Les Horloges De La Nuit

« L’Horloge »Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,Le 1er mot évoque d’emblée le thème de l’allégorie du temps, apostrophe avec exclamationParadoxe qu’un dieu soit sombre, énumération d’adj péjoratifs sombres qui casse l’image traditionnelle de Dieu et d’ailleurs on comprend que c’est un dieu puisqu’il n’y a pas de majuscule. Dieu « impassible » alors qu’un dieu est sensé ressentir des émotionsMétaphore, objet divinisé car les dieux ont droit de vie et de mortPersonnification et divinisation

la qualité mais aussi notre rythme jour/nuit. C'est grâce à l’électroencéphalogramme (EEG) que les scientifiques peuvent enregistrer l'activité électrique du cerveau. Les électrodes sont placées sur le crâne de l’individu et permettent de reconstituer un tracé des principales ondes émises par le cerveau. Le sommeil est constitué d'une alternance de différents cycles. On peut distinguer essentiellement 2 phases de sommeil. Lors de la première partie de la nuit s'installe une activité cérébrale ralentie

est l’Ennemi invincibleProblématique : En quoi Baudelaire, dans « L’Horloge », illustre-t-il notre sensibilité moderne face au Temps ?1er mouvement – vers 1 à 8 : l’Horloge menace et admoneste l’hommeA) Le thème de la fuite du tempsL’apostrophe « Horloge ! » (v.1) est emphatique : elle individualise un objet de la vie courante qui paraît banal et le revêt d’une dignité à laquelle on ne s’attend pas.La métaphore du « doigt » de l’horloge (v.2)Fait sans doute référence aux aiguilles de l’horloge ; mais

la lumière se reflétant sur l’eau. Mais il est aussi possible de ressentir la grande colère de l'auteur qui l’envahit et qu’il exprime. Il en veut au temps qui passe de faire disparaître toutes ces beautés de la nature. Illustré par le tableau "La nuit étoilée" de Vincent Van Gogh. Les étoiles se reflétant sur le lac donnent un sentiment de prolongation de l'espace et du temps. Puis vient le poème de «L'Horloge » de Charles Baudelaire, dans ce poème l'auteur nous montre la vitesse du temps qui s'écoule

ignorance du temps qui passe. Plus la fin du poème approche, plus le rythme augmente comme si l'homme ressent l'irréversibilité du temps et la mort qui approche. Sur le plan sémantique, de nombreuses figures de style éveillent le spleen baudelairien. « Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi 10», le symbole principal du poème se retrouve dans cette citation par la notion de la mort qui représente l'idée abstraite et du temps qui est l'image

Extrait étudié : Je criai. Personne ne me répondit. J'appelai plus fort. Ma voix s'envola, sans écho, faible, étouffée, écrasée par la nuit, par cette nuit impénétrable. Je hurlai : « Au secours! au secours! au secours! » Mon appel désespéré resta sans réponse. Quelle heure était-il donc? Je tirai ma montre, mais je n'avais point d'allumettes. J'écoutai le tic-tac léger de la petite mécanique avec une joie inconnue et bizarre. Elle semblait vivre. J'étais moins seul. Quel mystère ! Je me remis en

humeur débordante je me laissai submerger par 2 ma tristesse. Je bus un verre de Whisky, puis un autre, et encore un autre. Les verres de Whisky, n’épongeait pas ma peine. Vers environs minuit, je décidai de rentrer chez moi. Dehors il faisait nuit noire, il n’y avait personne seul les arbres qui me regardaient avec morgue, ils riaient de moi. Je ne sais pas combien de temps je marchai mais cela me parût une éternité. Quand enfin, j’aperçu le manoir au bout du chemin, je me senti comme soulagé

Métaphore filée : ​  Le temps    Objet symbolique :​  Horloge     Nom de l’auberge : ​ Le Gîte     Description de l'auberge​  :  Intérieur :  L’auberge située tout près de ​ Bordeaux​ , en France, à environ vingt minutes du  port. Il y a 6 étages (sous­sol, rez­de­chaussée, 1er, 2e, 3e et 4e étages) et chaque étage  correspond au niveau de détresse de nos personnages. Le sous­sol est habité par le proprio  de l’auberge. Dans l’entrée, il y a une horloge de parquet qui sonne de manière  assourdissante 

vu avec quelle sagesse je procédai ! — avec quelle précaution, — avec quelle prévoyance, — avec quelle dissimulation je me mis à l’œuvre ! Je ne fus jamais plus aimable pour le vieux que pendant la semaine entière qui précéda le meurtre. Et, chaque nuit, vers minuit, je tournais le loquet de sa porte, et je l’ouvrais, — oh ! si doucement ! Et alors, quand je l’avais suffisamment entrebâillée pour ma tête, j’introduisais une lanterne sourde, bien fermée, bien fermée, ne laissant filtrer aucune lumière

est un sonnet, le poète utilise souvent cette forme dans son recueil « Les Fleurs du Mal ». J’ai choisi d’intégré ce poème dans l’anthologie puisque le titre de celui-ci est justement le temps. C’est la raison pour laquelle j’ai placé le poème « horloge » écrit aussi par Baudelaire et portant sur le même thème, juste après celui-ci. Le poète articule son œuvre autour d’une métaphore sur les saisons. On peut voir que lorsque le poète parle de sa jeunesse il la décrit comme un été, avec le soleil