de Périclès

les divisions hitlériennes arrivées de l’Ouest. Staline le savait. Mais Staline et le gouvernement soviétique faisaient tout leur possible afin de retarder le début de la guerre, afin d’éviter de provoquer par quelque geste imprudent l’invasion ennemie. L’Union Soviétique était obligée de maintenir également un puissant écran de troupes à ses frontières d’Extrême-Orient. Hitler prit cependant la résolution d’entreprendre l’invasion de l’Union Soviétique, acceptant ainsi la guerre sur deux fronts

de maux avec lui ! Bien que tu me haïsses, je ne saurais jamais te vouloir du mal. MÉDÉE Monstre de scélératesse! — car je ne trouve pas sur ma langue injure plus forte pour flétrir ta lâcheté, — tu es venu devant nous, tu es donc venu, le pire ennemi des dieux, de moi-même, de toute la race des hommes ? Ah non ! ce n'est pas là du courage, ni de la hardiesse, quand on a mal agi envers des êtres chers, que de les regarder en face, mais c'est le plus grand des vices qui soient au monde, de l'impudence

tant de maux avec lui ! Bien que tu me haïsses, je ne saurais jamais te vouloir du mal. MÉDÉE Monstre de scélératesse! — car je ne trouve pas sur ma langue injure plus forte pour flétrir ta lâcheté, — tu es venu devant nous, tu es donc venu, le pire ennemi des dieux, de moi-même, de toute la race des hommes ? Ah non ! ce n'est pas là du courage, ni de la hardiesse, quand on a mal agi envers des êtres chers, que de les regarder en face, mais c'est le plus grand des vices qui soient au monde, de l'impudence

Ex 2 : tu fais l’amour à une femme. Schopenhauer tient la chandelle et dit regarde tu t’ennuies déjà. Et tu réponds eh non imbécile, qu’est ce que c’est bon de faire l’amour à la femme que tu aimes. Les belles nuits sont celles où on se dit que Schopenhauer a bien tort, et les mauvaises nuits sont celles où on se dit qu’il a en partie raison.En fait Spinoza et Aristote ont autant raison que Platon ou Schopenhauer. Chacun des pôles décrits une perception différente et c’est ne voir que l’un où que l’autre

|12 | |Chamberland Paul, Ite missa est |13 | |Chamberland Paul, Les Nuits armées (poème de la sentinelle) |14 | |Chamberland Paul, Poème de l'Antérévolution I |18

clos Colonialisme : XIXe siècle 1789-1920 Guerre Froide résultat de la première guerre mondiale ->résultat de tout XXesiècle (libérale) Nazisme -> 2eme guerre allies + URSS -> Guerre Vietnam/ Algérie/ M.O 1920-1989 : chute mur de Berlin après 1989 ennemi plus claire car terrorisme du 11 sept. Du 21emesiecle = obscur La littérature est celle qui va le mieux refléter tous cela XIXèmesiècle : qui était romantique ? Tous ceux qui souffraient mais cela s’exprimait par des écrivainsRévolution politique-industrielle

Beaulieu, la rade de Villefranche, à droite le fort du Mont-Alban, enraciné et dominateur. Sous leur pieds, la garrigue, la rocaille à la fois chauffée à blanc depuis le commencements des temps et craquelée, fendue, éclatée par les vents et les gels des nuits d'hiver. Quand la ruine leur apparut, un promeneur était auprès d'elle. Sur une pierre était gravé ce mot " Chut ! ". Sans doute le nom de la maison : précis, affranchi d'illusions, un rien hautain. Etait-ce un incendie qui avait tout dévasté ? Quel

secrétaire ne sait pas où il est. La jeune femme prise de panique désire parler au Directeur, Rivière. Elle cherche quelqu’un pour la rassurer et lui dire que son mari sera bientôt arrivé. Rivière accepte de lui parler, mais il sait qu’elle représente une ennemie, celle qui vient mélanger ses émotions à cette opération si délicate. Rivière sait que c’est peut-être un drame qu’ils sont tous en train de vivre (peut-être Fabien ne rentrera pas), mais il ne doit pas se laisser influencer par ce côté humain. Le