Les Hommes Font Leur Propre Histoire Marx Philosophie

Articles Histoire de la pens€e €conomique Chr€matistique Mercantilisme Physiocratie •cole classique Marxisme €conomique Historicisme Keyn€sianisme Mon€tarisme •cole autrichienne d'€conomie •cole n€oclassique N€okeyn€sianisme •conomie de l'offre Synth‚se n€oclassique Nouvelle €conomie classique 1 18 20 34 38 41 46 49 60 61 66 72 74 75 76 R€f€rences Sources et contributeurs de l€article Source des images, licences et contributeurs 77 78 Licence des articles Licence 79 Histoire de la pens€e

réalisme s’oppose à la démarche idéaliste, dite aussi utopique. (Utopie = lieu de nulle part), néologisme de Thomas More, Utopia. Cette démarche peut être rattachée à celle des classiques à Platon avec la république (ordre social qui fait le bonheur des hommes). Volonté de faire coïncider le réel et l’idéal Rousseau: il faut savoir ce qui doit être pour bien juger de ce qui est. > Des valeurs traduites par des normes. Une démarche éthique/normative > de l’ordre juste pour aller vers la réalité.

Raymond Aron relate « l’illumination » qui détermina son parcours de chercheur en sciences humaines et sociales. Nous sommes alors au début des années 1930. Le jeune Aron, tout juste sorti de l’École normale supérieure auréolé de l’agrégation de philosophie, part pour l’Allemagne à la recherche d’un sujet de thèse : « Je cherchai un sujet de réflexion qui intéressât à la fois le cœur et l’esprit, qui requît la volonté de rigueur scientifique et, en même temps, m’engageât tout entier dans ma recherche

questions : Quelle relation entre « ind » et la « société » ? Quelle sont les motivations des acteurs sociaux ? Le social est-il pluto un espace dintégration ou de conflit III/ les gds précurseurs L’opposition Platon/ Aristote : - Platon : philosophie pur, essayé d’énoncer le bien et développer un idéal - Aristote : quand a lui essaye de décrire objectivement la S dans laquelle il et notamment il étudie les constitutions de presque toute les contrés et il les compare Un long sommeil jusqu’au

sujet › Dissertation : Percevoir est-ce savoir ? Le sujet Pas à pas ® Comprendre le sujet Le sens du sujet : Dans ce sujet, il s’agit de se demander si on peut poser une équivalence entre l’acte de percevoir et celui de savoir, deux actes propres à l’homme. L’acte de percevoir désigne la saisie intuitive d’une réalité par la conscience. On le distinguera du simple fait de sentir, plus immédiat. L’acte de savoir désigne la possession d’une connaissance de ou sur quelque chose, qui ne prend

 INTRODUCTION GENERALE Depuis les temps, l’intérêt de la science économie se repose sur les comportements des hommes, un souci de résoudre les problèmes auxquels sont confrontés les hommes, ces problèmes sont : la rareté, caractéristique des biens économiques qui n’existe pas à l’état naturel en quantité illimité pour satisfaire les besoins humains. Lutter contre la rareté signifie améliorer les conditions d’existence. Pour le faire l’homme attaque son milieu de vie et accède au bien-être

la considérer pour elle-même, mettant en évidence un phénomène politique détenteur d’une logique propre, d’une histoire spécifique etc. Il s’oppose ainsi à Marx pour lequel il n’existe pas d’autonomie de politique ; se définissant uniquement par rapport à la société. Weber produit quatre types de travaux : * travaux de méthodologie (méthodes des sciences humaines) * travaux historiques (« Histoire de l’Economie ») * travaux de sociologie de la religion (relations entre les conditions économiques

Chapitre introductif : Économie et Histoire 1. Le capitalisme comme objet de l'histoire économique. 1.1. Préambule Pourquoi l'histoire du capitalisme et pourquoi l'histoire du capitalisme en occident ? Fernand Brodel : • Histoire économique = essentiellement l'histoire du capitalisme (nouvelle forme d'économies et de sociétés) : l'essor de l'économie date du capitalisme • Histoire économique du capitalisme = d'abord l'histoire de l'occident : cette nouvelle société s'est constituée

question de savoir si l'histoire fait l'homme ou si ce sont au contraire les hommes qui font l'histoire, c’est envisager une problématique demandant d'abord une acception du terme histoire. Nous considérerons donc que l'histoire s'entend non pas dans le sens réducteur de mythe ou de récit qui se raconte, non plus que dans le sens du seul déroulement événementiel du cursus de l'humanité. Nous appréhenderons en fait le terme histoire dans son sens vérité générale de la réalité historique, rythmée par les

que l’on peut observer une certaine progression dans l’histoire, afin de nous tourner vers l’idée que le progrès dans l’histoire n’existe pas, qu’il n’est qu’un mythe destiné à rassurer les Hommes. Lorsque l’on observe l’homme à l’époque Neandertal, et l’homme d’aujourd’hui, de très grandes différences se font sentir. L’homme des cavernes n’était conscient que par son besoin de manger, boire, chasser, protéger sa tribu, dormir, etc. Aujourd’hui, l’homme garde ces préoccupations et ces besoins dits