Les Nuits avec mon ennemi

les batailles et était le roi de tous les territoires de Natal et l'Afrique du sud en 1820. L'homme blanc est arrivé au Natal en 1824 et a immédiatement demandé à Shaka qui les tenaient en haute estime - il avait reçu un traitement médical après un ennemi l'avait poignardé. Pour montrer sa gratitude, il a signé sur la terre pour presque rien - les Européens l'avait trompé, mais il n'était pas au courant de celui-ci. Ils ont aidé à conquérir d'autres parties de l'Afrique du Sud Il a en outre, demandé

héros dont il nous reste trace porte bien tous les attributs du chevalier et nous vient de Mésopotamie. Sindbad Bien des siècles plus tard, Sindbad le marin, citoyen de Bagdad dont la belle Shéhérazade conte l'histoire pendant vingt et une nuits est animé par le goût de "voir des choses nouvelles", et "d'affronter de "nouveaux périls"... Au cours de ses sept voyages, il fera plusieurs naufrages, connaîtra la faim, la peur, la tempête et l'abandon... Quand il ne se retrouve pas sur le dos

vite achevé.//Il abattit vingt troncs, les dégrossit à coups de hache,//les plana savamment et les équarrit au cordeau »243-245 ; l’endurance lors de sa périlleuse dérive sur le radeau jusque chez les Phéaciens « Alors, pendant deux jours et deux nuits, dans la houle,//il dériva ; son cœur plus d’une fois crut voir la mort » V,388-389 ou après la mort de tous ses compagnons vers l’île de Calypso « neufs jours durant je dérivais » XII, 447; toutes ces épreuves, qui sonnent comme un défi aux dieux

En quoi peut-on considérer ce roman comme proche d’une tragédie classique ? Le XVIIème siècle est dominé par le classicisme, mouvement dont les valeurs sont l’ordre, la mesure et l’harmonie. Caractérisé par des règles strictes héritées des anciens, il a pour double objectif « plaire et instruire ». Cette formule d’Horace rappelle l’importance d’allier le plaisir à la transmission d’une morale dans toute œuvre artistique. De grands auteurs marquent cette période tels que Racine et

entendre apparemment que la puissance macédonienne allait briller d’un vif éclat et Alexandre se rendre maitre de l’Asie. »Encore combat contre les perses et Darios. « La victoire d’Alexandre fut éclatante et elle coûta plus de cent dix mille hommes aux ennemis. »· Toujours pas de prise de Darios· Alexandre traite la mère, la femme et les filles de Darios ac le plus grand respect. « elles n’avaient rien à craindre d’Alexandre » « Il augmenta même leurs revenus »« alors qu’il assiégeait Gaza »« Maitre désormais

Partout apparaissait, muette vengeresse. Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse Pour cette immense armée un immense linceul; Et, chacun se sentant mourir, on était seul. —Sortira-t-on jamais de ce funeste empire? Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire. On jetait les canons pour brûler les affûts. Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus, Ils fuyaient; le désert dévorait le cortége. On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige, Voir

découpée horizontalement sur les deux tiers gauche de la page en trois images qui mettent en place trois situations différentes. Sur le tiers droit, il y a trois phrases qui semblent correspondre aux images puisqu'elles décrivent trois problèmes : "Un ennemi qui leur échappe" ; "Une nation en état de siège" ; "Une ville en plein chaos". • Dans Break down, la page est découpée verticalement en trois scènes avec une phrase qui explicite la naissance d'un problème : "Tout à commencé par une simple panne"

duc, la jette dans un puits et détourne les vagues soupçons de Giomo. Scène 7 : Salviati crie vengeance auprès d'Alexandre. Acte 3 : Lorenzo se découvre Scène 1 : Après un assaut d'armes forcené, Lorenzo avoue à Scoronconcolo qu'il a un ennemi mortel. Scène 2 : Pierre réussit à vaincre les scrupules de son père, qui consent à l'accompagner chez les Pazzi, où se forme une conjuration. Scène 3 : En présence de Philippe, Pierre partage le sort de Thomas, arrêté sur l'ordre du duc; Philippe

comme la boue (page 23), est, d'un bout à l'autre du roman, le lieu de la terreur et de la perdition, car Bardamu s'y sent livré à toutes les agressions (nuits de la guerre où il doit aller au-devant d'un ennemi invisible, nuits d'Afrique pleines des cris des bêtes et des menaces du tam-tam [« morceaux de la nuit tournés hystériques », page 165], nuits de la banlieue). C'est d'abord une nuit réelle : la nuit dans laquelle se déroule la guerre étrange et incompréhensible à laquelle Bardamu assiste plus

remonter à cause de ses vêtements qui l’entrainaient vers le fond. Il réussit enfin à ressortir de l’eau et s’assit sur ce qui restait du radeau. La déesse maritime Ino a pitié de lui et lui offre une voile magique pour le sauver. Il dériva 2 jours et 2 nuits. Puis il parvient à la nage jusqu’à l’embouchure d’un fleuve. Après s’être assis derrière un rocher, pour s’abriter du vent, il pria. Ensuite il marcha un peu et trouva un arbre sous lequel il s’allongea. Il se recouvrit d’une grande feuille pour