Les Nouvelles Mille et Une Nuits

plus encor ; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est sévère ; Quelque mal pourrait m’arriver. Fleurette, craignons sa colère. Ne dis rien, laisse-moi rêver. Alfred de Musset (1810-1857), Poésies nouvelles, « A une fleur » (1838) Julie GUYOT : Nature morte de fleurs http://www.alaintruong.com/archives/2009/03/29/13176540.html Crépuscule L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires, Frisonne; au fond du bois la clairière apparaît

du carrosse, les conduisirent aux bains, les vêtirent de robes d'un tissu de duvet de colibri ; après quoi les grands officiers et les grandes officières de la couronne les menèrent à l'appartement de Sa Majesté au milieu de deux files, chacune de mille musiciens, selon l'usage ordinaire. Quand ils approchèrent de la salle du trône, Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s'y prendre pour saluer Sa Majesté : si on se jetait à genoux ou ventre à terre ; si on mettait les mains sur la

déjà y être présente du fait des nombreux échanges commerciaux avec l'actuelle Turquie où la coutume voulait qu'on offre des bulbes en cadeau. On dit qu'un importateur de tissus hollandais aurait trouvé dans sa marchandise ce qu'il prit pour une nouvelle variété d'oignons qu'il cuisina et mangea, sans se douter qu'il venait, juste avant Charles de l'Écluse, de découvrir la tulipe. Cependant, c'est cette plante qui est à l'origine de la tulipomanie en Hollande au XVIIe siècle, première bulle spéculative

on voit le temps qui défile et qui nous rapproche de plus en plus de la mort, ce qui est exprimé à travers les vers: "La jour décroît; la nuit augment; souviens-toi! Le gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide" Ainsi que par le vers "Trois mille six cents fois par heure" où le fait de décomposer l'heure en secondes, semble lui conférer un aspect encore moins stable, plus immatérielle et insaisissable. Cette promiscuité avec le temps du néant, qui est le temps de la mort, Baudelaire

son recueil Premières Poésie publié en 1850. A mon ami Alfred T. Dans mes jours de malheur, Alfred, seul entre mille, Tu m’es resté fidèle où tant d’autres m’ont fui. Le bonheur m’a prêté plus d’un lien fragile ; Mais c’est l’adversité qui m’a fait un ami. C’est ainsi que les fleurs sur les coteaux fertiles Etalent au soleil leur vulgaire trésor ; Mais c’est au sein des nuits, sous des rochers stériles, Que fouille le mineur qui cherche un rayon d’or. C’est ainsi que les mers calmes et

RABELAIS, GARGANTUA, extrait 3 : La prise du château du gué de Vède Nouvel épisode de la guerre picrocholine, le chapitre 36 renoue avec les aventures de Gargantua. Après l’exploit de Gymnaste au chapitre précédent, c’est au tour du géant d’accomplir un exploit guerrier. Le passage, situé au début du chapitre, rend compte de deux événements : d’un côté, les ennemis sont noyés dans l’urine de la jument de Gargantua qui se soulage ; de l’autre, le géant abat le château du gué de Vède à l’aide

‘’zouglou’’ dans laquelle l’auteur affirme que les ‘’barasseurs’’ ne sont que les fils et petits fils de tous ces africains qui ont souffert de la traite négrière et de l’esclavage. Ainsi pour lui, le ‘’broutage’’ ne serait qu’une manière pour la nouvelle génération d’africains de se faire rembourser. Une manière de recouvrir la ‘’dette coloniale’’. Les victimes viennent, essentiellement, du vieux continent. La France et quelques pays européens francophones sont les premières victimes. Les Autorités

des fruits aux fleurs ! Car je languis d'amour et j'ai versé des pleurs. J'ai cherché dans les nuits, à l'aide de la flamme, Celui qui fait ma joie et que chérit mon âme. O ! comment à ma couche est-il donc enlevé ! Je l'ai cherché partout et ne l'ai pas trouvé. Mon époux est pour moi comme un collier de myrrhe ; Qu'il dorme sur mon sein, je l'aime et je l'admire. Il est blanc entre mille et brille le premier ; Ses cheveux sont pareils aux rameaux du palmier ; A l'ombre du palmier je

s'engage dans la Grande Guerre. Blessé, il meurt en 1918, après avoir publié ses Calligrammes, emporté par une grippe infectieuse. Apolinaire est un homme et un poète moderne. Homme moderne tout d'abord par son gout pour la ville nouvelle, pour l'architecture nouvelle. Rappelons-nous ses calligrammes sur la tour eiffel. Mais Apollinaire est aussi un auteur moderne en quête d'un « lyrisme neuf et humaniste en même temps » (« lettre à Toussaint Luca » 11 mai 1908) Amis lecteurs, vous n’avez sans

curieux et observateur de la nature. Dès son plus jeune âge, il suit l’enseignement donné par la gouvernante de ses sœurs et se découvre une passion pour la lecture et plus particulièrement celle d’inspiration médiévale et les contes tels que les Mille et une nuits, à tendance onirique. C’est à l’âge de neuf ans, en 1843, qu’il rentre dans une école préparatoire pour « jeunes gentlemen » à Walthamstow. Ces études ne le passionnent pas et après quatre ans d’échec scolaire, à la mort de son père en 1847