Les Mains Libres

grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous surveillent, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres

vœu de chasteté, ni vœu de pauvreté. ; l’abbaye accueillait les femmes depuis 10 à 15 ans et les hommes de 12 à 18 ans. On y recevait principalement « les belles bien formées et bien naturées, et les beaux bien formés et bien naturés… », riches et libres. Rabelais décrit un splendide château de la renaissance « en figure hexagone, haut de six étages ». Il décrit en détaille la beauté de cette abbaye d’un genre unique : les matériaux sont précieux, les salles sont vastes et claires, ornées de peintures

de l’apologue. Corpus : TEXTE A. MOLIERE, Le Dépit amoureux, acte IV, scène 3, 1656. TEXTE B : MARIVAUX, La Double inconstance, acte I, scène 4, 1723. TEXTE C : August STRINDBERG, Père, acte II, scène 5, 1887. TEXTE D : Jean-Paul SARTRE, Les Mains sales, sixième tableau, scène 2, 1948. ECRITURE : I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) De quelles façons ces quatre extraits marquent-ils l’opposition entre les personnages ? Vous

grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres 

hilotes : ce sont des hommes et des femmes libres (qui ne dépendent pas d’un patron ou d’un maître) mais qui dépendent de l’Etat. Ils sont attachés à la terre et font la guerre. Ce sont eux, les producteurs pour l’Etat, pour communauté. Ce sont d’anciens habitants de provinces autour de Sparte. Ils gardent une unité de groupe, ils parlent la même langue. Ils sont forts et capables de récolter et faire la guerre. * Les périèques : ce sont des hommes libres qui ne participent pas directement au pouvoir

que les H libres puissent se consacrer à des activitées supérieures : politique, théâtre, etc... ccl : Au premier abord, le travail apparaît comme une nécessité triste, une activité qui renvoi l'H aux besoins biologiques et qui n'a rien de spécifiquement humain. II) La spécificité humaine du travail A) L'utilisation d'outils Le corps de l'H offre peu de ressources face à la Nature. La fabrication et l'utilisation d'outils suppose la pensée. Grâce à la pensée et aux mains, l'H fabrique

Olympische Spiele Le vainqueur était récompensé immédiatement après la compétition. À l'annonce du nom du gagnant par le héraut, un hellanodice (juge) plaçait une palme dans ses mains, tandis que les spectateurs l'acclamaient et lui jetaient des fleurs. On lui nouait des rubans rouges autour de la tête et des mains en signe de victoire. La cérémonie officielle de remise des prix se déroulait le dernier jour des Jeux dans le vestibule surélevé du temple de Zeus. D'une voix forte, le héraut annonçait

se célèbre par l’imposition des mains sur la tête de l’ordinand et une prière de consécration qui fait d’un fidèle baptisé un ministre ordonné. Par un don particulier de l’Esprit, cette consécration permet d’exercer un pouvoir sacré au nom et par l’autorité du Christ pour le service du peuple de Dieu. Le sacrement marque d’une empreinte que nul ne peut faire disparaître, l’évêque et le prêtre. Au degré suivant on trouve les diacres qui reçoivent l’imposition des mains en vue du service. En effet ils

solidarité familiale. Càd que la famille constitue un bloc juridique, par exemple si l'un des membres de la famille commet une infraction c'est toute la famille qui devra contribuer à la réparation du dommage. Il existe un clivage entre les hommes libres et non libres. La condition d'esclave des germains est bien meilleure que celle des esclaves romains. L'esclave romain ressemble à l'esclave colon. L'esclave germain a sa propre maison et sa propre exloitation mais doit payer une redevance à son maitre.

misère de la population rurale. - La lumière rasante (on est au coucher du soleil) accentue les volumes au 1er plan et confèrent aux glaneuses l’aspect de sculptures. Ceci souligne leur dignité. - Cette lumière met en relief les mains et les nuques et avive les couleurs des tissus. En arrière-plan : - Le changement d’échelle est brutal - Atmosphère dorée - les charrettes et les meules de blé représentent le temps de la moisson. On distingue à peine