Les Hommes Sont Ils Violents Par Nature Ou à Cause De La Vie Sociale

------------------------------------------------- Année Académique : 2012-2013 ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- THEME ------------------------------------------------- PHILOSOPHIE ET VIE PUBLIQUE ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Réalisé et présenté par : -------------------------------------------------

du vieillard » *-AUTEUR* : DIDEROT *-SIECLE* : 18eme SIECLE Le Supplément au voyage de Bougainville ou Dialogue entre A et B sur l'inconvénient d'attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n'en comportent pas est un conte philosophique de *Denis Diderot*. Il paraît pour la première fois en volume en1796. *ELOGE = * Discours prononcé à la faveur de quelqu'un, de quelque chose. Introduction Supplément au voyage de Bougainville, de Diderot, est conçue

aurait le courage, en face de tous les enseignements de la vie et de l’histoire, de s’inscrire en faux contre cet adage ? Cette tendance à l’agression, que nous pouvons déceler en nous-mêmes et dont nous supposons à bon droit l’existence chez autrui, constitue le facteur principal de perturbation dans nos rapports avec notre prochain ; c’est elle qui impose à la civilisation tant d’efforts. Par suite de cette hostilité primaire qui dresse les hommes les uns contre les autres, la société civilisée est constamment

cette enquête de victimation a été critiquée, notamment par Marcela Iacub, Hervé Le Bras et Élisabeth Badinter. Première critique : l'enquête additionne des comportements objectivables (violences physiques) et des comportements non-objectivables (violences psychiques), lesquels sont de plus mesurés de manière très fantaisiste. Deuxième critique : seules des femmes sont interrogées, ce qui par définition enlève toute possibilité d'évaluer le nombre d'hommes violentés. Ces attaques ont eu entre

incarne la mauvaise conscience de la société féodale dominée par les hommes. C’est le coup de théâtre, la révélation de cette scène qui nous permet de la découvrir. Qu’apprend-on sur elle dans sa tirade ? qu’elle a eu une vie modeste ( ligne 5) et difficile ; qu’elle est probablement instruite ( sa façon de s’exprimer, son esprit critique) ; que c’est une femme de tête, de caractère : elle ose ici s’opposer violemment à 4 personnages masculins dont le comte lui-même, pour leur reprocher

de Diderot, A et B, discutent du Voyage autour du monde du navigateur français Louis Antoine de Bougainville récemment paru (en 1771). B propose de parcourir un prétendu Supplément qui en remet en question certaines soi-disant évidences énoncées par Bougainville. Deux passages de ce supplément sont enchâssés dans la discussion : Les adieux du vieillard, et le long Entretien de l'aumônier et d'Orou. Chapitre 1 : Jugement du voyage de BougainvilleAu moment où il commence, le dialogue a l'air d'être

vivre. Elle soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé, ici dénigré. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties : dans la première, il s'adresse tout d'abord aux Tahitiens puis dans la deuxième, il s'adresse directement à Bougainville. Dans ce texte, Diderot souligne l'opposition entre deux

relation proche (fratrie B / D, employé/valet A / C), l’argumentation fait partie de l’action : les enjeux sont forts, parfois vitaux (C) ; le plus souvent, elle se présente sous forme de conflit (D) et met en évidence des rapports de force à la hauteur des comportements humains en question : inversion dominant/dominé (A), le conformisme (B), le meurtre politique (C), la relation au père… un moment de vérité plus ou moins violent qui remet en cause nos principes (D). II/ COMMENTAIRE : [i]Vous

« Prière à Dieu », Traité sur la tolérance, Voltaire Introduction Contexte Traité sur la tolérance : initialement écrit pour réparer l’erreur judiciaire de « l’affaire Calas ». En 1761, un riche toulousain protestant, Jean Calas, trouve chez lui son fils de 29 ans, mort étranglé. Croyant que celui-ci s’est tué, son père dissimule le corps afin de préserver l’honneur familial. Mais la rumeur publique l’accuse de l’avoir tué parce qu’il fomentait le projet de se convertir au catholicisme. Jean

donc l’animal, mais c’est aussi le plus lointain. L’homme est libre, parle, rit, pense, est capable de moralité, de créer de l’art, du beau, des objets techniques, aussi. L’homme semble si supérieur à l’animal qu’il paraît par moments échapper à la naturalité, appartenir à une autre sphère que lui, à la sphère de l’esprit.Mais le problème se maintient, tenace : d’une part, l’homme est un animal comme les autres, avec un corps, des organes, un comportement qui semble parfois primaire. Il semble même