Les Griffes de la nuit

pour éviter qu'ils ne gèlent d'une saison à l'autre . Elle me remercie pour les conseils et me montre le petit outillage qu'elle à , pour les plantations , elle me donne des gants et s'en met aussi , et nous voilà partis tous les deux à griffer , retourner la terre dans les pots et les emplacements prévus à cet effet , Mme F prépare ensuite la terre et fais quelques trous pour y mettre les bulbes , moi je les mets , rajoute du terreau et tasse bien le sol , à la demande de Mme F . Elle

lexical de la prison « fers », « cachot », « soldat de garde », situe l’action dans le milieu carcéral. - description de l’atmosphère effroyable de son cachot « l’horrible réalité qui m’entoure », qu’il décrit sombre « les rayons pâles de ma lampe de nuit » et humide « dalle mouillée et suante de ma cellule » La forme d’un journal intime permet au lecteur de s’identifier au narrateur et donc de toucher au plus prés ses sentiments ; il s’émeut à travers le ressenti du narrateur. Afin que le lecteur

dissipe dès la rose Apparence du soleil. Dans mon âme je m'avance Tout ailé de confiance: C'est la première oraison! À peine sorti des sables, Je fais des pas admirables Dans les pas de ma raison. Quoi ! c'est vous, mal déridées ? Que fîtes-vous, cette nuit, Maîtresses de l'âme, Idées, Courtisanes par ennui ? Toujours sages, disent-elles, Nos présences immortelles, Jamais n'ont trahi ton toit ! Nous étions non éloignées, Mais secrètes araignées Dans les ténèbres de toi! J'approche la transparence

famille en zone libre. Maurice et Joseph partent ainsi seuls un jour (début 1942) pour rejoindre Albert et Henri à Menton. Leur traversée de la ligne de démarcation à Hagetmau[3] se passe sans problème, Maurice allant jusqu'à faire passer dans la nuit la ligne à un groupe et gagner ainsi 20 000 francs( 4000 euros). Après une longue route semée de dangers et un passage par Marseille[4], ils retrouvent leurs grands frères à Menton. Quatre mois plus tard, leurs parents sont arrêtés à Pau, internés

tout dévot Chat en use les matins,  Ce réseau me retient : ma vie est en tes mains ;  Viens dissoudre ces noeuds. - Et quelle récompense  En aurai-je ? reprit le Rat.  - Je jure éternelle alliance  Avec toi, repartit le Chat.  Dispose de ma griffe, et sois en assurance :  Envers et contre tous je te protégerai,  Et la Belette mangerai  Avec l'époux de la Chouette.  Ils t'en veulent tous deux. Le Rat dit : Idiot !  Moi ton libérateur ? Je ne suis pas si sot.  Puis il s'en va vers sa retraite

sera comme quand on rêve et qu’on s’éveille, Et que l’on se rendort et que l’on rêve encor De la même féerie et du même décor, L’été, dans l’herbe, au bruit moiré d'un vol d'abeille. Paul Verlaine Phantasma Ce poème extrait du Collier de Griffes de Charles Cros donne au rêve l’idée d’une évasion par l’esprit, dans un monde que nous contrôlons et où personne ne peut nous atteindre. Le rêve est donc également un thème, raccroché au voyage, abordé par les poètes. J’ai rêvé l’archipel parfumé

volontés de son organisme » Avec sa relation avec Laurent, Thérèse développe même par un étrange phénomène de régression un tempérament enfantin en mimant François le chat, « [plaisantant] comme un enfant, [allongeant] les mains en façon de griffes, [donnant] à ses épaules des ondulations félines » comme si elle extériorisait l’enfance qu’elle n’avait pu développer encore.  Chap.9 : Laurent ne peut plus voir Thérèse car son administration était prête à le renvoyer

devenir pilote :" j'ai appris à piloter des avions. J'ai volé un peu partout dans le monde. Et la géographie, c'est exact, m'a beaucoup servi. Je savais reconnaître, du premier coup d'œil, la Chine de l'Arizona. C'est utile, si l'on est égaré pendant la nuit." "J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans". Le narrateur doit poser son avion dans le désert. C'est là qu'il rencontre le Petit Prince. Ce petit bonhomme lui

Pouvait Soupsonné Que sa N'allé Pas Pour Toi Parfois Meme MOi et Je Le Regrette. J'avait Besoin De Tout Sa Pour Avancé moi Aussi De TOn Regard Que J'avait Pour Exil, De Ton SOurir Que J'avait Pour Armur, De Tes Geste De Tes Mots De TOn Odeur. Pendant Des Nuit J'ai Eu Le Ventre nOué Le Coeur Brisée et Aujourd'hui Voila Que Sa Recommence et Je N'ai Pas Le ChOix. Vous Avait Beau Me Dire Oublie Il N'est Pas le Bon Pour Toi Meme Toi Tu N'arreter Pas De me Le Dire, Mais J'ai Tellement Enduré de puis Se temps

 souvenir?   Le Vampire Ce  poème  évoque  le  thème  de  l'amour  et  surtout  des  souffrances  qui  en  ressort.  Celles-­‐ci  sont  entre   autre  symbolisées  par  les  griffes  et  dents  du  vampire  que  l'on  a  l'impression  de  toucher  au  fil  du   poème.           Toi  qui,  comme  un  coup  de  couteau,   Dans  mon  coeur