Les Monuments Aux Morts

mentionner la jeunesse, Nelligan donne beaucoup de place à la joie d’être enfant. Dans un premier temps, le versificateur fait une allégorie entre l’amertume de la vieillesse et une torche qui s’éteint: « La sérénité des jours à jamais beaux dont sont morts à jamais les radieux flambeaux » (vers 9 et 10). Ceci illustre le contentement

Quand on pense à Paris, on voit tout de suite la Tour Eiffel, le Louvre, Montmartre ou Notre Dame. Mais le cimetière du Père-Lachaise est aussi un monument historique. Il est le plus grand cimetière de Paris et l'un des plus célèbres dans le monde. Il est situé dans le 20e arrondissement de la ville. Le nom officiel est «cimetière de l’Est». Mais c‘était trop administratif, donc les Parisiens préférèrent toujours celui de «Père-Lachaise». Ce non vient de François d’Aix de la Chaise qui

œuvre, il évoque et dénonce le largage par les Américains de la 1ère bombe atomique sur Hiroshima Japon le 6 août 1945 qui a fait a peu près140 000 victimes L'oeuvre peut aussi faire penser au tableau Guernica de picasso, des affiches, des monuments aux morts ou des sculptures qui dénoncent les massacres générés par les guerre.

A quoi sert le Panthéon: 1790-1914 Intro: Le Panthéon est un monument de style néo-classique situé Place du Panthéon sur la montagne Sainte-Geneviève, dans le 5e arrondissement de Paris, au cœur du quartier latin. Il est entouré notamment par la mairie du 5e arrondissement, le lycée Henri-IV, l'église Saint-Étienne-du-Mont. Construit au 18e notamment sous l'impulsion Jacques Germain Soufflot (1713-1780) comme une église pour abriter la châsse( un reliquaire contenant le corps d'un saint)

deux camps croient à une guerre courte sur le modèle des guerres du XIX° siècle. La mise en œuvre de stratégies et d’armements nouveaux feront durer la guerre quatre longues années et seront à l’origine d’un bilan sans précédent avec huit millions de morts et vingt millions de blessés. Comment sur le front et à l’arrière les Européens vivent-ils une guerre de quatre ans ? I] L’entrée dans la guerre. 1)Accepter la guerre. −−>Les populations sont résignées voir enthousiastes lorsque la guerre

Conséquences : * 10millions de morts, bcp d’invalides * Pop affaiblie, on manque de tout, épidémie de grippe espagnole * Destructions matérielles * Etats endettés * Inflation dû à l’émission de monnaie papier * Pénurie * Chômage * Paix fragile source de futures tensions * Traumatisme de la guerre : * Organiser le deuil (défilé…) * 11nov devient férié * Soldat inconnu sous l’arc de triomphe * Monuments aux morts * Culte du souvenir * Soldats

ligne et les repos à l’arrière du front. Les batailles, par leurs longueurs et l’énormité des masses humaines qu’elles mobilisent, se transforment en boucheries. La bataille de Verdun s’étend de février à décembre 1916, faisant 300000 morts français et 250000 morts allemands. L’atrocité des combats, la vision quotidienne de la mort et des blessures entrainent une brutalisation des soldats. Il arrive tout de même à tenir grâce au sentiment de défendre les siens, la solidarité avec les autres combattants

nouveaux idéaux. L’armistice est signé le 11 novembre 1918. Le bilan de cette guerre qui semblait ne jamais vouloir finir est désastreux. Les pertes humaines sont considérables, on parle d’une « boucherie ». On dénombre presque dix millions de morts et huit millions d’invalides. Rares sont les hommes qui ont survécu à la guerre. Le taux d’accroissement naturel va baisser à cause d’un déficit des naissances. Peu d’enfants viennent au monde dans les années 1920. La plupart des femmes ont perdu un

contemporains, a débuté dans l'enthousiasme en France, car les soldats pensaient qu'elle serait de courte durée et qu'ils allaient vaincre les ennemis rapidement. Cependant, elle s'est malheureusement éternisée, et a causé près d'un million quatre cent mille morts en France : on parle de véritable « saignée ». Nous pouvons nous demander dans quelles conditions et dans quel état d'esprit les Français ont vécu cette guerre. Pour cela, nous verrons dans une première partie comment s'est déclenchée la guerre en

aussitôt, arrive sur les lieux de l'attentat et tire sur Antoine, qui est gravement blessé à la jambe. ------------------------------------------------- Seconde partie[modifier] Chapitre 1 6 juin 1949, Saint-Sère-la-Barre. On inaugure le monument aux morts de la Seconde Guerre mondiale : Antoine Desvrières. Assistent à la cérémonie : M. Desvrières, depuis 1947 maire du village ; Marie-Anne, mère d'Antoine, six ans, épouse de Jean Rimbert ; le bâtonnier de Hauteclaire, qui a échappé à l'épuration