Les Méduses

DALF – Classe Préparatoire Simon Howells Devoirs – Décrivez un tableau de votre choix et argumentez votre choix de tableau. Le tableau que j’ai choisi est « les raboteurs de parquet » de Gustave Caillebotte (huile sur toile, 1875). Je l’ai choisi pour de diverses raisons. Premièrement, c’est la première peinture qui me vient en tête quand je réfléchis sur l’art français. En plus, la peinture est une combinaison de styles, un mélange de sujets où deux mondes se croisent. Pour moi, l’art doit

en totale opposition par rapport aux auteurs classique est l'évocation de la mort. Thème tabou par excellence que l'on ne pouvait pas montrer chez les classiques, la mort est présente dans bons nombre de tableaux romantique, comme Le radeau de la méduse de Th. Géricault, ou encore La mort de Sardanapale et La liberté guidant le peuple d'E. Delacroix. Bien entendu l'admiration et la contemplation de la nature sont présentes dans de nombreux tableaux, dans lesquels elle est soit représentée comme magnifique

français qui ne donne pas forcément envie d'aller à la guerre ou d'être fier de la garde du pays. Le radeau de la méduse, est son dernier tableau avant sa mort due à une chute de cheval. Il va se donner les moyens pour acheter une grande toile et choisit un sujet, pas dans l'antiquité grec ou romaine mais dans l'information journalistique. Revoir l'histoire du bateau de la méduse avec le capitaine qui est parti avec son équipage laissant tout les autres à bord seuls. Géricault décide de s'engager

différents plans et en simultané. En cinématographie, on pourrait parler de montage alterné. Ainsi, l'artiste joue de la profondeur de champ pour produire de la narration. Géricault quant à lui, s'inspire d'un fait ayant eu lieu, le naufrage de la méduse. Le tableau possède une telle charge émotionnelle que cet peinture à l'air animée. La mer déchaînée et le radeau, qui à l'air assez fragile en soi, nous donne un effet de contraste entre la verticalité des vagues et l'horizontalité de l'embarcation

attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : " Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! (...) » « Le Radeau de la Méduse » (1819) Théodore Géricault On peut dire que ces deux œuvres sont liées car les auteurs sont français et il y a une forte présence d’eau. Les deux œuvres appartiennent au genre Romantique. Sources - Wikipédia - L’Encyclopédie de l’Agora

importance donner à cet épisode ? Les tableaux observés par les invités offrent d'abord un raccourci de la vie de Gervaise. Mais, paradoxalement, ces toiles reprennent de façon inversée le destin de l'héroïne. En effet, le premier tableau Le Radeau de la Méduse préfigure la fin tragique de Gervaise, véritable naufragée de la vie. Quant au dernier tableau, la Kermesse de Rubens, il met en scène le thème de la fête. Or, le début du roman marque l'ascension de Gervaise et se termine au chapitre VII, qui en

comme l’illustre le tableau de Théodore Géricault Étude de pieds et de main (cf. fiche d’œuvre). Cependant, il existe des œuvres qui montrent ces artistes en « hommes de leur temps » car l’histoire contemporaine marque leurs travaux. Le radeau de la Méduse (1819) de Géricault est vu par les journaux royalistes de l’époque comme une critique politique. Ce navire, envoyé au Sénégal par la France, fait naufrage le 2 juillet 1816 et parmi les cent quarante-neuf passagés seulement quinze sont retrouvés vivants

le goût pour les paysages d'un Orient poétisé et pour l'évocation de la vie intérieure, l'importance accordée au rêve et à l'imagination créatrice, et surtout un intérêt pour l'individu, perçu comme origine de la représentation. Le radeau de la méduse de Théodore Géricault ********** Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Romantisme http://arcaneslyriques.centerblog.net/2305574-Le-Romantisme-litteraire http://www.site-magister.com/romantis.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Caspar_David_Friedrich_032

bataille, c'est avec Théodore Géricault que la vision romantique de la guerre, de la mort et de la folie prend les couleurs de la réalité la plus atroce (Cuirassier blessé quittant le champ de bataille, 1814, Musée du Louvre, Paris). Le Radeau de la Méduse (1819, Musée du Louvre) dépeint a son paroxysme la souffrance humaine et l'inexorabilité de la destinée, thème qui trouve écho chez le peintre Eugène Delacroix, avec les Massacres de Scio (Musée du Louvre), tableau réalisé en 1824, l'année même de

épuisée, elle n'existe presque plus. Par contre ceux que nous regardons sont les monstres, ces espèces de vampires, qui l'ont vidée. En les regardant et en acceptant leur regard, nous devenons presque les complices du cauchemar. Le radeau de la méduse ( Géricault) Description : Aucune symétrie, beaucoup de désordre volontaire qui s’apparente au thème, et plusieurs lignes de force, dont une principale, deux plans (au premier plan, le radeau et au deuxième, le paysage). Dès le premier regard