Les Forbans de la nuit

l'hébreu : chinpunkanpun de aru c'est désert : hitoke ga nai c'est dommage : zannen de aru c'est du chinois : chinpunkanpun de aru c'est du gaspillage : mottainai c'est impensable : yomoya c'est la vie! : shikata ga nai, shô ga nai c'est le jour et la nuit : tsuki to suppon hodo chigau, undei no sa ga aru c'est pour cela que : dakara, sorede c'est que : nazenara c'est regrettable : zannen de aru c'est ton affaire : katte ni shiro çà : sore çà et là : tokorodokoro, achikochi, tenten to ça m'est égal :

judiciaire car il permet de maintenir l’ordre dans la communauté. Car si l’ordre n’est pas maintenu c’est le désordre. Ce pouvoir permet au roi d’envoyer devant ses tribunaux ceux qui enfreignent ces règles et ceux qui trouble l’ordre public (appelé Forban => bannis). Ce qui sont banni et qui y échappe peuvent être mis à mort par tout le monde. → le pouvoir de Mundium. C’est le pouvoir magique que les Dieux ont doté au roi et à sa famille. Pouvoir de protection personnel du roi qu’il utilise à

malades dans ses romans. Tante Dide et Marthe Rougon théâtralisent leur corps, comme les patientes de la Salpêtrière. Ce corps pousse les personnages à agir de manière aberrante, comme Marthe, figure centrale de La Conquête de Plassans, qui se blesse la nuit dans des crises d’hystérie parce qu’elle perd tout contrôle de sa personne. De même, le fait religieux et ses dérives servent de prétexte à Zola pour décrire la dévotion comme une pathologie psychique qui rejette la réalité de la chair dans La Faute

Il permet d’interdire et de contraindre , mais aussi de légiférer. Les guerriers francs doivent se déplacer au tribunal du roi chaque fois qu’il rend la justice et se rendre à l’armée quand le roi l’appelle. Ceux qui désobéissent deviennent des forbans ; ils sont bannis. 2- La transmission du pouvoir Chez les Francs, lorsqu’un roi meurt, son pouvoir est partagé entre ses héritiers, mais bien que partagé juridiquement, le royaume reste un. a) La tradition du partage du pouvoir à la

C'est un pouvoir où le roi donne des ordres à caractère général ou particulier (ordres de convocation à la guerre, service judiciaire, etc...). Celui qui refuse de se soumettre aux ordres du roi, le Banum, encourt de gros risques. On parlera de FORBAN (il est en dehors de l'ordre du roi, dans la désobéissance). Et par conséquent, il peut être condamné à une amende très lourde, il peut même dans des temps très graves être mis à mort de façon sommaire. Et ce pouvoir de commandement fait du roi un

s’applique pas aux populations. Face à ses fidèles, le roi des francs a un pouvoir absolu d’ordonner, de contraindre, d’interdire : le BANUM (d’origine germanique). Celui qui refuse le banum, refuse l’ordre royal et est donc considéré comme devient FORBAN (qui se place hors du BAN, hors de l’ordre). Il peut alors être soumis à mort sans impunité. Or ce pouvoir ne saurait s’imposer sans le soutient de l’aristocratie, le soutien des fidèle car le roi a besoin de l’aristocratie. Même après les grands

de pensées élevées ; mais la puissance d’une seule pensée d’amour est infiniment supérieure à celle d’une pensée de haine. [87] Celui qui a des raisons d’être mécontent de lui se dit mécontent des autres. [88] Peut-on concevoir un chef « bonnet de nuit » ? Sans doute y a-t-il les soucis de la responsabilité, mais il y a aussi ses exigences, et l’optimisme n’est pas la moindre. [89] Les dégoûtés ne font que des choses fades, les nonchalants ne font que des choses mornes, les pessimistes ne font que

lui permet de réglementer, de convoquer les guerriers, aussi de faire citer les parties à comparaître au tribunal et enfin qui lui permet d’exiger le payement de l’impôt. Ainsi celui qui refuse le bonum refuse l’ordre royal et est alors déclaré forban, mot signifiant littéralement « hors du banc », et donc peut être mis à mort en toute impunité. Le leudesanium est un serment prêté au roi par les leudes (ceux qui prêtent le serment donc). Ce sont les personnes les plus influentes. Le roi a besoin

législatif : quasiment inexistant sous les mérovingiens. L'inobservation du ban est puni d'une très lourde amende de 60 sous d'or, l'équivalent de 30 têtes de bétail, ou alors par le bannissement, qui implique, pour le forban, de pouvoir être tué impunément par n'importe qui, et de ne pas pouvoir être secouru. Ses biens sont également confisqués au profit du royaume. 2/ les pouvoirs d'origine romaine * le roi

au roi de convoquer une assemblée, de lever l’impôt, de rendre sa justice, etc. Non assortis de limite, Il s’exerce avant tout dans l’intérêt du roi et de ses proches. Celui qui refuse un ordre du roi prit en vertu de son BANNUM est considéré comme Forban (hors du ban, hors la loi) et peut être mis à mort en toute impunité par n’importe qui. Ces deux notions héritées de la tradition germanique, impose aux sujets d’obéir au roi et non à une quelconque RESPUBLICA (notion d’Etat).