Les Héroïnes Tragiques

part importante de comique par l’intermédiaire du valet Sganarelle. I - Une héroïne tragique et pathétique A. La situation - Elvire est une femme de grande naissance, amoureuse et abandonnée. - On peut croire que Don Juan est un homme habile, car elle semble véritablement éprise de lui. - Elle est même aveuglée au point de chercher des raisons de se croire encore aimée. B. Le langage - Tragique : langue soutenue ("courroux", "cruel", "perfide", "ingrat"), rhétorique (2 interventions

fatal » (l.26)  dimension tragique (sœur)  références au réel Cette relation est empreinte de trace de regrets  question rhétorique  triple interrogation B. Une passion transformée Temps verbaux : conditionnel passé, subjonctif plus que parfait  montre le délire absolu de Phèdre De façon implicite, la passion Thésée-Ariane devient celle de Phèdre-Hippolyte « Par vous » (l.23), « votre main » (l.26) + l’anaphore ligne 29 qui montre que Phèdre se met en scène. C. Phèdre, héroïne du rêve Avec « votre

de force pour tenir la plume, c'est la fin de la lettre ainsi que des Lettres Persanes, lettre qui s'achève sur les mots d'une femme, des mots tragiques « je me meurs » qui montrent que nous somme bien dans un registre tragique. II. Un roman qui frôle la tragédie  2. En quoi ce Roman et tragique Ce roman frôle la tragédie, Roxane devient une héroïne vive, violente et pourtant elle meurt (dansBajazet de Racine l'héroïne s'appelle Roxane). « Jalousie ... affreux sérail ... haine ... violence

de sa rencontre déroutante et de ses personnages atypiques. Cependant, il fournit des clefs de lectures essentielles à la suite du roman, en quoi pouvons nous l’affirmer ? II. Mais des clefs de lecture pour l’œuvre A/ L’annonce d’un amour tragique - Possibilité de l’amour -> aspect romanesque : *Obsession pour Bérénice (champ lexical de l’obsession (citer), répétitions (vers, étoffe, Césarée), phrases plus longues et structurées avec subordonnées relatives marquant le retour d’une

défendre ou pour sauver la vie des autres. Il sacrifie sa propre vie. Dans la guerre, on parle d’un héros, si il a réussi à emporter la victoire. Il y a aussi des héros tragiques. Ce sont des personnages qui doivent faire des choix difficiles.Mme Loisel, le personnage principal de « La Parure » correspond plus ou moins à une héroïne tragique au sens classique. Elle tâche de payer toutes ses dettes et à la fin, elle y réussit. Cependant, le gueux n’est pas un héros. Un jour, il a un accident fatal qui le

revient également, qui s'oppose à la lumière de la vie, L. 27 "Prince of life!", il est celui qui lui a donné la vie, la vraie, l'amour, sa nouvelle réalité qu'elle met en opposition avec l'art dans lequel elle a toujours vécu et a été toutes les héroïnes mais pas elle même. Les mots uttilisés pour qualifier le théatre et l'amour sont aux antipodes: le theatre correspond au champ lexicale du faux: "hollowness", "sham", "silliness", "empty", "hideous", "vulgar", "pupppets", "unreal", "profanation"

remarque par les apostrophe affectueuse " ma petite brebis" • tutoiement sur le ton paternel et protecteur il l appelle à la modération " calmez-vous " et essaie toujours de la rassurer. • En fait Tirésias qui est devin cherche a conjurer le destin tragique de Jocaste en l’enfermant dans un sommeil réparateur symbole du sommeil de la conscience de l'aveuglement sur soi ou en la mettant en garde mais sans lui donner la clé de son cauchemar qu'il détient pourtant " madame je vous en conjure ... de vous

personnage y révèle ou annonce ses futures vertus. Le romancier peut alors multiplier les signes qui révèlent la grandeur native du personnage et annoncent son destin ( comme dans Stendhal ) Madame de Lafayette expose d'abord la stupéfiante beauté de son héroïne mais elle éclaire aussi son personnage par le récit de son éducation exemplaire. C'est alors que la figure maternelle envahit le portrait de la fille et on sait de quelle façon cette éducation influencera ses futurs choix. L'accent est d'abord mis

cette fin dans un registre tragique. -Dans la façon dont Mme de Volanges présente son propre sort : insistance sur le pathétique (« plus triste encore » (l.37) + ponctuation expressive « ! ? ») et vocabulaire tendant vers l'idée d'une fatalité : « sacrifice » (cf. sacrifice divin) (l.40), « obligée » (l.41), « fatalité » (l.49), « m'a frappée dans les objets les plus chers » (l.50-51) « Le sort de madame de Merteuil » : le terme peut être pris dans son acception tragique (le sort = le destin), ce

cinquième lettre, elle fait enfin face à la réalité de cette liaison. Les illusions se dissipent progressivement. C’est cette évolution des sentiments qui explique les nombreuses contradictions de Mariane dans ses lettres (p.61-62). Construction tragique : La structure de l’œuvre est parfaitement adaptée à cette évolution sentimentale. « Les cinq lettres sont comme les cinq actes condensés d’un drame respectant les unités classiques, à situation variant peu, consistants entièrement en