Les Nouvelles Mille et Une Nuits

chair est triste, hélas! et j'ai lu tous les livres. Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai! Steamer balançant ta mâture, Lève l'ancre pour une exotique nature! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit

et “étrangère” aux mœurs des Européens à l’époque. L’islam ose, l’Europe censure Dans son célèbre A la recherche du temps perdu, Marcel Proust se souvient de l’hésitation de sa mère à lui offrir l’une des deux traductions disponibles des Mille et une nuits : la première, plus ou moins fidèle au texte originel en arabe, ou une autre, élaguée et expurgée de tout contenu érotique ou homosexuel. Pour ces sociétés européennes, la perversion, le libertinage et la corruption morale venaient de l’autre

rencontre de jolies jeunes femmes. Suzanne fait la rencontre de Carmen, gérante d’hôtel, en qui elle trouve amitié et soutient. Profitant des libertés que lui offre la ville, elle passe ses soirées dans les cinémas. Elle fait alors la ren- contre d’un nouvel homme âgé, représentant d’une firme à Calcutta. Attiré par la jeune fille, lui portant beaucoup d’attention, il semble surtout à la recherche d’une jeune fille française à marier et encore vierge. Y voyant une opportunité à saisir, la mère tentera

l'origine du fantastique en France. On n'oubliera pas cependant les nouvelles de Cazotte, Le Lord impromptu, ou L'Honneur perdu et retrouvé, ni ses contes moraux comme L'Aventure du pèlerin. Les contes, sous diverses formes (orientale, badine, parodique), ont beaucoup occupé Cazotte qui fit ses premières armes dans les années 1740 avec La Patte du chat, conte zinzinois et Les Mille et une fadaises. Une Suite des Mille et une nuits a été retenue par les éditeurs du Cabinet des fées. Cazotte renouvelle-t-il

sourd que les cerveaux d'enfants,Je courus ! Et les Péninsules démarréesN'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.La tempête a béni mes éveils maritimes.Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flotsQu'on appelle rouleurs éternels de victimes,Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,L'eau verte pénétra ma coque de sapinEt des taches de vins bleus et des vomissuresMe lava, dispersant gouvernail et grappin.Et dès lors, je me suis baigné

toit bleuâtres » où l'auteur compare des habitations à la mer. «  cette mer vivante et pollulante » mais aussi le ciel est comparé à « une poussière d'or » et « une rosée d'or ». Puis, Paris est comparé à un coin enchanté d'une cité des Milles et Une Nuits. Les arbres sont qualifiés d'émeraude, les toits de saphir, les girouettes de rubis et les maisons en lingots d'or (ligne 18-19). Pour finir, à Paris l'auteur nous dit qu'il pleut de l'argent (ligne 22). Pour conclure, dans ce texte, l'auteur est

Discours de la servitude volontaireTable des Matières Page de Titre Table des Matières Page de Copyright Discours de la servitude volontaire Comète Vie d'Étienne de La Boétie Repères bibliographiques© Éditions Mille et une nuits, octobre 1995 pour la présente édition et la postface. 978-2-755-50159-9Traduction en français moderne et postface de LA BOÉTIE n°76 Texte intégral Notre adresse Internet : www.1001nuits.com LA BOÉTIEDiscours de la servitude volontaire « Il n'est pas bon d'avoir plusieurs

La divinité est partout. Dans la Théogonie d’Hésiode, trois domaines essentiels figurent: Ciel, Terre et Tartare. Une enclume d’airain tomberait du Ciel durant neuf jours et neuf nuits, avant d’atteindre le dixième jour la Terre; et, de même, une enclume d’airain tomberait de la Terre durant neuf jours et neuf nuits, avant d’atteindre le dixième jour le Tartare. (Hésiode, Théogonie, v. 776) Dans la Théogonie, l’Océan est « le fleuve qui va coulant vers sa souce». En tourbillons d’argents, Océan

En effet, il permet la description de l’auteur durant sa jeunesse au niveau moral afin de le présenter au lecteur. Le lecteur connait ainsi d’emblée la personnalité de l’auteur. On constate l’emploi très fréquent du pluriel, notamment aux vers 4 « mille et trois clochers et des sept gares », 10 « mes yeux éclairaient des voies anciennes ou encore au vers 15 « les grandes amandes des cathédrales toutes blanches ». Ce poème aux allures de récit est écrit à l’imparfait, temps du récit et de la description

24. L'amour est toujours devant nous. Aimez ! (André Breton) 25. L'amour rend aveugle. L'amour doit rendre aveugle ! Il a sa propre lumière. Eblouissante. (Daniel Pennac, Aux fruits de la passion) 26. L'amour conjugal, qui persiste à travers mille vicissitudes, me paraît être le plus beau des miracles, quoi qu'il en soit le plus commun.(François Mauriac, Journal) 27. La confiance est une des possibilités divines de l'homme. (Henry de Montherlant) 28. Le mariage est et restera le voyage de