Les Héroïnes Tragiques

qu'on n'avait jamais vu'' avec la négation restrictive ''ne … que''. Melle de Chartres est dc un archétype de la beauté féminine. Mais cela reste un portrait physique très stéréotypé et vague en fait on ne sait pas grand chose sur elle. Toutes les héroines classiques ont un peu ce physique dans le roman du 17e siècle. Nous sommes donc très loin des portraits réalistes qu'on trouvera au 19e siècle. * b)Une fine fleur de l'aristocratie Le narrateur insiste sur son appartenance sociale elle est de

C'est une des scènes finales de la pièce et de ce fait elle est particulièrement importante. Elle met face à face Hermione et Oreste après la mort de Pyrrhus. Problématique : En quoi cette scène est elle particulièrement tragique ? I) Oreste : le bourreau devenu victime : un personnage funeste 1) A la fois bourreau de Pyrrhus ( vocabulaire du sacrifice ) et 'victime' de son amour malheureux pour Hermione qui le rejette ( lorsque Hermione comprend ce qu'a fait Oreste la proportion du texte

ayant pour héroïne une femme. En 1829 Honoré De BALZAC publie La Maison du Chat-qu- pelote, vibrant hommage à sa jeune sœur décédée. Cette histoire retrace le drame vécu par sa sœur et dont il garde une profonde blessure. En 1857, Gustave FLAUBERT publie Madame BOVARY. A contrario, il fait appel à son imaginaire et préfère donner libre court à l’imagination du lecteur pour donner vie à son héroïne. Nous nous pencherons sur les portraits d’Emma BOVARY et d’Augustine GUILLAUME, héroïnes de ces romans

siècle, la tragédie est écrite en alexandrins, dans un style élevé (le style «sublime»). Elle présente une action en cinq actes. L'action respecte la règle des trois unités. Les registres privilégiés sont le tragique et le pathétique. La gravité et la tension n'empêchent pas l'ironie tragique. Racine : (1639-1699) est un grand dramaturge et histographe du XVIIe siècle. Il rencontre un grand succès avec Andromaque (1667), Bérénice (1670) et Iphigénie (1674). Présentation de l’extrait : Phèdre est

plume divine et légère, décortique la société anglaise du XVIIIème siècle à travers l'intrigue et ses personnages, et nous transporte dans les collines de la campagne anglaise. Le roman s'ouvre sur une scène plutôt tragique : il s'agit en effet de la mort du père des héroïnes, qui les laisse misérables et sans le sou. Obligées de s'en remettre à la générosité de leur demi-frère, les deux jeunes filles, Elinor et Marianne Dashwood, ainsi que leur petite sœur, Margaret, et leur mère, partent vivre

Médée – Corneille (1635) Médée : fin d'un amour, incompréhension, révolte, envie de se venger/ tragique EXPLICATION : Dans l'exposition (permière scène de théâtre : intrigue) Médée, monologue* et continue après le texte. émetteur : Médée récepteur : Médée + d'autres récepteurs comme s'ils étaient là (but de corneille). I. Le monologue produit une tension dramatique intense. II. Une rage démesurée qui terrifie. I. Le monologue produit une tension dramatique intense

», qui accentue le ton cassant de la jeune femme, ponctuées de point d’interrogations « Pourquoi ? » ce qui montre que les deux sœurs une certaines indifférence, donc, une opposition. Ces trois textes, A, B et C montrent également que les deux héroïnes on un point de vue différent : dans le texte de Sophocle, Antigone emploi des négations absolues « j’entends que nul ne soit en droit de dire » alors qu’Ismène reste respectueuse des lois et ne se révolte pas « en dépit de la défense faite à toute

l’état. On peut donc ce demander dans cette scène qui a raison ? On a effectivement Créon qui est dévoué à son métier de roi cependant il décide d’être un homme simple et réaliste là ou Antigone est une héroïne. Même si elle sait qu’elle va mourir elle garde une volonté de fer car même si c’est tragique elle sait que c’est son destin. Ensuite Créon compare les hommes avec des bêtes et oppose à travers cette image l’opposition entre l’individualité qui mène à l’extinction et l’intérêt générale qui

peut être accompagnée. » III. La Princesse de Clèves : une héroïne extraordinaire 1. Une épouse extraordinaire : l’honneur comme guide Idée : La Princesse de Clèves veut, comme sa mère, être une femme extraordinaire. Argument(s) : Elle va donc faire des actions sublimes, qui la distinguent de toutes les autres femmes. Exemple(s) : En avouant implicitement à son époux son inclination pour un autre homme, elle devient une héroïne extraordinaire : « Quelque dangereux que soit le parti que

esprit du cloître » temps futur qui domine (à citer, à compter) + utilisation d une subordonnée hypothétique « s il fallait apprendre à coiffer » : projet d avenir dépendant de la bonne volonté d un seul homme dont le silence nous gêne Va-t-il aider l héroïne ? B) Le poids des non-dits : Suzanne est elle vraiment capable d affronter la vie réelle comme elle le prétend dans le paragraphe 2 ? Un point de vue interne nous offrant une vision limitée de la situation, personnage enfermé dans son monologue car