Les Héroïnes Tragiques

publique (l.5-6) > bienséance (l.26) > scrupules de l’aimer. - bienséance par rapport au deuil (chiasme l.39) = mort trop récente. c) Le refus de la passion -Lafayette dresse le portrait d’une héroïne presque tragique puisqu’elle oppose passion et raison (l.33) rhétorique, lamentations tragiques. -toujours choisir la raison contre la passion. Répétition de « devoir ». (l.16) « J’avoue que les passions peuvent me conduire ». (l.23-24) +Raison –Passion. - exposition des sentiments > (l.1-5)

CASSANDRE dans LES AMOURS de RONSARDHERSANT 1 La Princesse de Clèves (1678) Mme de LAFAYETTE T 1 : "Le portrait de "l'honnête femme"" 1 Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son

son palais, Créon sent pour la première fois le poids de la solitude, mais les événements tragiques qui l’ont secoué ne l’empêchent pas d’assumer ses responsabilités royales avec le sens du devoir qui lui est connu. Réponse développée : Pourquoi peut-on rapprocher Antigone d'Anouilh d'une tragédie contemporaine ? Jean Anouilh a écrit Antigone lors d'une période très sombre, très tragique de l'Histoire Française, la Seconde Guerre Mondiale. Pour lui, reprendre un mythe grecque,

laisse parcourir de façon fluide et saisissante. Ce parcours, s'il faut le qualifier d'un mot, est tragique. Du tragique il porte les signes du malheur, de la mort. Il porte les marques de ces émotions originelles que ne renieraient pas les antiques Grecs : la terreur et la pitié, celles que suscitent les actes extrêmes, les comportements destructeurs, les maux irrémédiables. Du tragique il possède surtout ce ressort implacable qu'est la fatalité, la terrible anankê. Quelle soit ici appelée

 L.A 2 Médée Kali, Laurent Gaudé Objet d’étude : Le Théâtre Introduction : Tragique 2009 : contemporain Héroïne venant de la mythologie (Médée) et kali (déesse indou) Commet un infanticide (folie ou rituel ?), pour se venger de la trahison de son époux Jason, qui la tromper en épousant une princesse grecque Personnage barbare, renier de la terre grecque et chasser de chez elle puisqu’elle a trahie sa famille en tuant

registre lyrique II) Un personnage déchiré par la colère et la tristesse qui se transforme en une héroïne magique ambigüe a) Le rappel des épisodes mythologiques qui font de Médée un personnage épique -énumération, emplois des possessifs, pronom « je » -parallélisme constructif qui insiste sur la puissance de Médée déployée par le passé b) Des éléments qui annoncent et préparent le dénouement tragique -champs lexical de la mort de l’enfer, de la haine -antithèse qui annonce la violence finale et gradation/hyperboles

Le tragique dans les romans du 18°siècle. Le 18°siècle est celui de l'explosion du genre romanesque, au dépend des pièces de théâtres classiques tragiques. Cependant, le tragique n'est pas totalement délaissé par les auteurs ; il est seulement adapté aux romans. La stylisation de la tragédie classique est d’ailleurs désignée comme un peu excessive (les pièces tragiques classique se situent dans un ailleurs lointain, souvent antique, ses personnages sont épurés, tracés avec des règles formelles

Jusqu’en 1677, date de la représentation de Phèdre tout sourit à l’auteur mais à partir de cette date, l’homme de théâtre connaît quelques revers. Auteur également de nombreuses préfaces, Racine n’a eu de cesse de se soucier des possibilités du genre tragique. Ainsi en 1671 défend-il dans la préface de Bérénice « l’invention (qui) consiste à faire quelque chose de rien ». La pièce, en effet, met en scène les amours malheureuses de trois grands personnages : Bérénice, Titus et Antiochus entre lesquels

de ses pensées, on est dans sa tête, crime, poids de la culpabilité, elle va se sacrifier, « elle lui avait fait paraître » condamnation classique, héroïne tragique classique, « elle ne se reconnaissait plus elle-mê » CHUTE. 3ème phrase : Poids lourd de la culpabilité de son mari vis à vis de son amant. Elle se reproche tout ? fatalité tragique. 4ème phrase : « Mais » connecteur logique d'opposition, cette jalousie qu'elle a éprouvée. Forte insistance sur la tromperie (PH3 : « le moins

spectacle, et enfin la mélodie (car le spectacle tragique était accompagné de musique). Les personnages Les personnages tragiques prouvent leur héroïsme dans un combat contre la fatalité ; ils doivent être plutôt du côté du bien, ou du moins occuper une position intermédiaire entre le bien et le mal; leur malheur doit être provoqué par une erreur de jugement plutôt que par un vice foncier. Placés devant des choix difficiles (le dilemme tragique), ces héros ne peuvent éviter un dénouement malheureux