Les Fondements Théoriques Du Libre échange

1ère partie : Science économique Thème 3 : Mondialisation et intégration européenne L’économie est mondialisée, « globalisée » et la planète est devenue un village. Le libre-échange a fini par s’imposer au XXe siècle avec la garantie d’organismes internationaux (OMC, FMI, Banque mondiale). Si les pays sous-développés ont hésité sur leur stratégie de développement, aujourd’hui, le libéralisme paraît s’imposer à tous et les « pays émergents » semblent montrer la voie à suivre. Les entreprises

moyens de production sont à même d'assurer la meilleure efficacité économique. Il faut en quelque sorte laisser faire les individus à l'intérieur d'un pays et laisser passer les marchandises entre les nations. Le « laisser passer » correspond au libre-échange. Les biens, les services, et les hommes doivent pouvoir librement circuler entre les nations. Sur le plan des relations entre état, chaque fois qu'il existe un avantage absolu (voir cours 2°année théorie des avantages absolus) pour la production

1ère partie : la politique CHAPITRE 1 : La société et les échanges Une cité c’est une communauté d’individu, par extension ça va donner l’Etat. Etat invention du 15ème siècle. Chez les grecs : 250 cités indépendantes, jamais unifiées parlaient la même langue ; ne pénétraient pas dans les terres passaient par la mer. Les cités avaient des régimes politiques, religions différents. Mythe et pensée explique qu’à cause de ces diversités, la même langue aurait fait émerger la philosophie. Grèce

marché. Paragraphe 1) Le critère du nombre d'intervenants dans la classifications des marchés. Paragraphes 2) Le comportement des agents sur le marché. A) Le poids économique des agents sur le marché. B) La différenciation des produits. C) Le libre accès au marché. Section 2) L'équilibre de la firme sur les marchés parfaits. Paragraphe 1) Le marché de la concurrence pure et parfaite. A) Déterminants du marché et règles de fonctionnement. B) La situation de l'entreprise en courte période

meilleure insertion dans l'économie mondiale, ce qui est rare. Inversement, l'ouverture n'est utile que si les politiques commerciales et industrielles sont efficaces, si les coûts et bénéfices sont bien répartis et les règles du jeu respectées dans les échanges entre nations. 1. Les vertus de l'ouverture Les économistes de la Banque mondiale et du FMI s'évertuent à montrer, avec un certain succès, que les pays les plus ouverts sur l'extérieur connaissent une croissance plus rapide. Indiscutablement, les

Nous trouvons le fondement du libre échange au IXème siècle, avec la route de la soie, qui a créé de nombreuses routes commerciales entre les empires chinois et romains. L’origine de ce commerce étant la nécessité des seigneurs romains de se vêtir de beaux tissus. Les romains excellents marchands remontèrent alors le cours du Rhône pour vendre leurs marchandises. C’est au XIIème, que des foires virent le jour, les foires de Champagne étaient le carrefour annuel de ventes des marchands d'Europe. C’est

du néolibéralisme A/L’avènement du néolibéralisme B/Le néolibéralisme comme idéologie pluri dimensionnel C/De l'obscurantisme néolibérale III/ Le néolibéralisme dans la pratique A/ Le néolibéralisme comme incarnation du libre-échange B/ Le cas de l'Union Européenne C/L'aliénation par le marché INTRODUCTION : Le libéralisme a longtemps été perçu comme une attitude politique purement défensive. Il s'agissait alors, pour tous ceux qui prônaient la philosophie

système économique dont les fondements sont l'entreprise privée et la liberté du marché, et le mobile essentiel, la recherche et l'accumulation spéculative du profit qui trouve sa contrepartie dans le risque d'entreprendre. Malgré les crises régulières des économies capitalistes, les mouvements de concentration des entreprises industrielles, commerciales et bancaires, le développement des théories socialistes pré-marxites et marxistes cherchant à trouver les fondements d'un système économique nouveau

en économie. A) La révolution scientifique : une notion a priori pertinente en économie. Qu'est ce qui donne de la valeur à un bien ? Cette question est la première que se sont posés les économistes au XVIIIème siècle. C'est la question du fondement de la valeur. Et elle est étudié par les théories de la valeur. Le premier à étudier cette théorie est Adam Smith en 1776 « Recherche sur la nature est les causes de la richesses des nations » Pour Smith, la valeur d'un bien ne repose pas sur la

l'analyse du commerce international se situe à la renaissance, lors de la 1ère mondialisation c’est-à-dire avec la découverte de l'Amérique en 1492. La découverte de l’Amérique a 2 conséquences sur le plan économique : - le développement massif des échanges de marchandises ; - l'arrivée massive de l'or d'Amérique dans le port de Séville en Espagne. Les auteurs mercantilistes assimilent l'or et la richesse : on est riche car on possède de l'or. La valeur des biens consiste dans la quantité d'or qu'il