Les Hommes dansants

Lucinde (« a ouvert la fenêtre qui regard sur la rivière », « Je veux mourir »). Phrases très courtes, exclamatives, vocabulaire tragique => situation comique. Sganarelle mande les médecins… et du champagne. Premier entracte Champagne, en dansant, frappe aux portes de quatre médecins, qui dansent et entrent avec cérémonie chez le père de la malade. ACTE II Acte II scène 1 Sganarelle / Lisette Lisette critique la venue des 4 médecins dont elle met en évidence l’inefficacité voire la

dans le film : le titre Valse avec Bachir anticipe une séquence précise : Frenkel « dansant une valse entre les balles » avec des portraits géants de Bachir autour de lui. Au travers de ce film, Folman développe les différents aspects de la guerre, ce qu’éprouve un soldat au combat. Tout d’abord, le réalisateur aborde le thème de la peur, première composantes de la guerre, car même pour le plus héroïque des hommes, la peur est le sentiment dominant. Et lorsque celle-ci prend le dessus, on est prêt

(carré, rectangle, rond, ovale) -style antique (pied cannelé) -ornement minimaliste (nœud, feston, draperie, …) -dorure Empire Napoléon -lignes droites et orthogonales -prédominance acajou -décor bronze : couronnes de laurier, étoiles, nymphes dansantes, abeilles -forme architecturale Art nouveau -parallèles avec le style gothique, rococo et baroque -formes étranges pour le bois et tortueux pour le métal -chaises et tables semblent molles Art déco -forme parallélépipédique, angles arrondis ou

sortes de cérémonies : Le famadihana d'inauguration : quand une famille a construit un nouveau caveau familial, la croyance veut qu'on ne doit pas le laisser vide. En effet, les malgaches croient que la caveau avait le pouvoir de soustraire les hommes du monde des vivants pour celui des morts. On décide d'y placer généralement les ancêtres à l'origine de la lignée, enveloppés dans un linceul neuf, comme pour l'inaugurer. Le famadihana de transfert : la cérémonie consiste à exhumer les restes du

Pulcinella) : Il est caractérisé par une bosse et un long nez crochu et incarne la ruse et la vantardise. - Le Docteur : C’est un savant ou un homme de loi. Il symbolise le pouvoir intellectuel. Il est souvent vêtu d’une longue robe noire, comme les hommes savants de Bologne et coiffé d’une toque noire. Il est gros et gras et est tantôt l’ami, tantôt le rival de Pantalon. Derrière ses grands discours se cache toutefois une profonde ignorance. Il est la figure du pédantisme et de l’avarice. - La fille

généraliste : tout type d'info Le Monde, le Figaro, Libération, Aujourd'hui en France (le Parisien partout en France), La Croix, L"humanité profil lectorat : les hommes, à partir de 40-45 ans, CSP + ou ++, peu fidèle Selectivité du support se fait en fonction de la tendance politique du quotidien a.2) Spécialisée : b) régionale lectorat : les hommes, à partir de 50-55 ans, tous CSP, fidèle sélectivité : en fonction de la région où l'on habite B) périodique a) féminine : la plus exportée dans le

l’impression de poser pour le peintre puisqu’il a le regard tourné en sa direction. Une certaine joie de vivre se dégage de se couple, on a l’impression qu’il est dans la lumière. Enfin, en arrière plan on peut observer, une multitude de gens dansants, des chapeaux qui se heurtent. Les chapeaux qui se heurtent représentent en réalité les catégories sociales qui se heurtent, puisque le chapeau haut de forme représente la bourgeoisie et le chapeau de paille (canotier) évoque le monde populaire.

guerre, les ordres les rattrape et ils sont obligés de revenir au front pour se battre. Le second couplet montre la relève tant attendu et redoutée pour ceux qui viennent en première ligne. Le troisième couplet évoque l’arrière et dénonce tous les hommes qui ne se battent pas au front. Le refrain montre la désespérance des soldats avec l'anaphore de « Adieu ». Ils disent dans ces paroles qu'ils ne sont rien de plus que de de « la chair à canon ». Le deuxième refrain se termine d'une façon optimiste

la solitude dans le couple et travaille sur la communication dans les rapports hommes-femmes. C'est une vision très pessimiste qui s'exprime par des petits gestes anodins répétés, ou par l'accumulation des danseurs sur scène. Souvent, dans ses spectacles, une femme reste impassible et engage une rupture ou une transition vers une autre scène. Les « rondes à la Pina Bausch » désignent ces petits gestes repris par les hommes ou les femmes ou les deux, une sorte de signature, même si elle les utilise

voire « supérieur » sur ce et ceux qui l’entourent (voir cours sur le prince-astronome/ l’ironie naît chez lui d’une crise existentielle) : ironie assez mordante, parfois agressive (par ex. la manière dont il parle à son fils)/ dérision du « guépard dansant » ð     Tancredi : l’ironie est un élément essentiel de sa personnalité ; elle lui sert à ne pas prendre les autres, ni lui-même, au sérieux. Le prince apprécie cette ironie qu’ils partagent et qui resserre leurs liens. ð     Concetta : elle utilise